How I Met Your Mother [8x 03 > 8x 12]
Nannies // Who Wants To Be A Godparent? // The Autumn Of Break-Ups // Splitsville // The Stamp Tramp // Twelve Horny Women // Lobster Crawl // The Over-Correction // The Final Page (Part 1 & 2)
7 820 000 tlsp. // 7 930 000 tlsp. // 7 220 000 tlsp. // 7 950 000 tlsp. // 7 450 000 tlsp. // 8 730 000 tlsp. // 8 260 000 tlsp. // 8 820 000 tlsp. // 8 700 000 tlsp.
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(Part 1) //
(Part 2)
Sans trop me mouiller, étant donné qu'on le voyait tous venir, j'avais prédis en début de saison que cette 8ème année des aventures de la bande à Barney ne serait pas la dernière. Et plus les semaines ont avancé et plus les résultats d'audience de CBS ont décliné sur l'ensemble de ses soirées, plus il m'a semblé évident que la chaîne allait tout faire pour garder How I Met Your Mother une saison supplémentaire, au moins. C'est désormais chose faite. Craig Thomas et Carter Bays vont donc pouvoir ralentir le rythme- pas qu'ils l'avaient spécialement accéléré en même temps- et délayer encore un peu plus la sauce. A moins qu'ils ne prévoient de nous faire enfin rencontrer la mère à la fin de la saison, lors du mariage de Robin et Barney... Ce serait à mon avis la bonne décision, et mon intuition me dit que cette fois, ils vont oser. Mais... il y aura forcément un "mais", un rebondissement de dernière minutes... Quelque chose ! De quoi nous faire patienter un été de plus et espérer rassembler un maximum de fans de la première et de la dernière heure pour ce qui devrait être, enfin, la dernière saison de la sitcom. En attendant, comme d'habitude, il faudra prendre notre mal en patience et se contenter de ce qu'on nous offre, c'est à dire... pas grand chose parfois.
Ce début de 8ème saison est comme l'ensemble de la précédente : les bons épisodes succèdent aux mauvais. Ce qui est toujours mieux que la période où ils étaient, à de rares exceptions près, toujours paresseux, pas drôles et forcés. Le souci principal était inévitable : sachant comment allaient se terminer les nouvelles relations de Robin, Ted et Barney, toutes les trois au centre de l'attention, il était extrêmement difficile de se sentir dès lors impliqué. Surtout quand on est face à une Victoria -ennuyeuse, réminiscence d'une saison inaugurale réussie mais trop lointaine- et Nick -transparent, inintéressant, à oublier- et heureusement, les 5ème et 6ème épisodes, The Autumn Of Break-Ups et Splitsville, nous en a débarrassés. Pas de la manière la plus maligne qui soit d'ailleurs, puisqu'ils sont devenus en l'espace d'un seul épisode très différents, avec un semblant de personnalité et de caractère, et avec un sens très prononcé pour la stupidité basique, mais au moins, ils sont partis. Vieux réflexe de scénaristes qui ont déjà sept saisons dans les pattes : il a fallu revenir pour la millième fois sur la relation ambigüe entre Robin et Ted. Au cours de ces mêmes épisodes, on touchait le fond du côté de Barney, qui essayait de draguer grâce à un chien. Lorsqu'un chien est utilisé dans une intrigue au sein d'une comédie, en général, c'est le début de la fin ! Deux épisodes plus tôt, il tentait sa chance avec des nourrices. Ce n'était pas d'une grande originalité, malgré ce que l'on voulait nous faire croire, mais c'était nettement plus amusant. Heureusement qu'il y avait cette nounou anglaise hilarante, cela dit. D'ailleurs, pour le moment, sans faire des miracles, on peut dire que la naissance de l'enfant de Lily et Marshall a globalement inspiré les auteurs. Ce n'est pas fabuleux, ni même original si l'on compare à toutes les autres comédies de potes (ou familiales) qui sont passées par là, mais c'est distrayant dans How I Met. Le coup du "Who Wants To Be A Godparent?" était vraiment pas mal, une manière originale de traiter ce thème récurrent dès lors qu'un bébé entre en scène. Les apparitions du père de Lily sont appréciables également. On a connu des personnages plus drôles, mais il a son petit truc à lui qui passe bien. Un des gimmicks qui me fait rire à tous les coups sinon, c'est les fantasmes de Lily envers Robin. C'et utilisé avec parcimonie, alors ça marche.
Et puis il ya bien sûr eu l'intrigue boulot annuelle de Marshall, qui nous fait passer de mauvais quarts d'heure à chaque fois mais dont les auteurs sont apparemment friands. Cela donne toujours l'impression que le personnage évolue. C'était vrai la première fois, voire la deuxième, mais plus du tout maintenant. Dans le diptyque formé par les épisodes 7 et 8, on assiste donc au retour de Joe Manganiello. La première partie est franchement ronflante, avec un Brad devenu beauf qui nous enchaîne des blagues façon Mon Oncle Charlie. On n'est pas venu pour ça, alors on souffre. Pendant ce temps, on rapproche de nouveau sans faire d'efforts Robin et Barney, à base de concours de clubs de strip-tease pas drôle une seule seconde. On souffre encore. Et je ne me souviens plus précisément de l'intrigue de Ted à ce moment-là, si tant est qu'il en ait eu une, mais ça veut tout dire je crois. La souffrance quoi. Dans la seconde partie, une fois le twist sur Brad révélé, on souffle un peu plus et on souffre un peu moins. Le procès parodique fonctionne bien. Joe Manganiello devient même franchement drôle avec ses pitreries et ses vidéos censées être super hot. Marshall tente tant bien que mal de nous faire décrocher un sourire parallèlement. Il faut dire qu'il ne sera jamais crédible en avocat, quoique Jason Segel fasse. A côté de ça, Twelve Horny Women repose sur des ressorts classiques à base de flashbacks vrais/faux où les membres du gang veulent prouver qu'ils ont eu une jeunesse rebelle. Pas de quoi s'extasier. C'est la réflexion que je me suis faite aussi avec l'épisode suivant, qui remet en scène la construction de l'immeuble de Ted, intrigue que l'on avait totalement oublié pour être franc. Le Ted architecte laisse surtout place au Ted nounou, et là c'est mignon, surtout les flashforwards de fin le montrant avec ses futurs enfants. Et pendant ce temps, le rapprochement Barney/Robin continue, pour le meilleur et surtout pour le pire.
The Over-Correction est le premier vrai bon épisode de la saison, et il entre même dans mon top 15 toutes saisons confondues ! On y retrouve le panache des premières années avec un concept original, qui met sur le devant de la scène Patrice. J'adore Patrice, le souffre-douleur de Robin ! Elle s'en prend tellement plein la tronche, tout le temps, sans sourciller. Les vindictes de Robin à son encontre sont légendaires : "Damn It, Patrice!". Bref, tout fonctionne ici. C'est du théâtre de boulevard, mais filmé. Cobie Smulders rayonne. Puis dans le duo suivant, The Final Page, on passe du pire au meilleur. La première partie n'est pas nulle, elle est juste terriblement classique, dans la redite totale. On nous sort un énième "copain de fac" de Lily et Marshall, et le seul intérêt est qu'il soit incarné par Seth Green. Okay, on est content de revoir Oz et Willow ensemble, mais ça s'arrête vraiment là. Cette intrigue en elle-même ne débouche sur rien, si ce n'est un concept de "nemesis" pour chacun des personnages pas très réussi, à part pour Robin justement et la fameuse Patrice. La storyline de Ted et son ancien professeur joué par Peter Gallagher est sans intérêt. Et puis Peter Gallagher, franchement... A part The O.C., il a fait quoi de bien dans sa carrière ? Ne me parlez pas du Lagon Bleu ! Dans la seconde partie, en revanche, tout s'éclaire. Les auteurs nous prennent totalement par surprise, chose à laquelle on n'est plus du tout habitué, et nous révèle que tout ce que l'on a vu pendant trois épisodes faisait partie d'un plan machiavélique mais trop chou de Barney pour récupérer sa dulcinée et lui demander sa main. Tout s'emboîte parfaitement et ça fait vraiment plaisir. Non parce que le couple Patrice/Barney, on n'y croyait évidemment pas du tout, mais on se disait qu'avec lui, de toute façon, tout était possible. Et c'est ainsi que ce moment clé que l'on attendait depuis un moment est devenu magique, ou en tous cas mythique. Et tant pis s'il a fallu pas mal rouler des yeux dans les épisodes précédents !
// Bilan // Je ne peux pas qualifier ce début de saison 8 de How I Met Your Mother de réussi. Trop d'épisodes étaient à la limite du médiocre, avec des guest-stars mal utilisés et des gags paresseux et redondants. Mais je reconnais que, par deux fois, les auteurs ont réussi à me surprendre et à me plaire. C'est une maigre consolation et ça ne donne aucun indice sur ce qui nous attend pour le reste, mais on sait au moins qu'ils sont encore capables de faire de bonnes choses. On peut donc espérer encore quelques passages mémorables d'ici à la fin de la saison, et de la série !
How I Met Your Mother [8x 02]
The Pre-Nup // 8 170 000 tlsp.
Cet épisode d'How I Met Your Mother m'a fait beaucoup rire, je dois dire. Pour une fois, Bob Odenkirk a été utilisé à bon escient. Ses précédentes apparitions m'avaient beaucoup déçu et n'étaient pas à la hauteur du grand Saul Goodman qu'il interprète dans Breaking Bad. C'est un peu bête et injuste de raisonner comme ça mais les deux personnages semblent si proches tout en évoluant dans deux univers totalement différents que l'on attend que l'un soit aussi drôle et fou que l'autre. Et on sait ce dont l'acteur est capable en plus. Marshall et Lilly, comme d'habitude, n'ont pas servi à grand chose mais ils ont quand même occasionné quelques rires grâce à l'art ancestral du jeté de bébé perpétué depuis des générations par les Eriksen. Et puis Robin, dans l'une de ses crises d'égo farfelues, a été gross et tordante. Son petit ami est inintéressant au possible par contre -et Michael Trucco confirme au passage qu'il a le charisme d'une huître- mais la Scherbatsky n'a besoin de personne pour faire le show !
Ted évoque en début d'épisode le "Summer Of Love" que l'on a raté et auquel on aurait pourtant beaucoup aimé assister -ou que l'on daigne au moins nous en faire un résumé- puis il passe directement au "Fall Of Break-ups". C'est une erreur stratégique : autant on sait comment et pourquoi Quinn s'est bien intégrée à la bande, autant on ignore totalement comment Victoria et Nick ont fait. On nous les impose dans les scènes de groupe comme rarement les auteurs ont osé faire. Encore, ils auraient pris une part active dans l'action... mais non, ils se retrouvent à faire de la figuration en arrière-plan et c'est un peu humiliant ! Nous, par conséquent, on ne peut pas du tout s'attacher à eux faute de matière suffisante. Etant donné que l'on sait déjà dans les grandes lignes ce qui va se passer dans le futur grâce aux flashforwards, notre implication dans les affaires courantes est drôlement compliquée. Quinn, Victoria et Nick ne peuvent plus être vues que comme des obstacles. Dans le cas de Ted et Victoria, c'est pire que tout : c'est l'ex de celle-ci, Klaus, qui assure toute la partie comique avec un sacré panache. Mais eux... eux ils restent assis sur leur canapé ou dans leur lit à attendre que ça passe. Boring...
Dès les premières secondes de The Pre-Nup, on apprend qu'un couple va se séparer à la fin. Je ne suis pas contre jouer sur le suspense, mais dans un cas comme celui-là où le résultat est si évident, est-ce bien nécessaire ? Comme on s'y attend donc, c'est le couple Quinn/Barney qui rend les armes. Une rupture trop prématurée, dans le sens où le duo fonctionnait vraiment bien et qu'il pouvait encore nous divertir un moment selon moi. Alors que si Victoria ou Nick partent demain, on ne verra pas la différence. Ou au pire, on s'en réjouira ! La vérité, c'est que Becki Newton n'était plus libre ensuite à cause du début du tournage de la première saison de The Goodwin Games, nouvelle série des créateurs de How I Met pour la Fox et attendue à la mi-saison. Alors même si l'histoire du contrat prénuptial était amusante et nous a permis de retrouver un Barney en grande forme, ses conséquences sonnaient faux. La rupture s'est faite sans véritable émotion et c'est bien triste quand on pense que Quinn est depuis le début de la série le seul personnage récurrent à avoir réussi son intégration. Et les tentatives n'ont pas manqué !
// Bilan // D'un point de vue purement comique, cet épisode était une jolie réussite. Mais, à cause de sa construction, il n'a fait que mettre encore plus avant les défauts de ce début de saison et les limites désormais atteintes par le concept de la série. Il n'y a plus aucun suspense...
How I Met Your Mother [7x 13 > 7x 18]
Tailgate // 10 140 000 tlsp.
46 Minutes // 10 080 000 tlsp.
The Burning Beekeeper // 9 980 000 tlsp.
The Drunk Train // 9 010 000 tlsp.
No Pressure // 9 810 000 tlsp.
Karma // 9 070 000 tlsp.
C'est lorsque je me remets à théoriser sur l'identité de la fameuse "mother" que je me rends compte, plus que jamais, que la comédie a retrouvé de son mordant et de son attrait. L'épisode sur la stérilité de Robin me reste encore en mémoire. Il m'a vraiment chamboulé et désormais, pour moi, la machine est totalement relancée. C'est pourquoi des épisodes comme le 13 et le 14, franchement moyens, passent assez bien au milieu de pièces très réussies. D'ailleurs, 46 minutes était très touchant. Malheureusement, il n'était que ça. Je crois que tout a été dit sur le deuil de Marshall envers son père. Mais revenons-en d'abord à une idée dont je voulais vous faire part, qui m'est venue comme ça d'un coup et je compte bien évidemment sur vous pour me prouver par a+b que je me trompe, que ce n'est pas possible pour telle ou telle raison... Allez-y, n'hésitez pas ! Peut-être même que c'est une théorie populaire, dont j'ignorais l'existence. A vous de me dire... Je pense donc que la mère est MORTE. Pourquoi ? Parce que c'est en fait très curieux, quand on y réfléchit, que Ted raconte la longue histoire de leur rencontre sans qu'elle soit présente. Cela dit, c'est un peu radical, je le reconnais. Elle peut tout aussi bien être plongée dans un profond coma ou elle peut avoir quitté le domicile conjugal après avoir demandé le divorce. Tout est possible. Mais son absence ne peut pas rester sans explication. Il y a quelques saisons, on n'imaginait pas forcément que la série serait capable de nous transporter d'une émotion à l'autre avec autant d'aisance et d'efficacité, donc c'est une théorie, franchement déprimante, que l'on osait même pas imaginer. Ca ne collait tout simplement pas. Mais aujourd'hui, alors qu'How I Met s'est transformée en dramédie, ça me semble beaucoup plus plausible. Moi, en tout cas, ça me plairait énormément. Seul petit bémol : les enfants n'ont pas l'air particulièrement traumatisés. Si leur mère était morte, ils feraient peut-être une autre tête... Ce serait en tout cas le meilleur moyen pour marquer définitivement les esprits ! Réponse dans deux ou trois ans...
En attendant, les rebondissements vont encore être nombreux et, rien que dans cette poignée d'épisodes, les scénaristes s'en sont donnés à coeur joie ! Ils se sont d'abord débarrassés de Kevin, le petit ami de Robin incarné par Kal Penn. Sa sortie, muette, était plutôt classe et surtout très émouvante, dans le prolongement logique de Symphony of Illumination. On ne le regrettera pas franchement. Il était sympathique mais sa relation avec la jeune femme a toujours sonné un peu faux. Ils ressemblaient bien plus à des amis qu'à des amants, et ça devenait problèmatique malgré l'aspect fun de leur duo. C'est à ce moment-là que Becki Newton, dans le rôle de la strip-teaseuse Quinn, a fait sa première apparition afin de compliquer le retour tant attendu du couple Robin/Barney. Ted s'y est mis aussi, une idée qui m'a paru saugrenue au départ mais qui a finalement été très bien justifiée. Une fois de plus, l'émotion était au rendez-vous. Que vaut Quinn alors ? Elle ne devrait pas avoir de mal à éclipser les dernières guest-stars féminines en date. Elle est drôle, en grande partie grâce au charme de Becki Newton, intacte depuis Ugly Betty -alors quand en plus on l'aime bien à la base et qu'on est ravi de la retrouver... c'est parfait- et son tandem avec Barney ne pouvait pas être meilleur ! Il a enfin trouvé une femme à la hauteur de sa folie. Mais Quinn n'est pas claire. Elle semble cacher quelque chose mais quoi ? J'ai bien l'impression qu'au bout du compte, elle va lui mettre la raclée de sa vie et venger ainsi toutes les femmes qu'il a fait souffrir. Mais si leur histoire pouvait être un peu plus que ça, ce serait encore mieux...
Au-delà de l'aspect feuilletonnant de la série extrêmement bien utilisé ces temps-ci, les auteurs font aussi preuve d'une belle imagination pour les intrigues secondaires. La vie de Marshall et Lily dans les suburbs les a drôlement inspirés. Le thriller commenté par Robin façon journal intime ET documentaire animalier était franchement tordant. Je me demande si ce n'est pas Suburgatory qui leur a donné cette idée, le ton étant assez proche. Je suis moins fan du retour "à la case départ" du couple au final, mais c'était super bien justifié. Le jeu des chaises musicales dans l'appartement de Ted n'en finit plus (et celui de Friends, à coté, parait bien pâle). L'épisode The Burning Beekeeper partait quant à lui d'une excellente idée, pas classique dans la forme même pour du How I Met alors forcément terriblement originale comparé aux autres sitcoms. Il a tenu ses promesses, avec une utilisation à peu près digne pour une fois du talent de Martin Short. C'était stressant, bordélique, un peu décevant au moment de la résolution mais très bien pensé. Du très bon boulot. La storyline de la sextape de Marshall et Lilly, le saint graal pour Barney en d'autres termes, était à se pisser dessus. Le principe du "drunk train" était pas mal non plus mais j'ai un peu moins adhéré. Et je crois que c'est tout. Et c'est déjà pas mal pour une seule et même série !
// Bilan // How I Met Your Mother se porte très bien, merci. J'invite à nouveau tous ceux qui ont abandonné la série il y a queques temps à lui redonner une chance, ce serait dommage de passer à coté de quelques très bons épisodes.
How I Met Your Mother [7x 09 > 7x 12]
Disaster Averted // 10 280 000 tlsp.
Tick Tick Tick... // 10 420 000 tlsp.
The Rebound Girl // 10 010 000 tlsp.
Symphony Of Illumination // 11 710 000 tlsp.
C'est beau de voir une série renaître de ses cendres. C'est rare. Vous qui me lisez mais qui avez abandonné How I Met You Mother, peut-être devriez-vous retenter l'aventure. Moi, je suis fier de m'être accroché jusqu'ici. Il semblerait que ma patience soit (enfin) récompensée. Rien n'indique que tout le reste de la saison 7 sera bon mais on aura au moins eu les meilleurs épisodes depuis bien bien longtemps... Cela dit, How I Met n'est plus la comédie romantique des débuts. Elle est passée par différentes phases, dont celle de la comédie plus très drôle qui peine à se différencier des quinze autres qui traitent du même sujet en même temps. Elle s'est transformée ces derniers temps en dramédie de 22 minutes qui n'hésite pas à aborder des thèmes plus sérieux et plus profonds au milieu de quelques âneries de plus ou moins bonne facture. Les personnages, dans leurs malheurs, se sont enrichis. Barney n'est plus tout à fait la machine à blagues et excentricités. Marshall n'est plus que le grand benêt un peu trop rêveur. Ted... oh, Ted reste et restera Ted, et c'est pour ça qu'on l'aime. Et puis Robin...
Ah, Robin... Vous savez, je l'aime d'amour Robin. Je l'ai toujours dit, depuis le premier jour de notre rencontre. Le coup de coeur. Le coup de foudre. Elle ne m'a jamais déçu, et elle m'a même souvent agréablement surpris (je l'aimais avant d'apprendre qu'elle avait été une vedette au Canada, qu'elle avait collectionné les tubes et qu'elle avait couché avec James Van Der Beek). Elle m'a souvent fait beaucoup rire mais m'a-t-elle déjà fait pleurer ? Jamais ! L'épisode Symphony Of Illumination, qui clôture la première partie de la saison 7, s'en est chargé avec brio. Je me doutais bien que Cobie Smulders était plus qu'une bonne danseuse et une bonne comique. Elle est bel et bien une vraie bonne actrice et, pour la première fois, elle a pu démontrer toute l'étendue de son talent. Après un cliffhanger qui laissait sur le cul mais qui rendait aussi un peu perplexe -Robin, enceinte ? Ku-wua ?- les auteurs se sont débrouillés comme des chefs pour nous trimballer d'une émotion à une autre, entre joie et peine. Non seulement Robin apprend qu'elle n'est finalement pas enceinte mais, en plus, qu'elle ne pourra jamais avoir d'enfant. L'annonce était émouvante mais toute la suite l'était encore plus : Robin qui ment à ses amis pour ne pas flancher, Robin qui flanche finalement, Robin seule sur un banc sous la neige, Robin qui éclate en sanglots dans les bras de Ted après sa belle surprise kitchissime... Et cette image abominable de ses enfants imaginaires qui disparaissent. Dur.
Un peu bousculé par ce grand épisode, je risque d'avoir un peu plus de mal à évoquer les précédents. Certains étaient pourtant pas mauvais du tout. Celui consacré à l'ouragan Irene était sans grand intérêt par contre. Il avait le mérite de réunir toute la bande mais l'humour n'y était pas franchement efficace. Tick Tick Tick... manquait de subtilité et succombait même très souvent à la facilité suite à la "bêtise" de Robin et Barney mais, au moins, c'était drôle... jusqu'à ce que ça devienne poignant. On s'est débarrassé pour l'occasion de cette satanée Nora, partie draguer depuis George Clooney dans les pubs Nespresso. Elle y est bien plus à sa place : transparente et interchangeable donc. L'histoire du "sandwich" de Ted et Marshall était super lourde... jusqu'à ce qu'elle devienne hilarante grâce à la caméra de vidéo-surveillance ! The Rebound Girl a mis en avant de très belle manière le chemin parcouru en tant que couple par Lily et Marshall. On pouvait d'ailleurs facilement s'identifier à eux. Ca m'a bien plu. Les délires de Barney avec son vrai-faux bébé étaient tellement WTF/improbables qu'ils en devenaient marrants, quelque part. J'ai quand même mis un peu de temps avant d'entre dans le jeu.
// Bilan // Quelle joie immense que de reprendre plaisir à regarder How I Met Your Mother ! Et ça ne se joue pas que dans l'instant, en plus, puisque l'on se surprend même à attendre de nouveau avec impatience l'épisode suivant ! Les personnages sont un peu plus matures chaque année mais cette saison, je vous le dis, c'est celle de la maturité !
How I Met Your Mother [6x 14]
Last Words // 10 54o ooo tlsp.
D’aussi loin que je me souvienne, je crois n’avoir jamais eu la larme à l’œil en regardant How I Met Your Mother. Je ne renie pas les jolis moments d’émotion qu’elle a pu nous faire vivre par le passé mais des comme ça, jamais ! Il y avait mille façons de parler de la mort du père de Marshall, un thème qui est relativement peu traité dans les sitcoms habituellement. Les scénaristes ont choisi « les derniers mots », ceux que l’être cher nous laisse avant de nous quitter et dont on se souvient tout le reste de notre vie. Dans la réalité, est-ce qu’ils comptent vraiment ? Est-ce que l’on s’en souvient au moins ? Je n’en suis pas certain. Surtout quand on a, comme moi, une mémoire de poisson rouge. Mais l’idée était bonne et le résultat plus que convaincant. C’était souvent drôle, sans être hilarant, et vraiment émouvant. J’insiste mais je ne pensais pas qu’ils réussiraient.
Ce que j’ai particulièrement apprécié c’est qu’ils aient réussi à rester crédibles et réalistes tout en ajoutant la dose habituelle de loufoquerie et d’absurde. Sur ce dernier point, je pense naturellement au duo formé par la mère de Marshall et Lily, qui n’a rien de logique dans un tel contexte, et bien-sûr aux interventions de Mary « Robin » Poppins. Ted et Barney étaient en petite forme mais illustraient bien ce souci que l’on a tous rencontré un jour : comment réconforter un ami en plein deuil ? Comment trouver les mots justes ? Comment lui changer les idées, le faire rire ? Ils se sont plantés et n’ont pas fait preuve d’une grande imagination, mais on ne peut pas leur en vouloir. Les diverses interventions des pères des uns et des autres étaient amusantes. L’occasion de comprendre la mini-polémique Neil Patrick Harris Vs. Eric Braeden. Pour rappel : ce dernier a refusé de reprendre son rôle de père de Robin sous prétexte qu’il avait trop peu de texte. Il n’a pas tort mais par loyauté envers les producteurs et le public, il aurait pu faire un effort. D’un autre coté, on ne perd pas au change : Ray Wise est mille fois meilleur acteur !
// Bilan // Touchant, cet épisode est un bel éclat de rire embué de larmes. Il semblerait que les prochains épisodes se tourneront davantage vers Barney et la recherche de son père.
How I Met Your Mother [6x 13]
Bad News // 1o 15o ooo tlsp.
Comme lors de l'épisode précédent, les scénaristes d'How I Met ont choisi de se concentrer sur l'émotion en traitant de sujets graves -la stérilité et la mort- à leur façon. Il en ressort la même impression : on est touché, ému, mais le quota de sourires et de rires est loin, très loin d'être rempli. Barney fait ce qu'il peut mais son running-gag laser-tag ne fait rire que lui. Je ne sais pas si cette obsession régressive était faite exprès, afin de mettre en évidence que lui ne grandissait pas tandis que ses amis oui, mais ce n'était pas drôle. Quant à son doppleganger, disons qu'il était intéressant de voir Neil Patrick Harris dans un autre registre, plus sérieux, mais ça ne comportait pas un grand intérêt. Puis j'avais sans cesse l'impression que l'acteur luttait de toutes ses forces pour ne pas éclater de rire. La partie consacrée à Robin et son nouveau job, très à part du reste de la troupe, ne correspondait pas à du grand Robin. Puis c'est trop facile de faire un best-of Robin Sparkles/Sherbatasky quand on ne sait pas trop quoi raconter. J'espère que cela n'annonce pas une période noire pour le personnage, qui reste encore et toujours mon préféré je le rappelle. Au sujet de Ted, il n'y a rien mais alors rien à dire ! Il était physiquement présent mais absent dans les intrigues et les dialogues. Je ne sais pas si vous avez remarqué mais tout au long de l'épisode, des chiffres qui correspondaient à un décompte allant de 50 à 1 se sont insérés dans les décors et les accessoires. Idée amusante ! Tout cela pour nous amener à la fameuse "bad news" du titre de l'épisode...
Les scènes vraiment poignantes dans How I Met sont rares mais c'est bon de savoir que la série peut se le permettre de temps en temps, ce qui n'est pas le cas de beaucoup de sitcoms au final. Ce n'a pas toujours été réussi mais cette fois, chapeau à Jason Segel et Alyson Hannigan qui ont délivré une performance de qualité. Les deux étoiles que j'ai donné à cette critique leur sont quasiment dédiées car tout le reste de leur intrigue, qui prenait beaucoup de place il faut bien le dire, n'était pas follichon. On savait bien depuis l'épisode précédent que Lily allait tomber enceinte donc créer un suspense autour de la possible stérilité de l'un des deux n'était pas très judicieux. Tout s'est déroulé comme prévu et sans moments hilarants. Je retiens à la grande limite le passage où les parents de Marshall l'empêchent de se masturber, mais c'était un peu lourd à la longue.
// Bilan // Rien que pour LA scène d'émotion finale, cet épisode mérite d'être vu. Elle l'a clairement sauvé étant donné que le reste est limite mauvais, digne de Rules Of Engagement.
How I Met Your Mother [6x 09]
Glitter // 8 87o ooo tlsp.
Le retour tant attendu de Robin Sparkles ne pouvait QUE faire de cet épisode l'un des meilleurs, si ce n'est le meilleur, depuis la saison dernière d'How I Met ! La mission est totalement réussie grâce à la découverte de l'émission qui a révélé la mini-star canadienne : une série intitulée Space Teens, centrée sur deux adolescentes en chaleur qui s'ignorent et qui mènent l'enquête au fin fond de l'espace. Les sous-entendus graveleux m'ont fait mourir de rire, le passage avec le joystick était quand même un grand moment dans le genre ! Je suis super fan de la Beaver Song et je me demande comment les marketeux de chez CBS n'ont toujours pas cherché à sortir un album original de Robin Sparkles avec Let's Go To The Mall et Sandcastles In The Sand. C'est juste trop bon. Pour une fois, la guest de la semaine, Nicole Sherzinger, ex-Pussycat Dolls, a été utilisée à bon escient. Elle a tenté de jouer la comédie et a chanté. Rien de nouveau donc, mais ça elle sait faire au moins. La seule déception vient finalement de Barney et du reste du Scooby Gang qui n'étaient pas super en forme quant aux commentaires sur la carrière de leur Robin. Ca les fait marrer. Ok, nous aussi. Et après ?
La nouvelle obsession de Lily au sujet de sa grossesse était plus qu'irritante et on ne pouvait que se ranger du coté de Robin dans cette dispute. Heureusement que Marshall était là (je ne pensais plus jamais dire ça) ! Il a réussi à contrebalancer un trop plein de bons sentiments en faisant mumuse avec l'orgue de Jessica Glitter. Mais on n'a pas échappé à notre scène niaise habituelle. Elle a eu lieu un peu plus tard au moment de la réconciliation. Quelque part, ça fait partie de la série et il y en a toujours eu des scènes tendrement idiotes mais je n'arrive pas à comprendre pourquoi elles passent si mal maintenant... Pas de Zoey cette semaine mais Punchy, un ami de fac de Ted (il en a décidémment une sacrée panoplie), qui m'a bien fait rire et qui a glissé au passage un indice sur le mariage au cours duquel Ted va rencontrer la "mother". Ce ne sera pas celui de Barney et Robin, ou Robin et untel, ou Barney et unetelle, mais celui de Punchy avec sa grosse ! C'est maigre comme information mais à ce stade on s'en contente. On reverra donc certainement ce personnage d'ici là. Sinon, j'ai trouvé le passage où Barney énumère les célèbres phrases d'élimination aux émissions de télé-réalité excellent ! Certes, ça sortait un peu de nulle part mais qu'importe !
// Bilan // Kitsch et hautement sympathique, cet épisode d'How I Met entre dans le panthéon des pièces les plus cultes de la sitcom de CBS.
How I Met Your Mother [6x 04]
Subway Wars // 8 48o ooo tlsp.
Techniquement, cet épisode n'est pas si génial que ça quand on y pense -je ne me suis pas marré comme une baleine- mais si l'on compare à tout ce que l'on nous sert depuis deux saisons, c'était franchement réussi et surtout la preuve que la sitcom n'a pas nécessairement besoin de "la mother" pour faire avancer ses intrigues. On ressort de cet épisode un peu essouflé car tout est allé très vite mais dans un sens, c'est pas plus mal : pas le temps de se poser de questions, pas le temps de se demander si ou non cette blague était bonne. On se laisse entraîner et on passe 22 minutes sympathiques. Je ne sais pas si le fait de séparer les personnages y a contribué mais aucun d'entre eux ne m'a saoulé, pas même Marshall dont la course folle sur un air country valait le détour. Barney nous a fait du Barney soft, surtout qu'à la fin, il a montré comme il le fait très rarement son humanité et sa tendresse pour Robin en la laissant gagner la course qui signifie tant pour elle. C'était suffisamment bien tourné pour ne pas être niais. C'est vrai par contre que les dernières secondes sur une petite musique typique de la série n'étaient pas nécessaires. Lily m'a bien fait marrer dans le métro, ce qui devient de plus en plus rare. Ses doutes quant à sa stérilité ou celle de Marshall étaient presque comme une évidence. On se doutait depuis le début de la saison qu'on y aurait droit. Et on n'a certainement pas fini avec cette histoire ! Si on n'insiste pas trop là-dessus, ça devrait passer. Mais plus vite elle tombera enceinte, mieux ce sera. Là, ce sera peut-être enfin propice à raconter des histoires nouvelles sur le couple. Ted, le lourd dans le bus, c'était bien vu. Et Robin... ben c'est Robin quoi. Je l'adore et rien que le fait que cet épisode lui soit encore plus ou moins consacré m'a fait plaisir. Les scénaristes ont misé sur le bon cheval. Ils ont enfin compris que Barney était out et Robin était in ! Vive Robin Scherbatzky !
// Bilan // Rythmé et original, cet épisode d'How I Met figure parmi les meilleurs de ces trois dernières années et Dieu sait qu'ils ne sont pas nombreux !
How I Met Your Mother [6x 03]
Unfinished // 8 6oo ooo tlsp.
C'est bien malheureux mais quelque part, j'ai trouvé dans cet épisode moyen de How I Met Your Mother ce que je cherchais. Un peu de fond et un peu de rires. Je préférerai avoir plus mais à coté du Season Premiere, on peut quasiment parler de chef d'oeuvre. Il faut dire qu'on m'a pris par les sentiments en se servant de Robin correctement pour une fois et en offrant une fin digne et assez émouvante à sa relation avec Don. Fini les facilités et autres stupidités du genre "Robin bouffe comme une truie parce qu'elle souffre". Les scénaristes se sont servis de quelque chose qui nous parle à tous : cette incapacité après une rupture a effacé symboliquement le numéro de la personne qu'on a aimé et qu'on aime sans doute encore. Et cette incapacité à ne pas s'en servir, ici pour le menacer de mort, ou dans d'autres cas pour laisser sonner avant de finalement raccrocher. Ca fait toujours un pincement au coeur, c'est difficile mais c'est important. J'ai trouvé ça touchant et digne du personnage. Une fois n'est pas coutume, Lily a eu une utilité. Son unique phrase était "Where's the poop ?" mais c'était drôle au moins, répétitif mais pas au point d'être lourd. Marshall aussi a eu son petit moment sympa dans cette intrigue avec son groupe de jazz. Le truc improbable.
L'autre grosse intrigue concernait Ted et malgré le coté cul cul de la fin de l'épisode, toujours contrebalancée de bonnes blagues, j'ai plutôt apprécié. Ni Ted ni Barney ont été énervants, il y avait même quelque chose de vaguement drôle qui s'en dégageait. Puis ça fait un peu avancer les personnages mine de rien et je trouve ça pretty cool.
// Bilan // Pour une fois qu'un épisode d'How I Met (la version pas drôle) possède quelques qualités et utilise bien tous les personnages, ce serait dommage de ne pas le reconnaître. Un arrière-goût des premières saisons même, mais l'usure ne se fait pas oublier.
How I Met Your Mother [5x 17]
Of Course // 10 3oo ooo tlsp.
Bam ! J'ai aimé cet épisode ! Bam ! Et pourtant, je ne suis pas fan de Jennifer Lopez ! Pour une fois, j'ai trouvé que les scénaristes avaient su utiliser une guest-star correctement. Ou alors c'est elle qui a su apporter le piquant nécessaire à son personnage ? Toujours est-il que l'intrigue de Barney liée à celle d'Anita était fort plaisante et a permis quelques bons passages comiques. Déjà le titre du livre d'Anita est une belle trouvaille : "Of Course You're Still Single, Take a Look at Yourself, You Dumb Slut." Le pire c'est que ça cartonnerait sûrement si ça existait vraiment ! Ensuite, ça ne fait pas de mal de donner un peu de fil à retordre à Barney. Les filles lui tombent dans les bras un peu trop facilement. Anita a fini par craquer, certes, mais c'était très drôle. Alors... J'ai bien aimé le "But huummm..." de Robin lors de l'interview, qui nous rappelle combien la série sait jouer avec son histoire et ses épisodes précédents. Bon, ça ne date pas de très longtemps sur ce coup-là. Quant à la narration qui commence comme un polar avec Barney accompagné d'un policier sur les bords de l'Hudson River, elle était classique mais bonne. Je me demande quand même du coup si c'est l'histoire de Barney vue par Ted ou juste l'histoire de Barney ? Non, c'est vrai. La question se pose même si on se fout un peu de la réponse et qu'a priori, elle n'existe même pas.
Cette semaine, les projecteurs étaient comme toujours braqués sur Barney mais aussi sur Robin et c'est plus rare depuis qu'ils ne sont plus ensemble. On revient sur la peine de Robin depuis que c'est fini entre eux. Ca sort de nulle part mais c'est un peu le principe. Personne ne s'en était rendu compte à part Lily, laquelle n'a jamais rien dit à Ted et Barney quand ils la provoquaient avec leur "Bang Bang Bangity Bang" (très marrant) et ça ne lui ressemble pas du tout ! C'est con de la rendre si passive alors qu'elle est géniale à la base. C'est la tendance 2010 après des années d'ombre pour Robin. Le tour de Lily est venu. On ne cherche même pluss à la dissocier de Marshall de temps en temps. Arf ! Pour en revenir à Robin, je suis ravi de la voir tourner la page Barney même si je croyais que c'était fait depuis longtemps, surtout que Don avec qui elle est désormais a un bon capital sympathie. Sinon le passage chanté de Josh Radnor m'a bien plus sur le "super-date" (il se débrouille pas mal le bougre) mais il faut veiller à ne pas trop en abuser non plus.
// Bilan // Je n'ai pas boudé mon plaisir cette semaine devant cet épisode très sympa.