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Des News En Séries, Le Blog
3 février 2010

Brothers & Sisters [4x 14]

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The Pasadena Primary // 7 65o ooo tlsp.

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   Après un légère zone de turbulences, Brothers & Sisters nous revient avec un très bon épisode dominé par le rire et la légéreté. Ca fait du bien de voir les Walker heureux et posés. L'intrigue de Kitty aurait pu être méga-lourde si les scénaristes avaient choisi de la traiter sous un angle plus dramatique. Elle aurait pu faire une crise pas possible en apprenant que Kevin ne la supportait pas (dans un premier temps) dans sa décision de prendre le siège de Robert au Sénat. Au lieu de ça, elle a eu une réaction intelligente, d'adulte et c'est ce que j'aime avec Kitty. La plupart du temps, elle réfléchit avant d'agir et de s'indigner. C'est peut-être la seule Walker à le faire d'ailleurs. Les hommes de la famille sont beaucoup plus sanguins et Sarah, eh bien Sarah ça dépend de son humeur et du sujet. Sur Ojaï, elle a vite tendance à s'exciter. Pour le reste, sa vie amoureuse notamment, elle est un peu comme Kitty. Nora vire en général dans l'hystérie assez rapidement et j'allais oublier Saul. C'est de lui que Kitty doit tenir. Il est la sagesse (et la discrétion) incarnée. Bref, je continuerai la psychanalyse des Walker plus tard. Le quiproquo sur l'idendité de celui-qui-a-voté-non était très amusant et il a permis : 1/ D'offrir à Scotty un semblant d'histoire à lui 2/ De faire bon usage du duo Nora/Robert, toujours excellent. Par ailleurs, c'était une bonne idée cette réunion d'école de Kevin. J'aime bien quand on revient sur son enfance et son adolescence, que ce soit à travers une vanne de ses frères et soeurs ou quelque chose de plus consistant. Peut-être qu'il me rappelle un peu moi. Sauf que je n'étais pas gros. Précision importante. Je préfère en tous cas ce Kevin-là à celui qui agace tout le monde avec son obsession de la perfection (très Walkerienne) et son égoïsme inébranlable. Et puis pour finir, c'était bien de mettre l'intrigue "mère-porteuse" un peu de coté.

   Dans le genre léger et réjouïssant, les petites aventures de Sarah au pays des adultes étaient brèves mais très amusantes ! Une chose se confirme : Roy n'est pas fait pour elle. Il n'est pas fun, je le répéte ! Et on peut être un adulte responsable tout en étant fun. Le comble du bonheur a évidemment été quand Sarah a reçu un texto de Luc. Il est officiellement de retour dans la course, comme je l'espérais, et je crois qu'on peut miser sur sa présence dans le prochain épisode ou le suivant. Cette intrigue file droit là où je le souhaitais donc me happy. Pendant ce temps-là, il y en a une qui ne s'amusait pas beaucoup, c'est l'amie Holly. Ses scènes étaient assez chiantes pour tout dire jusqu'aux deux dernières, bien soaps comme je les aime. Quand on en abuse pas, pourquoi bouder son plaisir ? Alors Holly a-t-elle couché avec ce vieux porc de Denny ? Les paris sont ouverts ! Tel qu' on la connait et vu son état en rentrant chez elle, je serai bien tenté de dire qu'elle a succombé. Puis c'est bien plus intéressant pour la suite. Denny va pouvoir éventuellement la faire chanter s'il apprend qu'elle va se marier avec David (au passage, encore un mariage ! Un peu relou quand même). En tous cas, je comprends mieux pourquoi les producteurs ont casté cet acteur-là. Il rend cette scène encore plus répugnante qu'elle ne l'est déjà sur le principe. J'aurai préféré qu'elle couche avec Ryan, ça aurait été plus marrant. Mais comme il s'est évanouï dans la nature...   

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// Bilan // Plein de petites scènes qui mettent en valeur l'alchimie entre les acteurs et leur don pour la comédie, une petite dose de soap moyennement maîtrisée mais qui relance l'intérêt et des intrigues qui ne se cherchent plus mais qui se trouvent : on peut dire que cet épisode est réussi ! Vous remarquerez que j'ai soigneusement évité le sujet Rob Lowe. Trop douloureux pour le moment.

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2 février 2010

Desperate Housewives [6x 14]

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The Glamorous Life // 11 44o ooo tlsp.

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   Pour reprendre les mots de cette chère Mary-Alice, de moins en moins inspirée, "In This Never-Ending Drama We Call... Desperate Housewives (...)" on doit se contenter de peu et les blagues salaces qui ont rempli cette épisode m'ont curieusement suffits. Qu'il s'agisse du jeu de mot sur "Moby Dick", un livre qui ne parle pas forcément de ce que vous croyez, ou celle sur le toujours très ambigü "I'm Coming !", j'ai bien ri. Je soupçonne l'espiègle et coquin Marc Cherry d'avoir abusé de viagra cette semaine. Paraît même qu'il en revend sous le manteau à des prix défiants toute concurrence ! Mais trèves de plaisanteries, il y a toute une rangée de connasses et de salopes qui attendent que je leur mette la fessée (je deviens terriblement vulgaire).

   Au rayon connasse, je demande Lynette ! J'ai toujours eu de la tendresse pour elle mais trop c'est trop ! Sa thérapie de couples avec Tom est un désastre d'un point de vue scénaristique. C'était à prévoir. Et elle devient tout bonnement insupportable car elle n'accepte pas la moindre critique et use systématiquement de la tactique du "c'est pas moi, c'est lui !". Le pire, c'est que plutôt que de lui mettre une bonne claque dans la gueule pour qu'elle comprenne, les scénaristes la conforte dans ses idées. Le grand méchant, c'est donc Tom. Parce que comme tous les hommes il est lâche... Et ça brode pendant dix minutes sur les pires clichés hommes/femmes. Y'a un fond de vérité, c'est certain, mais au bout de six saisons, s'ils ne trouvent plus rien d'autres à dire qu'ils se taisent ! Je reconnais toutefois que certains passages étaient amusants. Mais n'y avait-il pas mieux que d'impliquer cette pauvre psy de la sorte ? C'était tellement ridicule...

   La connasse en chef, c'est Bree. C'est pour ça qu'on l'aime mais il fut un temps où ses histoires avaient de l'intérêt et l'ensemble était juste parfait. Ce temps-là est bien révolu et les scénaristes n'ont de cesse de nous le rappeler. Lorsque Mary-Alice a annoncé qu'Orson avait l'intention de mettre fin à ses jours, j'étais aux anges. J'ai été naïf de croire qu'il y arriverait. Pas à se tuer hein, juste à tenter de le faire. Même cette petite satisfaction-là on n'a pas voulu nous la donner. Ca aurait été génial qu'il tombe dans la piscine avec son fauteuil et que Bree, telle Pamela Anderson, se jette à l'eau pour le secourir. Non, ça aurait été nul aussi. Au lieu de ça, on nous ressert un discours censé être émouvant qui sonne faux de bout en bout. Marcia Cross et Kyle McLachlan ne prennent même plus la peine de bien jouer. Ils sont en mode automatique et ils n'y croient pas plus que nous. Ca se voit tellement... Alors comme ça Bree veut finir ses jours avec Orson même si elle ne l'aime plus. Elle est persuadée que ça reviendra. On l'a connue intelligente. Elle est devenue bête à manger du foin !

   L'association de deux connasses aux faux-airs de putes, ça donne l'intrigue croisée de Gaby et Angie. En toile de fond, la relation amoureuse entre Ana et Danny est toujours d'un ennui considérable mais elle n'est qu'un prétexte à mettre le feu aux poudres entre les deux voisines et accessoirement à mettre (enfin) Beau Mirchoff torse nu. Gaby qui fait des remontrances à sa nièce, ça me fait toujours rire. Venant de sa part, franchement... Les réactions sanguines de Carlos sont risibles, au contraire de celles de Angie déjà un peu plus flippantes. Mais ça vient surtout du fait que l'on connaît mal le personnage. On ne sait pas bien de ce dont elle est capable. On nous fait miroiter un beau potentiel mais sera-t-il vraiment exploité un jour ? Je préfère ne pas évoquer le passage "écolo" de l'intrigue, d'une subtilité incroyable et j'ose espérer que la mort qu'a causé Angie n'est pas liée à un passé militant. Ce serait quand même sacrément décevant ! Patrick ? Mais qui est Patrick ? On ne devrait pas tarder à le savoir...

   On termine par l'intrigue la plus nulle de la semaine : lorsque Susan Mayer rencontre une strip-teaseuse au grand coeur, que fait-elle ? Elle lui propose de devenir son assistante en classe-maternelle pardi ! Très honnêtement, si la jeune femme en question n'était pas interprétée par Julie Benz (Buffy, Dexter), il n'y aurait rien mais vraiment rien à en retirer ! Ah si quand même l'humour précoce du petit MJ bientôt plus intelligent que ses deux parents réunis ! Enfin n'oublions pas qu'à l'épisode précédent, il était bête comme ses pieds. La prestation de l'actrice n'est pas honteuse, c'est plutôt son rôle qui l'est. Elle me fait penser à tous ces personnages de la série qui restent deux-trois épisodes pour combler le vide avant de repartir à tout-jamais. Le dernier exemple qui me vient à l'esprit c'est la voleuse qui essayait d'escroquer les Solis en saison 4. Ah mais il y a eu aussi la vieille dame incarnée par Frances Conroy qui se servait des Solis (encore eux) pour combler son ennui en saison 5. Bref, vous voyez ce que je veux dire. O intérêt contre quelques bonnes répliques.    

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// Bilan // C'est dingue ça : même quand je n'ai pas détesté un épisode, mes commentaires donnent l'impression que si ! Malgré tout le fiel que je viens de verser, celui-ci n'était pas si mauvais. Merci aux répliques piquantes qui m'avaient drôlement manqué.

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2 février 2010

Ciné Mix [Janvier 2010]

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Coup De Coeur  44030377


19211058_jpg_r_160_214_b_1_CFD7E1_f_jpg_q_x_20091211_034011COMPLICES

   Dès le premier regard, Vincent et Rebecca se sont aimés. Insouciants, du haut de leurs 18 ans, ils brûlent la vie par les deux bouts. Lorsque Vincent lui annonce qu'il se prostitue pour gagner sa vie, Rebecca demande à assister à ses passes. Quelques semaines plus tard, le corps mort du jeune homme est repêché dans le Rhône. Rebecca a disparu. Que s'est-il passé ? Les inspecteurs Cagan et Mangin mènent l'enquête et découvrent une réalité sordide... // Complices n'est pas le film le plus fun de ce début d'année, c'est certain. Il est glauque, à l'image de la prostitution; il est cru, mais fait preuve d'un grand réalisme; et il est bon, car les acteurs ont beaucoup de talent, que ce soit le duo de jeunes acteurs (Cyril Descours et Nina Meurisse) ou le duo d'adultes (Emmanuelle Devos et Gilbert Melki), qui nous font entrer dans l'intimité de leurs personnages avec naturel. L'alternance présent/passé est la bonne idée (pas révolutionnaire) qui permet de faire d'un meurtre sordide mais tristement banal quelque chose de plus complexe et de plus en plus inquiétant. L'enquête en elle-même, bien qu'un peu bâclée parfois, vaut avant tout pour ses deux protagonistes loin des flics clichés habituels. Ils sont plus humains donc plus émouvants. Je ne regrette qu'une seule chose : que les motivations de Vincent pour se lancer dans la prostitution ne soient pas explicitées. Même si on s'en doute, ça aurait permis de rendre ses faits et gestes plus compréhensibles. A part ça, chapeau bas.   

Les Autres Films  44030377


19210070_jpg_r_160_214_b_1_CFD7E1_f_jpg_q_x_20091209_010412UNE PETITE ZONE DE TURBULENCES

   Jean-Pierre, récemment retraité, est hypocondriaque. Anne, sa femme, le trompe avec un ancien collègue de bureau. Sa fille Cathie, divorcée et mère d'un petit garçon de cinq ans, vie avec Philippe, un "brave" garçon, que Mathieu, le frère homo de Cathie, appelle "Bac moins six". Alors lorsqu'il se découvre une tâche au niveau de sa hanche droite, Jean-Pierre imagine le pire et traverse ce qu'il appelle "une petite zone de turbulences" en embarquant toute sa famille avec lui... // Quand une comédie française est bonne et sans prétention, il faut le dire ! C'est le cas de ce film hautement sympathique qui ne révolutionne rien mais qui ose quand même aborder des sujets délicats (la peur de la mort, la crise de la cinquantaine, l'homosexualité) sur un ton léger et jamais vulgaire. Tous les acteurs sont bons. Michel Blanc fait du Michel Blanc. Son personnage n'est jamais loin du pathétique mais c'est ce qui le rend si drôle et si attachant. Miou-Miou brille encore et toujours pas son naturel. Mélanie Doutey est fraîche et ravissante même au bord de l'hystérie et Cyril Descours est une jolie révélation. L'ensemble est grinçant et séduisant mais aurait mérité une réalisation un peu plus inspirée, histoire de ne pas passer aux yeux de certains pour un  simple "téléfilm". 

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19195038_jpg_r_160_214_b_1_CFD7E1_f_jpg_q_x_20091106_024541PLEIN SUD

  C'est l'été, Sam part à la rencontre de sa mère qu'il n'a pas vu depuis des années et qui habite désormais en Espagne. En chemin, il prend en stop un frère et une soeur un peu perdus qui fuient sans but précis leur quotidien... // La promesse d'un road-movie sensuel n'est pas tenue : au lieu de ça, on nous emmène dans un voyage au bout de l'ennui, que même le soleil n'arrive pas à éclairer. La peau dorée des acteurs jeunes et beaux ne suffisent pas à rendre leurs dialogues intéressants. Ils sont pourtant talentueux mais tout sonne creux. On ne nous épargne aucun cliché, les personnages en représentent tous un, à l'extrême. Rapidement, l'histoire ne se centre plus que sur l'un d'entre eux, au point d'effacer les autres, devenus inutiles. On se demande alors pourquoi avoir entamé des intrigues les concernant. De l'émotion, il n'y a presque pas. Quand elle commence à poindre, elle est balayée par une ligne de dialogue inspide ou une scène d'une lenteur inexplicable. Le réalisateur, Sébastien Lifshitz, raconte en plus une histoire semblable à celle de son premier film, Presque Rien, mais en beaucoup moins inspiré. Plein Sud est complètement à l'Ouest.

Avant-Première  44030375_p


19226374_jpg_r_160_214_b_1_CFD7E1_f_jpg_q_x_20100115_033648I LOVE YOU PHILLIP MORRIS

   L'histoire vraie d'un ex-flic, ex-mari, ex-arnaqueur aux assurances, ex-prisonnier modèle et éternel amant du codétenu Phillip Morris. Steven Russell est prêt à tout pour ne jamais être séparé de l'homme de sa vie. Ce qui implique notamment de ne pas moisir en prison. Jusqu'où peut-on aller par amour? Très loin si l'on en croit l'histoire incroyable de Steven Russell, un génie de l'évasion rattrapé par son romantisme. // Jim Carrey était sans doute plein de bonnes intentions en voulant faire ce film mais comme souvent, sa maladresse a pris le dessus. Du coup, c'est raté et le message de tolérance souhaitant être véhiculé, entre autres, ne passe pas. On assiste au départ à une liste de clichés qui n'honorent personne puis à une tentative d'émouvoir qui restera vaine jusqu'au bout car Jim Carrey n'est pas un acteur multi-facette. Il sait faire rire, parfois, mais il ne sait pas faire pleurer. Il entraîne Ewan McGregor dans sa chute et c'est ça le plus terrible. J'ignore à quel point cette histoire vraie a été romancée pour le cinéma mais rien ne paraît jamais crédible, c'est une suite de coups de chance et d'heureux hasards et c'est juste super irritant de les voir s'aligner pendant 1h30. Au final, on ne sait pas bien si l'on vient d'assister à une comédie à peine amusante ou à un drame complètement raté. C'est surprenant dans un sens mais des surprises comme celle-là, on s'en passerait bien ! 

1 février 2010

Fringe [2x 14]

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The Bishop Revival // 8 98o ooo tlsp.

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   "Apologies not accepted". J'avais oublié à quel point Walter pouvait être cassant et flippant quand il le voulait. Cela fait du bien de rédécouvrir cette facette (importante) de sa personnalité. Mais cela ne l'empêche pas d'être extrêmement émouvant à la fin de l'épisode, preuve que sa force réside dans ses paradoxes. Et il les collectionne. Cet épisode, sous ses airs de loners, était bien plus important à la mythologie de la série qu'il n'y paraissait au premier abord. Il a fallu attendre la fin de l'épisode pour en avoir le coeur net. Les scénaristes prennent d'ailleurs des risques en abordant à leur manière la Seconde Guerre Mondiale puisque l'on découvre que le père de Walter et donc grand père de Peter, Robert Bishop (enfin Bishov, ou Bishoff), était en 1943 un espion en Allemagne pour le compte des américains. L'Allemagne revient souvent dans la série, d'ailleurs. Le mythe du scientifique nazi complètement fou est alors revisité et on y ajoute une touche intriguante d'immortalité, ou quelque chose comme ça. Car l'homme responsable de tous les méfaits de cet épisode était déjà vivant à l'époque et il n'a pas vieilli depuis. Ou alors c'est encore une histoire d'univers parallèles. On aura sans doute la réponse... un jour. Fringe est quand même très douée pour ouvrir des portes dans de nombreux épisodes mais sans jamais revenir dessus. Vous me direz que c'est pareil dans Lost mais je trouve que c'est fait différemment. C'est moins frustrant et décourageant. Je n'aime pas ce que je ressens en ce moment pour Fringe. Ca me fait de la peine. Mais qu'y puis-je ?

   L'enquête en elle-même se suivait très agréablement. J'ai bien aimé la scène inaugurale un tout petit peu différente par rapport à d'habitude. Un tout petit peu. J'ai bien aimé les intéractions entre Walter et Peter et notamment les touches d'humour qui font que Fringe a un tel capital sympathie : "Purple never goes out of style"; ou la façon peu subtil de Walter de ramener la relation entre Peter et Olivia sur le tapis. A ce sujet, il faut que je vous parle d'un truc qui m'agace au plus haut point mais qui n'est pas très étonnant. Plein de gens qui savent que je suis bien renseigné sur les séries me demandent, quand il s'agit de Fringe, si "Peter et Olivia i'sortent ensemble dans la saison 2 ou pas ?". Comme si ça avait un quelconque intérêt. Comme si la série était construite uniquement là-dessus et que tout le reste n'avait pas d'importance. Ben ça me chagrine. J'ai de la peine pour ces gens qui passent à coté de l'essentiel. C'était mon coup de gueule de la semaine. Voilà !

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// Bilan // Un épisode qui s'écarte un peu de la routinière enquête de la semaine ne peut qu'être bon. Celui-ci l'était donc logiquement.

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1 février 2010

Critiks Récap' [Du 26 Janvier au 01er Février 2010]

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Cliquez sur les vignettes pour les critiques complètes


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The Deep End [Pilot]

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1 février 2010

LOST [J-2]

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Le retour de Lost n'a jamais été aussi proche et le blog se devait de revêtir sa plus belle parure pour l'occasion. En espérant qu'elle vous plaise autant qu'à moi ! Un grand merci à Joey, parce qu'il a vraiment beaucoup de talent (que ça lui plaise ou non !). Et désolé pour les anti-Lost, ne désertez pas please !

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