Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité

Des News En Séries, Le Blog

12 août 2009

Black Eyed Peas [The E.N.D.]

dnes_v2_musicbox_mini_ban

black_eyed_peas_the_end_cover

dnes_v2_poll_stars4

   The Energy Never Dies : Un titre d'album accrocheur qui tient toutes ses promesses ! Si l'on doit ne retenir qu'une chose de cet album, c'est qu'il fout une pêche d'enfer. Après avoir été abreuvé de bon et de moins bon Timbaland pendant plusieurs mois, les Black Eyed Peas sont de retour et en très grande forme. Alors que le précédent album, Monkey Business, était assez décevant, celui-ci relève le niveau. La force du groupe, c'est de proposer à chaque fois un univers cohérent rempli d'influences diverses. Avec The E.N.D., ils s'éloignent de leurs origines, le R'n'B, pour se tourner davantage vers l'électro, en témoigne leur collaboration avec David Guetta, qui a mixé une grande partie de l'album et à qui l'on doit quelques uns des titres les plus efficaces (mais je n'ai pas dis les plus réussis).

   Le premier single, Boom Boom Pow, illustre parfaitement la direction électro qu'a pris le groupe ainsi que cette idée d'énergie qui parcourt tout l'album, comme une ligne de (sur)vie. C'est sans doute un des titres les plus difficiles d'accès finalement puisqu'il s'apprivoise avec le temps, contrairement à beaucoup d'autres qui accrochent tout de suite mais qui lassent aussi vite. Et c'est là que Guetta intervient. On reconnaît tout à fait son style dans I Gotta Feelin', le deuxième single, et Missing You. D'ailleurs, il s'est contenté de reprendre le sample de Love Is Gone à l'infini, les membres du groupe ont ensuite brodé autour. Ces titres sont donc diablement efficaces, on ne peut plus dansants, mais leurs refrains deviennent rapidement insupportables, surtout sur Missing You avec la voix de Fergie qui n'a jamais été aussi irritante. Y'a pas à dire, David Guetta, c'est plus ce que c'était. On est loin du temps de Just A Little More Love ou Love Don't Let Me Go.

   Une des grandes récurrences de l'album, c'est le vocoder. Il est surrutilisé mais c'est aussi ce qui participe à la cohérence de l'album. Sa meilleure utilisation reste dans Rock That Body qui est excellente de bout en bout et qui fait un peu penser à du Daft Punk. Pourtant c'est du Guetta, si je m'abuse ! Alive est moins efficace mais là encore, le vocoder fait de jolis miracles. Pour les autres titres, il s'agit juste de petites touches ça-et-là qui passent bien. Plusieurs titres se distinguent par une ambiance générale légèrement différente, notamment Imma Be, que je n'aime pas beaucoup mais qui a le mérite de davantage ressembler à du BEP de l'époque Elephunk. Now Generation est très déroutante par son esprit rock, à la limite même de la country. Elle sied parfaitement à la voix de Fergie. Si un jour les BEP ne marchent plus, elle devrait songer à se reconvertir en chanteuse country. One Tribe est une espèce d'infamie. On est à mi-chemin entre la compagnie Créole pour la musique et les chansons démagos de Michael Jackson que l'on adore, genre Heal The World, pour les paroles. Rockin To The Beat est bien funky, bien sympa; Electric City est bien ragga, bien sympa aussi; et Mare est un gros mix electrobollywoodien indigeste qui termine malheureusement l'album sur une note négative.

   Parmi les titres que j'adore vraiment et dont je ne me suis pas encore lassé : Meet Me Halfway, avec son refrain chanté au fond du cave, qui joue la carte de l'émotion avec un certain succès; Little Simple Melody, qui est juste mon gros coup de coeur de l'album -il s'agit pourtant d'un bonus track- elle est super entraînante et met de bonne humeur au réveil -je ne sais pas pourquoi, je l'imagine très bien en générique d'une série TV-; Ring-A-Ling, un gros délire interminable qui m'amuse beaucoup; Showdown, qui met particulièrement bien en avant la complicité des membres du groupe et la fameuse énergie; et puis Party All The Time, qui est devenu mon hymne de l'été, qu'il serait un crime de ne pas sortir en single. "If we could party all night and sleep all day and throw all our problems away, Our lives would be easy". Le propos est complètement con mais ce que ça fait du bien d'entendre ça, c'est tellement vrai en fait ! 

   The E.N.D. est donc le parfait album pour nous accompagner pendant tout l'été et même à la rentrée pour se donner du courage. C'est souvent facile mais c'est tellement bien produit et si dansant qu'il est impossible de ne pas craquer sur au moins quatre ou cinq titres. Les Black Eyed Peas réussissent leur passage progressif vers l'électro et on espère juste que ce n'est pas la fin...


   Après mes nombreux déboires avec les lecteurs pour accompagner vos visites sur le blog, j'ai décidé de me rabattre sur une valeur sûre : Deezer. Seul souci, il n'y a pas toujours les chansons que je voudrais vous faire découvrir, en particulier ici Simple Little Melody. Dans le lecteur en haut de la colonne de droite, vous pouvez retrouver une playlist que je mettrai régulièrement à jour avec des titres extraits des albums que je critique. Pour The E.N.D., j'ai choisi Party All The Time, Rock That Body et Meet Me Halfway. Bonne écoute !

Publicité
Publicité
11 août 2009

Weeds [5x o9]

Weeds

Suck 'N' Spit // 1 61o ooo tlsp.

dnes_v2_poll_stars4


vlcsnap_80024

   Je crois que la capture d'écran ci-dessus résume parfaitement l'épisode : Weeds va toujours là où on ne l'attend pas, elle repousse sans arrêt les limites du mauvais goût et c'est ce qui est jouissif. Cette scène dans les toilettes d'un restaurant où Nancy, un peu pompette, demande à Andy de lui sucer le sein afin de la vider de son lait -ce qu'il accepte avec joie évidemment- était absolument délicieuse. Mary-Louise Parker disait récemment qu'elle regrettait un peu d'avoir montré ses seins (et le reste d'ailleurs) dans le final de la saison 4. On dirait qu'elle a changé d'avis et ce n'est pas pour nous déplaire. Quand j'y pense, combien de séries peuvent se permettre ça ? Vraiment pas beaucoup. La bonne idée de cet épisode, c'est de proposer de nombreuses scènes du duo Nancy/Andy. Les dialogues sont plus qu'à la hauteur, ils sont même carrément hilarants. Rien que les entendre parler de parentalité est amusant. Il est question de couches sales, de caca donc, de MST (ce cher Shane en a attrapé une), de branlette, de sperme... Un joli programme placé sous le signe de la décomplexion quoi. Difficile de ne citer qu'une seule ligne de dialogue mais voilà une de mes préférées : "Night farts happen, especially since I'm dieting" (Andy à Nancy).

   Le retour de Esteban à la fin de l'épisode n'est pas surprenant, il redemande Nancy en mariage. On ne connaît pas encore sa réponse mais vu qu'elle a pris la sale habitude de toujours prendre la mauvaise décision, on peut imaginer que ça va être un grand "Yes, I Do". Et ce même si son fils manque de crever la bouche ouverte ! Ce cliffhanger est quand même assez énorme ! Qui l'avait vu venir franchement ? C'était impossible à imaginer. Ca devait bien finir par arriver en tous cas... Concernant Doug et Silas, c'est toujours le vide intersidéral. En revanche, ça bouge pour Celia ! Pour que la série puisse garder son nom, c'est à son tour de vendre la drogue, accompagnée de Dean. Content de retrouver leur duo, manque plus qu'Isabel ! C'était plutôt amusant, l'idée est ingénieuse, rien à redire.

vlcsnap_65621


// Bilan // Beaucoup de scènes très amusantes, des dialogues hilarants : du bon Weeds. Reste toujours des intrigues secondaires un peu faibles malheureusement.

      

10 août 2009

Hung [1x o5]

hung

Do It, Monkey //

dnes_v2_poll_stars4


vlcsnap_23495

   Ce que j'aime bien avec Hung, c'est que malgré le pitch scabreux de départ, il s'agit d'une des séries les plus tendres du moment, en réussissant en plus à ne pas être niaise ! Du beau travail donc. La grande intrigue de cet épisode est consacrée à une cliente de Ray, Jemma, qui est du genre éternelle insatisfaite. Elle arrive avec son petit scénario de départ et s'imagine déjà une grande et belle rencontre comme dans les comédies romantiques. Le problème, c'est que Ray n'est pas un grand romantique et que, s'il sait baiser les femmes, il sait beaucoup moins comment leur parler. Ca donne donc quelque chose d'original, de drôle et d'émouvant aussi. Jemma est touchante et puis d'un point de vue personnel, je me suis bien retrouvé en elle. Moi aussi je suis un éternel instatisfait en amour. Je m'imagine monts et merveilles et la réalité vient ensuite tout fracasser. Ca fait mal. A noter que Jemma est interprétée par Natalie Zea (Dirty Sexy Money) que j'ai mis un temps fou à reconnaître à cause de sa nouvelle couleur de cheveux ! Elle était très convaincante, tout comme Thomas Jane d'ailleurs qui s'améliore d'épisode en épisode. Ou alors je m'habitude à son jeu.

   Au niveau des intrigues secondaires, disons qu'heureusement que les personnages sont attachants, Tanya notamment. Non parce que son duo avec Floyd est plus ennuyeux qu'autre chose, sauf sur la fin. Il faut dire aussi que Floyd est un personnage sacrément agaçant depuis le début ! Ils auraient mieux fait de ne pas le développer au-delà du pilote. Tout cela nous amène en tous cas vers une triste conclusion : Tanya est drôlement seule. Sinon, du coté de Jessica, les choses se précisent, son utilité en particulier. Finalement, elle sied très bien au duo Ray/Tanya puisqu'elle aussi est une looseuse de première classe. Ce n'était pas évident jusqu'ici mais ça me semble beaucoup plus clair maintenant. Que ce soit avec ses enfants, avec son chien ou avec son mari, un bonhomme franchement chiant. Ce serait bien qu'elle aussi se trouve une nouvelle occupation qui donnerait un sens à sa vie. Je croise les doigts pour que les scénaristent dégotent LA bonne idée !

vlcsnap_37329


// Bilan // Un épisode particulièrement amusant et émouvant.

9 août 2009

Ciné Mix [Juillet 2oo9]

Cin_box

Coup de Coeur


LA-HAUT (3D) dnes_v2_poll_stars5mini

19104241   Carl, un vieil homme de 78 ans, décide, à la mort de sa femme, de réaliser leur rêve : partir pour l'Amérique du Sud. Il décide alors d'attacher sa maison à des milliers de ballons et s'envole avec elle pour une aventure dans le ciel aux cotés du petit Russell, un enfant de 9 ans toujours très enthousiaste ! // Vous imaginez ce film mignon et poétique rien qu'en voyant l'affiche ? Alors vous avez tort : il est bien plus que ça ! Il n'est pas mignon, il est magnifique. Il n'est pas poétique, il est... le mot n'existe pas. Pixar nous a habitué, avec Wall-E notamment, à traiter de sujets graves et sérieux (l'écologie, ici la vieillesse) avec fantaisie et émotion. L'idée même de cette maison volante est superbe, mais tout ce qui précède le voyage est d'une profondeur rarement atteinte dans un dessin-animé. La perte de l'être aimé, la peur de la mort, voilà des problèmatiques très adultes qui ne peuvent que toucher. Les premières minutes du film sont ainsi bouleversantes. Ensuite, c'est le thème de la poursuite des rêves qui est abordé et qui parle forcément aux petits et aux grands. La deuxième moitié du film, à partir du moment où la fine équipe débarque à Paradise Falls, est un peu moins réussie, la faute aux chiens qui parlent peut-être, mais reste un excellent divertissement bourré d'humour. Là-Haut est donc LE film à voir cet été et il fait d'ores et déjà partie des classiques du cinéma d'animation. Si vous le pouvez, privilégiez la version en 3D. Elle n'a jamais eu autant de sens que pour ce film ! Un grand bol d'air frais.

Les Autres Films


LES BEAUX GOSSES dnes_v2_poll_stars4mini

19104713   Hervé, un adolescent boutonneux et franchement ingrat, a les hormones en ébullition et n'a plus que deux buts dans la vie : sortir avec une fille puis coucher avec cette fille ! Forcément, lorsqu'Aurore, une des plus belles filles du lycée, s'intéresse à lui, rien ne va plus ! Il va se faire "aider" par son meilleur ami, Camel, adepte des films X et des pages lingerie de La Redoute... // Une excellente comédie française au succès innatendu : voilà qui se fait de plus en plus rare. Y'a bien eu les Ch'tis, mais juste pour le succès innatendu hein. Les Beaux Gosses me fait penser à tous ces films des années 80 type Les Sous-Doués ou P.R.O.F.S. C'est le même genre d'humour de bas-étage qui ne peut que vous faire rire voire hurler de rire. Bien-sûr, quand on a vu la bande-annonce, on a vu certaines des meilleures scènes, mais il y en a encore beaucoup d'autres dans le film qui valent le coup d'oeil. L'ensemble est clairement exagéré, la fin un peu abrupte, mais qu'importe : on a pas fini de voir et revoir Les Beaux Gosses à mon avis ! 

CORALINE (3D) dnes_v2_poll_stars3mini

19116344   Coraline est une petite fille espiègle et solitaire, contre son gré, qui vient d'emmenager dans une étrange maison. Pour tromper l'ennui, elle décide d'explorer la demeure et se retrouve coincée dans un autre monde où son autre mère est bien plus sympathique que sa vraie mère et où son autre père est bien plus disponible que son vrai père. Malheureusement, ce rêve se transforme rapidement en cauchemar... // Ne tombez pas dans le piège qui consiste à croire que Coraline est proche de l'univers de Tim Burton ! Bien-sûr, on retrouve quelques similitudes, un certain esprit gothique par exemple, mais ce film est beaucoup plus enfantin et il n'a pas grand chose de cruel. On frissonne de temps à autres mais l'ensemble est bien trop gentillet à mon goût. Il faut toutefois saluer le travail du réalisateur, Henry Selick, qui prend de l'ampleur à travers la 3D même si elle n'est pas ici indispensable, et les voix en VO de Dakota Fanning et Jennifer Saunders. Je serai un peu moins élogieux envers Teri Hatcher, qui n'a pas réussi à me faire oublier Susan Mayer, mais c'est peut-être moi qui fait une fixette. Un film d'animation qui séduit donc surtout les enfants, moins les adultes.   

PUBLIC ENEMIES dnes_v2_poll_stars2mini

19135392  L'histoire vraie de John Dillinger, un braqueur de banque hors-pair, qui a été considéré comme "l'ennemi public numéro 1" dans l'Amérique des années 30. Melvin Purvis, un agent fédéral obstiné, l'a traqué sans relâche... // Pas convaincu par le nouveau Michael Mann. A la base, je le savais en y allant : ce n'est pas mon genre de film. J'ai été donc agréablement surpris en me rendant compte que je ne m'ennuyais pas, pas une seconde ! Malheureusement, cette histoire on la connaît par coeur. Elle a été traitée dans bien d'autres films, aussi bien voire mieux. On attend dèsespérément le moment où le film va se transcender et nous offrir quelque chose de différent mais ce moment n'arrive jamais. A la place, on a droit à des scènes d'amour vues et revues, sans profondeur, et aussi à quelques scènes faciles et ridicules qui décrédibilisent complètement le propos. Je ne m'étenderais pas sur le jeu de Christian Bale, totalement inexpressif, comme dans The Dark Knight, ni sur celui de Marion Cotillard, qui fait de son mieux, qui s'en sort honorablement mais son personnage manque de développement. Johnny Depp est très bien, as usual. Le point fort du film est sa réalisation souvent inspirée, avec une scène, notamment, hallucinante de maîtrise ! 

Séance de rattrapage


J'IRAI DORMIR A HOLLYWOOD dnes_v2_poll_stars3mini

18968653   Antoine de Maximy parcourt les Etats-Unis d'Est en Ouest à bord d'un corbillard rouge flamboyant et fait la rencontre d'Américains qui se livrent avec sincérité et naturel. Ils parlent de leur vision de la vie, de leurs espoirs, de leurs déceptions... // J'attendais beaucoup de ce documentaire et, pour avoir vu quelques numéros de l'émission dont il est adapté, je pensais qu'il avait quelque chose de plus pour qu'il soit diffusé dans les salles de cinéma. A part sa durée (1h30), pas grand chose ne le différencie des autres opus de la série, si ce n'est la destination, qui évoque certainement beaucoup plus de choses au grand public. Et je ne vais pas prétendre le contraire : je rêve de partir un jour aux Etats-Unis, faire ce grand voyage d'Est en Ouest, dormir dans des motels miteux sur le bord de la route 66, jouer aux machines à sous à Las Vegas, me recueillir à Wilmington en éternel fan de Dawson, flamber à Miami, prendre un taxi jaune à New York... Ce documentaire est authentique, les rencontres faites sont intéressantes et souvent émouvantes, certains passages sont prenants (à la Nouvelle-Orléans dévastée et dangereuse par exemple) mais il manque quelque chose. En fait, il aurait mérité de durer plus longtemps ou alors carrément d'adopter un format série, en plusieurs épisodes. Je ressors du visionnage émerveillé mais frustré.   

8 août 2009

Dirty Sexy Money [2x 11]

dnes_v2_dirty_mini_ban

The Facts (Thanksgiving Special) // 1 8oo ooo tlsp.

dnes_v2_poll_stars2


vlcsnap_67348

   Dirty Sexy Money est de retour sur ABC et donc également sur le blog ! Non, la série ne renaît pas de ses cendres, la chaîne diffuse simplement les derniers épisodes, ce qui est plutôt sympa de leur part d'ailleurs. Vu les audiences, pas sûr qu'elle réitère l'expérience avec de futures séries annulées mais bon. Ce 10ème épisode de la saison 2 de la série n'est pas un épisode comme les autres. En réalité, c'est le 7ème épisode de la saison mais il avait été déprogrammé au dernier moment pour cause de discours de Barack Obama et plutôt que de le reprogrammer la semaine suivante, ABC l'avait simplement ignoré à l'époque. Aucun souci de cohérence puisqu'il s'agit d'un loner spécial Thanksgiving. Le problème de ce type d'épisode, c'est qu'il est, par essence, inutile. Alors quand c'est bien fait, c'est un bonus sympathique, quand c'est raté, c'est juste méga chiant. On ne peut pas dire que tout soit médiocre ici mais il n'en ressort pas grand chose, et c'était parfois franchement ennuyeux.

   Le principe de l'épisode est simple : le chauffeur des Darling reçoit la visite d'une journaliste prête à tout pour décrocher des scoops sur la riche famille tandis qu'ils sont partis fêter thanksgiving dans une de leurs nombreuses résidences. On fonctionne donc par flashbacks, tous très inégaux. Le premier sur les Fantini Brothers est chiant au possible, celui sur Letitia en revanche ne manque pas d'humour, avec une apparition rapide de Donna Mills (Côte Ouest). Celui de Karen n'a strictement aucun intérêt, et pourtant, je l'adore. Celui de Juliet est très décevant. On apprend enfin la vérité sur son absence depuis le début de la saison mais ce n'est pas à la hauteur des espérances. Ca reste bien agréable de revoir Samaire Armstrong. Et puis toutes les scènes entre le chauffeur et la journaliste sont sympas, même si le chauffeur se livre un peu trop facilement (on comprend vite pourquoi) et la journaliste ne va pas assez loin à mon goût pour convaincre. Rena Sofer était parfaite dans ce rôle ! Elle ajoute ainsi une guest de plus à sa looongue liste. Méfie-toi Jessalyn Gilsig, tu as une concurrente de choix ! Le twist final, qui révèle que le chauffeur a menti du début à la fin en s'inspirant de ce qui l'entourait, était très bien trouvé et je ne m'y attendais pas du tout.

vlcsnap_71678


// Bilan // Un épisode sans enjeu et sans intérêt, qui se laisse regarder, certes, mais qui ennuie plus qu'il n'amuse.

       

Publicité
Publicité
7 août 2009

Nurse Jackie [1x o9]

nursejackie

Nosebleed // 1 36o ooo tlsp.

dnes_v2_poll_stars3


vlcsnap_203115

   La routine commence à s'installer au All Saints Hospital et je me suis un peu ennuyé face aux nouvelles aventures de Jackie. D'ailleurs, peut-on vraiment parler d'aventures ? Il ne se passe rien ou presque dans sa vie, c'est bien tout le problème. Elle a des soucis avec sa fille, ok. Elle a un boulot super dur au quotidien, ok. Elle a un mari qui l'aime et un amant qui l'aime aussi, ok. Elle sniffe comme une malade, ok. On ressasse les mêmes histoires depuis 9 épisodes et la situation ne bouge pas beaucoup. Le précédent épisode laissait penser qu'une évolution était en marche mais celui-ci ne fait que reprendre les intrigues que l'on connait déjà trop bien. Etant donné que la fin de la saison est proche, il serait temps de se bouger un peu. J'ai bien compris que Nurse Jackie était plus une série contemplative qu'une série d'action mais bon sang, il faut bien qu'il se passe quelque chose ! Point positif quand même : après s'être adoucie, Jackie se remet en danger. Elle signe une autorisation de don d'organes à la place du Dr Cooper, bien trop occupé avec sa nouvelle copine, ce qui constitue une faute professionnelle grave. Est-ce que cela aura une quelconque conséquence par la suite ? Il y a tout intérêt ! Petit moment d'émotion lorsque Jackie tombe sur le carnet tenu par Zoey, qui prouve toute son admiration pour elle.

   La seule autre intrigue de l'épisode, or le cas médical du clochard pas très intéressant, est assez surprenante : Akalitus garde toujours le bébé dans son bureau ! Tout cela est un peu surréaliste et pas franchement crédible mais la performance d'Anna Deavere Smith vaut le coup d'oeil ! Elle est excellente, notamment quand elle danse avec le bébé ou quand elle reçoit ses parents. Tout cela pour souligner quelque chose que l'on avait bien compris : cette femme est désespérement seule et frustrée. Triste constat. So what ? Les autres personnages secondaires font quasiment de la figuration, Mo-Mo notamment qui mérite définitivement mieux que d'être l'homo du coin. Eddie souhaite rencontrer l'enfant de Jackie, les choses se compliquent doucement...

vlcsnap_211640


// Bilan // La série commence à sombrer dans la routine et la redite. Il est encore temps de se ressaisir !

6 août 2009

Breaking Bad [2x o9]

breakingbad

4 Days Out //

dnes_v2_poll_stars5


vlcsnap_76211

   Quelle belle idée que cet épisode road-trip qui nous ramène vers des sentiers que l'on avait plus parcouru depuis la saison 1 ! Depuis quelques temps, on s'éloignait de plus en plus de la base même de la série. Le cancer de Walt devenait presque accessoire, sa lutte pour sa famille devenait secondaire, il se laissait emporter par l'appât du gain et par la jouissance du pouvoir. 4 Days Out remet tout à plat ingénieusement et réunit nos deux compères, au sommet de leur art. Cela faisait combien de temps que l'on ne les avait plus vu cuisiner ? Ca manquait. Des scènes qui auraient pu faire redite ont au contraire été beaucoup mieux maîtrisées, visuellement notamment, qu'auparavant. Je pense à une des scènes du début qui faisait furieusement penser à du Nip/Tuck, avec une bonne bande-son et des images à la fois impressionnantes et amusantes. Ici, les opérations de chirurgie esthétique sont remplacées par des cours de chimie, car Walt ne perd jamais son sens de la pédagogie ! Evidemment, pour pimenter les choses, rien ne se passe comme prévu. A qui la faute ? La faute à Jesse bien-sûr ! Ce garçon n'est pas une lumière, on l'a toujours su. Mais en plus de ça, il est poisseux comme pas possible, ça se confirme ! A coté, le héros de Worst Week peut s'estimer heureux. Même quand il veut faire bien, il se plante. C'est terrible. Cela conduit donc nos deux héros à une sorte de huit-clos avec pour seuls murs la terre et le ciel et le désert à perte de vue. D'un point de vue esthétique, Breaking Bad est au top de sa forme et je n'ai pas peur de dire que c'est la série la mieux réalisée qu'il m'ait été donné de voir. Chaque plan du désert était superbe. J'ai d'ailleurs eu du mal à choisir la capture d'écran pour illustrer l'article ! Elles ne lui rendront de toute façon pas justice. Je ne suis pas forcément fan des techniques à la MacGyver de Walt, j'ai un peu de mal à y croire, mais peu importe. 

   Du coté du cancer de Walt, on parle de rémission. Ce n'est pas vraiment étonnant puisque le jour où Walt sera mort, la série n'existera plus. Est-ce un simple répit avant une rechute ou sont-ce les scénaristes qui ont décidé de partir dans une autre direction ? Le temps le dira. En tous cas, la scène où il apprend sa rémission entouré de toute sa famille est très émouvante et surprenante puisque la série ne verse jamais dans la joie. Jamais ! La joie est cependant teintée d'un gros nuage : les activités illicites de Walt ont un impact sur sa santé et cela pourrait lui être fatal à terme. Il ne mourra peut-être pas de son cancer finalement, mais d'autre chose. Pendant ce temps-là, Skyler est toujours enceinte jusqu'au dent, comme pour nous rappeler que le temps passe vraiment moins vite à Alburqueque.

vlcsnap_68807


// Bilan // Une prouesse visuelle doublée d'une histoire toujours passionnante.

4 août 2009

[Série (Cul)culte] V : Les Visiteurs

dnes_v2_focus_mini_ban

Exceptionnellement, je laisse la parole à MSME, fidèle lecteur du blog et bien plus que ça, pour vous parler d'un monument de la télévision : V ! Avec un remake sur le point de débarquer (le 3 Novembre 2oo9), il était temps de faire un point ce qu'a été cette série...


18932054

   « V » : tous les trentenaires et plus se souviennent de cette série multirediffusée (sur France 2, M6 et autres chaines de la TNT). Le pitch était assez simple : des hommes s’organisent pour résister face à des envahisseurs extra-terrestres. Résumé ainsi, on pouvait presque croire que l’ensemble était assez creux. Que nenni ! Le traitement de ce monument de la SF 80’s valait particulièrement le détour puisqu’il jouait de métaphores avec la seconde guerre mondiale, le régime nazi, les jeunesses hitlériennes et toutes les formes de résistances passées, présentes et futures… Pour établir un nouveau cliché, « V » était « holocauste version petits hommes verts ». Car, oui, les envahisseurs étaient verts…. Pour être plus précis, on ajoutera qu’ils étaient vert lézard : en effet, derrière ces extra-terrestres visiblement plein de bonnes intentions envers les terriens se cachaient d’affreux reptiles qui souhaitaient simplement faire de notre planète leur nouveau garde-manger ! Et niveau effets spéciaux, c’est sur ce point que se jouait toute la crédibilité de la série : les extra-terrestres avaient des yeux de chats, une langue de vipère, une peau d’homme dissimulant une peau de lézard bien gluante, des gosiers assez flexibles pour laisser passer des rats, hamsters, souris et autres friandises. Bref, tout ceci relevait de l’inédit quand « V » débuta en 1983. Evidemment, de nombreuses histoires parallèles se mêlaient à la grande histoire de la série : deux frères, l’un voyou, l’autre médecin, devaient apprendre à s’entraider. Le héros résistant luttait contre sa propre mère collabo auprès des envahisseurs. Quelques extra-terrestres trahissaient leur propre camp. Sans oublier les habituelles courses au pouvoir, les trahisons, les meurtres, les enlèvements, les vengeances, les attentats, les complots et tous les ingrédients inhérents à ce genre de programme télévisé.

   Parler de « V » sans évoquer ses trois héros principaux serait un manquement évident. Nous avions donc, coté résistant, Mike Donovan (interprété par Marc Singer), bellâtre body-buildé sauvant le monde tel un Bruce Willis bondissant, et Julie Parrish (Faye Grant), femme forte mais vulnérable incarnant- un peu contre son gré – la chef de la résistance. Coté envahisseur, le public n’avait d’yeux que pour Diana (Jane Badler), équivalent lézard d’un J.R. Ewing à l’époque : une ordure en jupon, ou plutôt en tunique rouge, vêtement principal de ces chers extra-terrestres.

18932061_w434_h_q80

   

L’air de rien, « V » a largement marqué les esprits et fortement inspiré d’autres produits de science-fiction, le meilleur exemple étant le film Independance Day qui commence exactement de la même manière que la série : des soucoupes volantes se placent au-dessus des plus grandes villes du monde. Mais alors, pourquoi avoir intitulé cet article « série (cul)culte » ? Tout simplement parce que, aujourd’hui, « V » a les défauts de son grand âge et de son aspect inédit : les effets spéciaux sont un peu dépassés, les dialogues sont parfois manichéens et minimalistes, et un personnage appelé « l’enfant stellaire » est venu ajouter une petite couche de guimauve bien sucrée à l’ensemble. Sans cela, tout aurait été parfait !

   Il n’y a pas que « V » qui était un véritable feuilleton ! Les multiples rebondissements dans les coulisses valaient aussi leur pesant d’or. Au départ, « V » (qui signifie Victory pour victoire et non Visitors pour visiteurs) était une mini-série de 2 fois 100 minutes écrite et réalisée par Kenneth Johnson. Lors du tournage de la seconde mini-série (3 fois 90 minutes), Johnson fut complètement écarté du projet. Devant le succès de ces 5 épisodes, le réseau NBC réclama une saison entière, sans pour autant offrir de moyens suffisants ! Alors que 26 épisodes devaient être tournés, 19 seulement furent réalisés et diffusés en raison du manque d’audience. La série ne connut donc pas de fin digne de ce nom… Et pendant ce temps, Kenneth Johnson réécrit l’histoire en la reprenant à la fin de la première mini-série et sans tenir compte de tout ce qui a suivi. D’infos en intox, on lui prête pour intention de réaliser une nouvelle saison ou encore un film, sans qu’on en voit le bout de la queue d’un lézard…. Malheureusement pour lui (et heureusement pour nous ?), il s’est fait griller la priorité par Scott Peters, le père des 4400, qui planche actuellement sur une version hightech de « V ». Cette nouvelle mouture devrait voir le jour dès novembre 2009 avec quelques visages familiers des amateurs de séries télé : Elizabeth Mitchell (fraichement débarquée de « Lost » et de son jeu de piste scénaristique) et Scott Wolf (le mini Tom Cruise de « La vie à cinq »). C’est sans crainte que je vous affirme que ce nouveau « V » est attendu comme le messie. Le premier épisode devrait d’ailleurs réaliser un carton d’audience, regroupant les fidèles de la première version, leurs enfants et les amateurs de science-fiction. Pour la suite, tout dépendra des scénaristes… En espérant que, cette fois-ci, nous ayons une fin !

v_promo


// Bonus // Une bande-annonce de la version 2009, qui, soit dit en passant, a jusqu'ici récolté de bonnes critiques dans la presse américaine pour son pilote !

3 août 2009

Séries... Ton Classement Impitoyable... The United States Of Tara !

untitled

A la 14ème place (sur 40) du classement du meilleur et du pire des séries de la saison sur le blog TV News, on retrouve The United States Of Tara ! Pour ceux qui hésiteraient encore à se lancer, retrouvez ses points forts et ses points faibles dans la petite critique que je vous ai concocté !

Chaque année désormais, c’est du coté du câble qu’il faut se tourner pour dégoter les nouvelles séries les plus originales et les mieux écrites de la télévision américaine. Showtime a eu le nez fin quand elle a accepté de se lancer dans l’aventure The United States Of Tara, que l’on pourrait aisément traduire par Tara dans tous ses états (Petit message aux chaînes françaises : qu’est-ce que vous attendez pour l’acheter ? Canal + ?). Cette dramédie, mélange donc de drama et de comédie, a été imaginée par Diablo Cody, scénariste ô combien talentueuse à qui l’on doit le film Juno, sensation indé de 2008, et dont le prochain film, Jennifer’s Body, sortira aux Etats-Unis ce mois-ci. A la production exécutive, on ne pouvait pas rêver nom plus prestigieux : Steven Spielberg, rien que ça !

La suite ICI.

1 août 2009

Dollhouse [1x o7]

dollhouse

Echoes // 3 9oo ooo tlsp.

dnes_v2_poll_stars3


vlcsnap_36545

   Déçu je suis. J'espérais que le 7ème épisode poursuive sur la lancée du 6ème, c'est-à-dire sur quelque chose qui se rapproche de l'excellence, mais il n'en est rien. Plein de choses font que cet épisode est loin d'être mauvais mais tout de même, cette manie de foutre à poil Eliza Dushku devient agaçante. Enfin j'exagère, elle n'est pas à poil mais elle est habillée de manière hyper aguicheuse et sans véritable raison. Il y en a bien une mais ce n'est qu'un prétexte pas très inspiré. D'ailleurs, corrigez-moi si je me trompe : les dolls ne sont-elles pas censées ne pas faire l'amour avec leurs clients ? C'est ce que j'avais cru comprendre à l'épisode précédent, or ici, si Echo n'était pas tombée sur un reportage en direct de l'université, elle serait passée aux choses sérieuses avec son client occasionnel... Passons. Toute l'intrigue du virus était relativement mal foutue, puisque le comportement des différents personnages étaient extrêmement changeants et ne suivaient pas la même trajectoire. Pour faire simple : les scénaristes ont manipulé maladroitement ce virus de façon à arriver plus facilement à leurs fins et c'était vraiment flagrant. Heureusement, cette intrigue a apporté énormément d'humour à l'épisode et a permis de voir certains personnages sous un angle différent même si ce n'était que temporaire. Le duo le plus réussi était sans aucun doute celui formé par Topher et Adelle. Elle s'est bien lâchée la bougresse. Les plans où elle faisait du trampoline étaient particulièrement drôles. Pour la première fois depuis le début de série, j'ai senti comme une Buffy-vibe. Ca fait bien plaisir. J'ai certainement dû rater quelque chose : comment Boyd fait-il pour se débarrasser du virus alors qu'il était clairement contaminé ?

   Si dans l'épisode précédent on avait des interviews pour rythmer l'ensemble, on a cette fois des bouts d passé d'Echo lorsqu'elle était encore Caroline. Concrétement, on apprend pas grand chose hormis dans la toute première scène. Même si Adelle l'a pas mal manipulée, elle est entrée dans la dollhouse de son plein gré. Un peu comme on entre dans une secte quoi. Ils ont profité de son état pour l'enroler. Justifier justement son état par la perte de son petit-ami me semble un peu facile, j'espère qu'il y a autre chose. Tout le coté Brigitte Bardot du pauvre "Je sauve les animaux" m'a gonflé au possible et c'était complètement inutile. Concernant Ballard et Mellie, on les a de nouveau boulettisés à mort, tout ça pour que ça se termine par le départ de Mellie. Bon et sinon, l'enquête de Ballard, elle avance quand au juste ? A noter enfin l'utilisation un peu plus intéressante de Victor dans cet épisode. Son personnage était relativement agaçant mais l'acteur se débrouille pas mal du tout. Sierra s'est fait très discrète, c'est dommage.

vlcsnap_61459


// Bilan // Tout l'intérêt de cet épisode repose dans l'humour très Whedonien qui le traverse tout du long. Le reste est approximatif et pas toujours convaincant.

31 juillet 2009

Weeds [5x o8]

Weeds

A Distinctive Horn //

dnes_v2_poll_stars2


vlcsnap_131356

   J'ai faili m'endormir et c'est inquiétant car, même dans ses pires périodes, Weeds ne m'a jamais emmerdé. Tout du long, j'ai eu l'impression que toutes les intrigues allaient dans le mauvais sens. Le bébé Botwin, sobrement nommé... Stevie Ray, va peut-être servir à une chose et une seule : pousser Esteban vers la porte de sortie. Petit à petit, Nancy réussit à l'exclure de sa vie. Il y a encore du boulot, il n'est pas homme à se laisser faire, mais c'est encourageant. On en a soupé de cette ordure, il est temps qu'il disparaisse. Là où je ne suis pas convaincu du tout, c'est par le fait qu'Andy devienne le père du bébé. En général, l'arrivée d'un bébé dans une série pourrit l'ambiance et j'ai peur que ce soit ce qui arrive une fois de plus. Andy avec un bébé ? Va-t-il encore réussir à être drôle face à un petit être qui ne parle pas et qui ne le comprends pas ? Et puis, est-ce une manière de le rapprocher de Nancy ? Si c'est le cas, c'est bien peu subtil. Content qu'il ait rasé sa barbe à la Oussama. C'était sacrément laid quand même. Je n'ai pas du tout compris quel était l'intérêt du rendez-vous avec Alanis Morissette. Certes, c'est marrant de le voir se faire prendre un vent, mais ça sort un peu de nulle part.

   Peu de lignes de dialogue ont retenu mon attention cette semaine mais je garde quand même en tête le "Do you know why I've never had children ?" - "Because you'd eat them and children are super-fattening ?". L'épisode commençat bien ! On ne comprend toujours pas bien ce que représente cette Pilar pour Esteban mais la piste de l'amante s'éloigne un peu. Une conseillère en communication simplement ? Elle doit avoir de quoi le faire chanter. Je la sens bien comme ça : manipulatrice et garce. Affaire à suivre. Le reste de l'épisode relève de l'anecdotique et du pas drôle ou au mieux de l'à-peine drôle. La bite de Doug dans le tiroir de Dean ? Mouais, un peu lourd. Le rapprochement Celia/Dean ? Déjà vu. L'absence d'Isabel ? Triste. Le retour de Lupita ? Ah, en voilà enfin une bonne idée ! Elle me manquait. Elle s'est contentée de faire du Lupita classique ici mais ça m'a fait bien plaisir de la revoir.

vlcsnap_128824


// Bilan // Des épisodes ennuyeux comme celui-ci, on s'en passerait volontiers ! Faites que la fin de la saison soit aussi réussie (voire plus encore) que le début...

          

30 juillet 2009

Hung [1x o4]

hung

The Pickle Jar //

dnes_v2_poll_stars4


vlcsnap_62472

   J'ai remarqué trois choses sur Thomas Jane : parfois, il louche un peu; il a une marque sur la fesse gauche dont je n'arrive pas à définir la nature; et puis c'est un acteur moyen. Et c'est surtout ça qui nous intéresse ici. J'aime son personnage, je trouve que Jane est suffisamment charismatique pour porter la série sur ses épaules musclées mais il y a malgré tout un truc qui ne le fait pas. J'ai trop souvent l'impression de le voir jouer. Mais peut-être est-ce dû au fait que son personnage joue constamment un rôle, qu'il soit dans son lycée ou avec une cliente. Il n'y a finalement qu'avec Tanya qu'il est vraiment lui-même. Et ce sont toujours les scènes qui les réunissent qui sont les meilleures ! Pas un hasard. Ce que j'ai beaucoup aimé dans cet épisode, c'est cette cliente d'un âge avancé, plutôt forte et coincée dans un mariage qui ne lui convient plus du tout. Son mari la baise chaque jour à la même heure et, en plus, il a une petite bite. Elle a besoin des services de Ray mais se rétracte au dernier moment. Avant de plonger une fois qu'elle a vu la bête ! C'était une histoire touchante et réaliste. L'actrice Margo Martindale est d'ailleurs formidable. Elle jouait une femme dont le mari était gay dans The Riches et on l'a vue la saison dernière dans Dexter, dans le rôle de Camilla. La connaissant un peu, je pensais qu'on lui avait confié un rôle de cinglée à la limite de l'hystérie mais pas du tout. Et c'est pas plus mal !

   J'avoue cependant qu'il y a encore pas mal de choses qui ne vont pas, notamment la place de Jessica dans tout ça. Le fait qu'elle ait récupéré la carte de visiste de Ray sous-entend qu'elle va découvrir son secret d'ici la fin de la saison mais en attendant, que faire d'elle ? Au début, j'imaginais son personnage plus fou, plus extrême. Elle est finalement assez sage, juste un petit grain de folie de temps en temps, comme lorsqu'elle tient absolument à récupérer le casse-noix qui était resté chez Ray. Ca reste très anecdotique, un peu commes les histoires qui touchent ses enfants. Encore une fois, je trouve excellent de nous montrer  des ados paumés, pas beaux et pas riches, ça change. Mais comment traiter de leur mal-être quand si peu de temps peut leur être accordé, le format de la série oblige ? C'est du gâchis. A part ça, il y a quelques scènes qui n'avaient pas grand intérêt, notamment celle où Ray tombe sur le coach de vie de Tanya en faisant son footing. Il n'en ressort rien ! Sinon, les petits jeux de caméra m'amusent beaucoup. On ne veut pas nous montrer la bête mais on veut quand même nous laisser croire que c'est possible, à travers une serviette qui virevolte par exemple. C'est rageant !

vlcsnap_73740


// Bilan // Le charme de la série (et des personnages) opére parfaitement et c'est le plus important. Maintenant oui, il y a des imperfections, mais on s'en accomode plutôt bien.

    

29 juillet 2009

Samantha Who ? [2x 19 & 2x 2o]

samwho

The Other Woman // With This Ring (Series Finale)

3 5oo ooo tlsp. // 3 3oo ooo tlsp.

dnes_v2_poll_stars2mini // dnes_v2_poll_stars3mini


vlcsnap_85283

   C'est donc clair maintenant, Billy Zane a décidé de nous plomber la fin de la série. Il n'est pas drôle et il a zéro alchimie avec Christina Applegate, laquelle était particulièrement jolie dans cet épisode d'ailleurs. A moins que ce soit Angie Harmon qui fasse tout capoter ? Je comprends mieux l'annulation de la série maintenant ! Vu qu'elle porte la poisse (Women's Murder Club, Mitch Buchannon, Inconceivable...). Elle non plus n'a pas un grand sens comique, je ne comprends donc pas ce qu'elle vient faire là. Elle a peut-être été imposée par ABC, tout comme Billy Zane qui sera la saison prochaine un des héros de The Deep End. En tous cas, c'était judicieux de faire du personnage d'Angie Harmon celle qui a roulé sur Sam et qui l'a rendue amnésique. La boucle est bouclée ! Heureusement, Jennifer Esposito est là pour rattraper le coup. On la voit très peu à l'approche de son mariage, mais le fait qu'elle refuse d'avaler quoi que ce soit pour être la plus mince possible lors de la cérémonie est une idée excellente ! Pour le reste, on plonge en plein dans la comédie romantique facile et je ne reconnais définitivement plus Samantha Who?. Comme je l'ai déjà dis pour les épisodes précédents, les scènes pseudo-romantiques sans second degré et avec musique de fond cucul se multiplient, tandis que les moments de comédie se réduisent comme peau de chagrin. Regina ne brille plus, pas plus que Dena qui a miraculeusement retrouvé son mec après une longue absence ! Je sens que le final va se transformer en triple mariage...

   Et je me suis trompé ! Dans le Series Finale, il n'y a finalement aucun mariage. Ca se termine malgré tout sur le bonheur de trois couples et le malheur d'un autre. On nage toujours en pleine comédie romantique moyenne mais, au moins, on a droit à une vraie fin sans cliffhanger. Comme prévu, le couple Sam/Todd est enfin réuni. Les divers événements qui les aménent à se retrouver à l'aéroport sont très classiques et rien n'est particulièrement drôle. L'avantage avec une actrice comme Christina Applegate, qui a la comédie dans le sang, c'est qu'elle se démène comme une malade pour au moins faire sourire et elle y parvient toujours ! Sam reste Sam et sa folie fait toujours plaisir à voir. Du coté de Regina et Howard, c'est la séparation. Ca fait trois épisodes que l'on décline invariablement la même intrigue, je commençais donc à trouver le temps long en leur compagnie et ce malgré le talent indéniable de Jean Smart. Il ne se passe pas grand chose pour Dena, à part que son chéri est pris de folie passagère. Ca ne donne pas grand chose mais le coup des chiens à la fin fait son petit effet. Ca a toujours été un des meilleurs ressorts comiques concernant ce personnage attachant et vraiment amusant. Sa réfèrence à Lost m'a évidemment fait bondir de mon canapé ! Le mariage d'Andrea avec Tony Dane n'a donc pas lieu. Les faux parents, c'était marrant; la vie de princesse aussi; et puis le retour de Seth, c'était pas mal non plus. Je l'avais complêtement oublié puisque l'on ne l'avait plus vu depuis un bon moment mais tout compte fait, c'était une conclusion évidente. Jennifer Esposito reste pour moi la révélation de cette série. Elle était vraiment tordante !

vlcsnap_85487


// Bilan // L'été meurtrier se poursuit. Après Pushing Daisies et Eli Stone, c'est au tour de Samantha Who? de rendre l'âme. Ca n'a jamais été une sitcom révolutionnaire mais avec son humour girlie et sa belle brochette d'acteurs talentueux, elle possédait un fort capital sympathie. Elle a toujours été inégale, avec autant de bons épisodes que de ratés, mais elle fait partie des rares sitcoms du moment qui ont su établir leur propre univers, sans trop copier ce qui a été fait avant. On sent bien en virage lors des cinq derniers épisodes pour tenter de sauver la série mais c'était déjà trop tard et ce n'était en plus pas du tout le bon chemin à prendre. La série a été sacrifiée par ABC alors que la chaîne avait proposé dans un premier temps  aux producteurs un deal : "si vous acceptez de réduire le coût de la série en la transformant en une sitcom classique multi-caméras, on la renouvelle". Les producteurs ont accepté et ABC l'a quand même annulée ! C'est peut-être pas plus mal comme ça... Reste maintenant à recaser Christina Applegate quelque part parce que cette femme est simplement excellente.    

28 juillet 2009

[Rentrée 2oo9-2o1o] CBS

36115151_p

CBS, l'indétrônable experte de la télévision américaine, est la première chaîne à passer sur le grill. Avec peu de nouveautés et beaucoup de valeurs sûres, elle mise sur la continuité à la rentrée. Cependant, on notera quelques petites prises de risque...   

Elles nous quittent...

   Cette saison, une fois de plus, n'a pas été particulièrement meurtrière pour la chaîne. 3 des 6 nouveautés lancées ont été annulées, dont la sitcom Worst Week qui n'a jamais véritablement réussi à trouver son public malgré ses qualités indéniables. Il faut dire qu'il n'est pas aisé de se frayer un passage dans l'ombre de Mon Oncle Charlie, qui reste la série numéro un aux Etats-Unis. On se demande toujours pourquoi d'ailleurs. Le drama policier Eleventh Hour, à mi-chemin entre Les Experts et X-Files, pourtant signé Jerry Bruckheimer, n'a pas donné entière satisfaction. Elle avait pourtant environ 12 millions de fidèles mais ce n'était apparemment pas assez. Pas suffisant non plus les 12,5 millions de fans de FBI : Portés Disparus. Après 7 saisons, la série et ses héros ont été jetés comme des malpropres. Au profit de Cold Case, renouvelée malgré sa grande fragilité dans une case pourtant moins difficile que le mardi 22h. Pas facile de comprendre certaines décisions... On parle de cachets trop élevés pour les acteurs de FBI. Ben maintenant ils n'en ont plus du tout, de cachet. Autre annulation que l'on aurait presque tendance à oublier tant elle est survenue tôt dans la saison : The Ex-List. Lorsque CBS essaye de faire du mauvais ABC, c'est bidesque à souhait. L'annulation de The Unit semble tout à fait logique, d'autant que ça aurait déjà dû lui arriver l'année dernière. Et puis, pour finir, celle d'Harper's Island, certainement une des séries les plus attendues de l'année qui s'est rapidement transformée en l'un des plus grands ratés de l'année ! Pitoyable et même pas drôle.   

harpers_island

Elles reviennent...

   Je ne vais pas m'attarder sur les renouvellements en pagaille des séries de la chaîne. On notera que Les Experts commencent doucement à souffrir sans la présence de William Petersen à son générique mais elle reste l'une des valeurs sûres de la chaîne, aux cotés de ses spin-off, et de NCIS, qui a réalisé sa meilleure saison cette année, on ignore pourquoi. Son duo avec le succès surprise de l'année, The Mentalist, n'y est sans doute pas étranger. Ghost Whisperer et Numb3rs assurent toujours le vendredi, accompagnée d'une série canadienne, Flashpoint, qui a su faire ses preuves dans la case sinistrée du vendredi 21h. Le mercredi les Esprits Criminels marchent toujours bien. Du coté des sitcoms, le futur duo Mon Oncle Charlie/The Big Bang Theory devrait faire des miracles à la rentrée, au contraire du duo Old Christine/Gary Unmarried, qui est renconduit mais qui n'a pourtant pas brillé cette année. Rules Of Engagement conserve sa place de sniper à la qualité plus que douteuse. Un dernier mot pour évoquer l'arrivée de Medium sur la chaîne, après l'annulation de NBC. Son duo avec Ghost Whisperer devrait logiquement séduire et NBC va s'en mordre les doigts. Mais qu'est-ce qui lui a pris aussi franchement ?

big_bang_theory_1243499967

Elles arrivent...

   CBS ne lancera aucun nouveau cop-show la saison prochaine, si ce n'est The Bridge, une coproduction canadienne sur un ancien flic devenu chef d'un syndicat de police, le truc pas bandant du tout, et le fameux spin-off de NCIS, originalement intitulé NCIS : Los Angeles. La chaîne n'a pas pu s'en empêcher. Je suppose qu'une fois de plus, les téléspectateurs-moutons seront au rendez-vous : "Hein t'aimes ça ****** !". Voilà qui va en même temps faire la joie de M6 ! Seulement une nouvelle sitcom va être lancée, Accidentally On Purpose. Je lui prévois un destin funeste mais je suis impatient de voir ce que ça va donner car j'adore Jenna Elfman, et à défaut de retrouver Christina Applegate quelque part... Pourquoi je suis pessimiste ? Parce que la précédente sitcom de l'actrice avait vite été annulée par la chaîne alors que ses audiences étaient correctes et que c'était, ma foi, plutôt super sympa. Il s'agissait de Courting Alex (Alex Rose en VF). Et puis parce que l'association avec How I Met Your Mother le lundi à 20h30 était la dernière chose à faire. On sait la sitcom fragile, surtout sans Big Bang en lead-in, donc lancer une nouveauté derrière relève du suicide audimatique à mon avis. C'est ce qui me fait dire aussi que l'heure de la dernière saison pour How I Met a peut-être sonné. Au niveau des dramas, CBS mise beaucoup sur Three Rivers, qui sera diffusée le Dimanche à 21h, suivie de Cold Case. Il s'agit d'une série médicale centrée sur la don d'organe. Au-delà du fait que le concept semble un peu limité, on sent bien que cette série ne sera pas drôle du tout, voire déprimante, et je ne suis pas certain que ce soit ce dont les téléspectateurs ont besoin en ce moment. Et puis Alex O'Loughlin, il est mignon et sympathique, mais il porte déjà le poids du bide de Moonlight sur les épaules, je le sens poissard ! Et puis, toujours dans le genre médical, il y aura Miami Trauma à la mi-saison, qui fera concurrence à... Trauma sur NBC. Il y sera question d'une course contre la montre menée par des chirurgiens spécialisés en traumatologie pour sauver des vies. Toute ressemblance avec milles autres séries est purement fortuite. Enfin, deux séries judiciaires vont faire leur apparition. Ca tombe bien, la chaîne n'en avait pas. The Good Wife d'abord, avec Julianna Margulies dans le rôle-titre. Elle interprétera le rôle d'une avocate mariée à un politicien qui tente de réussir sa carrière malgré les difficultés. Mouais. La série peut être très réussie, les premières critiques sont d'ailleurs très bonnes, mais de là à ce que ça attire le public, c'est autre chose. Je n'y crois pas une seule seconde. Quant à House Rules, prévue pour la mi-saison, je crois que c'est encore pire. Ca a l'air trop pointu pour séduire un très large public. 

19109094_w434_h_q80

Alors ?

Ce n'est encore pas cette année que CBS va réussir à imposer ses nouveautés. Peu de chance pour qu'un miracle à la The Mentalist se reproduise, NCIS : Los Angeles mis à part car, pour le coup, c'est vraiment trop facile. Les valeurs sûres continueront d'assurer mais leur succès n'est pas éternel.... CBS ferait bien de préparer l'après, la chute risque d'être rude. Au petit jeu des pronostics, je pense que la soirée du Dimanche va être très difficile à négocier et qu'au contraire, celle du jeudi va reprendre des couleurs avec l'arrivée de The Mentalist à 22h, qui pourrait d'ailleurs bien vite passer à 21h, reléguant Les Experts à 22h. Le Lundi 20h, le Mercredi 20h et le Mardi 22h pourraient poser problème, tandis que toutes les autres cases resteront dans leur moyenne habituelle.    

27 juillet 2009

Dollhouse [1x o6]

dollhouse

Man On The Street // 4 14o ooo tlsp.

dnes_v2_poll_stars4


vlcsnap_258068

   Alors là, bravo ! J'avais lu (dans vos commentaires ici-même notamment) que ce sixième épisode était meilleur que les précédents et c'est complêtement vrai. Whedon exploite enfin le potentiel de la série. Il y a encore plein d'imperfections mais je ne me suis pas ennuyé une seconde pour une fois. Il faut dire que l'idée du documentaire, où les citoyens lambda sont interrogés sur le mythe de la dollhouse, donne du rythme à l'épisode et de l'humour surtout, ce dont la série manquait cruellement depuis le début. Maintenant, il n'y aura pas ces interviews dans les prochains épisodes donc il faudra trouver autre chose pour donner du rythme à l'ensemble. De vraies bonnes intrigues, ce serait pas mal par exemple. Celle du viol dans cet épisode était particulièrement bien menée. Sierra semble avoir été violée et les soupçons se portent logiquement sur Victor. Evidemment, ce n'est pas du tout lui. Les protagonistes étant peu nombreux, il n'y avait pas cinquante possibilités mais ça va très vite donc pas tellement le temps de se poser des questions. C'est l'occasion de voir davantage les autres dolls et rien que pour ça, je suis content. Dichen Lachman a mille fois plus de charisme que Eliza Dushku, et je trouve son personnage plus attachant, bizzarement. Autant dire que je n'étais pas mécontent de voir si peu Echo.

   L'enquête de Ballard a enfin pris un tournant intéressant, très prenant même. Je ne m'attendais pas à ce qu'il rencontre Echo/Caroline si tôt. Et je ne m'attendais pas non plus à ce que cette scène soit drôle. Non parce que le coup du "Porn!" toutes les deux secondes, c'était excellent et innatendu. L'histoire du jour, celle de cet homme qui a perdu sa femme trop tôt et qui veut vivre chaque année ce qu'il n'a justement jamais pu vivre avec elle, était vraiment poignante. Il y avait les aveux à Ballard mais surtout la fin, sur une jolie musique et une Eliza Dushlu convaincante, pour une fois. Un peu d'émotion, ça ne fait pas de mal dans une série surtout tournée vers l'action. Y'en a pour tous les goûts. Non parce que personnellement, la scène de bagarre entre Echo et Ballard par exemple, ça ne m'a pas plus branché que ça. C'était bien fait mais bon, ça m'emmerde plus qu'autre chose. On a quand même appris une chose intéressante : il y a une taupe à la dollhouse ! Qui ? Dominic ? Le Dr Saunders ? Là encore, il n'y a pas mille possibilités mais ça a le mérite d'intriguer énormément. Tout ce qui a pu se passer autour de Mellie-Lasagnes-Rouleau de Printemps était pas mal non plus. C'est dommage que sa relation avec Ballard ait vraiment commencé dans cet épisode. Si les choses avaient été plus délayées, on se serait sans doute fait moins chier au cours de épisodes précédents. D'un autre coté, on aurait moins ressenti la montée en puissance qui nous a fait croire que Mellie allait être assassinée, avant d'apprendre finalement, sans grandes surprises, qu'elle était une doll elle-aussi. Avec un prénom pareil en même temps ! Le coup de la caméra cachée est un peu exagéré en revanche. A part ça, ravi d'apprendre qu'il existe une vingtaine d'autres dollhouses dans le monde. Ce ne sera certainement jamais exploité, trop compliqué, mais ça donne de l'ampleur à la chose, et plus d'ambition à la série. C'est pas plus mal.

vlcsnap_262660


// Bilan // Le meilleur épisode depuis le début de la série, avec du rythme et des révélations. Par contre, il me conforte dans l'idée que Dollhouse aurait été meilleure en ne se concentrant pas exclusivement sur Echo. On la voit peu ici et c'est agréable de découvrir davantage les personnages secondaires. Et puis la série s'est achetée de l'humour, ce n'est pas négligeable !    

   

Publicité
Publicité
Des News En Séries, Le Blog
Publicité
Visiteurs
Depuis la création 2 496 429
Derniers commentaires
Archives
Publicité