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Des News En Séries, Le Blog
mark salling
22 novembre 2009

Glee [1x 10]

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Ballad // 7 36o ooo tlsp.

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   Sur ce coup-là, Glee m'a un peu déçu. En fait, je trouve les numéros musicaux de moins en moins inspirés. Il n'y en a aucun qui soit vraiment sorti du lot dans cet épisode, à part peut-être I'll Stand By You mais c'est surtout parce que j'adore cette chanson à la base et qu'elle me rappelle systématiquement le merveilleux pilote de Dawson. L'interprétation de Cory Monteith n'était pas mauvaise mais à chaque fois qu'il chante, j'ai deux problèmes : 1/ Il rend tout extrêmement niais. 2/ Malgré le playback, il devient tout rouge et ses veines sont prêtes à exploser, c'est presque une souffrance de le voir chanter. Son autre chanson de l'épisode, cette fois face aux parents de Quinn, était atroce de niaiserie mais c'est le personnage qui veut ça et, même au second degré, c'était plus gênant qu'amusant. La bonne nouvelle dans tout ça, c'est que les parents de Quinn et la mère de Finn sont désormais au courant de la grossesse. Ca soulage les personnages mais nous aussi quelque part. La réaction des parents de Quinn était aussi atroce qu'attendue et une fois de plus, la série a su trouver une justesse dans l'émotion. La scène où la mère de Finn le trouve en train de chanter devant une échographie était ridicule puis très émouvante. Je n'ai pas tellement aimé la dernière scène chantée avec tout le Glee Club. Cet élan de solidarité n'était vraiment pas naturel. 

   Le soudain coup de coeur de Rachel pour Will aurait pu être une très mauvaise idée, et quelque part c'en était une (le soudain coup de coeur de Rachel pour Puck la semaine dernière était bien plus convaincant), mais cela a amené plusieurs scènes très amusantes. Le passage chanté sur Endless Love m'a bien fait marrer (pour les voix-off) et celui sur Don't Stay So Close To Me aurait pu être excellent si Matthew Morisson n'en avait encore pas fait des tonnes. On a failli écouter une version de Crush par Rachel mais ô frustration, elle a été coupée dans son élan. C'est con, j'adore cette chanson. La présence discréte mais rigolote d'Emma et le passage chez Will avec Teri qui profite de Rachel pour lui faire faire son ménage étaient deux moments vraiment drôles. J'ai adoré retrouver Sarah Drew dans un rôle bien déjanté. Pepper qui se suicide en avalant un piment noir, voilà qui est dans l'esprit de l'esprit que j'attends de la série (vous me suivez ?) : outrageusement ridicule ! Malheureusement, le personnage n'a pas été assez bien utilisé à mon goût. J'espère qu'on la reverra, elle a un sacrée potentiel de cinglée et la série en manque.

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// Bilan // Cet épisode oscille entre le brillant et le médiocre, Glee nous prouvant qu'elle est capable du pire comme du meilleur...

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13 novembre 2009

Glee [1x 09]

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Wheels // 7 53o ooo tlsp.

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   Après deux semaines d'absence, Glee est de retour et ça fait du bien, vraiment. La série a le pouvoir de vous rendre guilleret et joyeusement niais. J'adore ça ! Le point fort de cet épisode n'était pas l'humour, même s'il est toujours très présent avec un second degré nécessaire pour ne pas tomber dans la guimauve, mais l'émotion ! Et cette émotion n'est pas seulement passée par les chansons interprétées, elle est aussi passée par les personnages, tous plus touchants les uns que les autres, et plus que jamais. Miser sur Kurt et son homosexualité ne pouvait qu'aboutir sur des scènes émouvantes. Sa relation avec son père est superbement écrite. C'est à la fois facile et subtile. Difficile à expliquer. Malgré ses grands airs de diva, ses caprices et son regard hautain, Kurt est un personnage qui inspire une grande sympathie et surtout pas de pitié. Son père n'est pas bêtement caricatural. Je crois même que pas mal d'homos aimeraient que leur père soit aussi ouvert, et ce malgré ses remarques un peu limites parfois, plus maladroites qu'autre chose.

   Le thème de l'acceptation des différences, qui est un des thèmes principaux de la série de toutes façons, a également été abordé sous l'angle du handicap à travers Artie, pour la première fois mis en lumière. Lui aussi est très touchant et lui non plus n'attire pas la pitié. Sa force de caractère suffit à le rendre émouvant et réel. Et puis il faut être honnête : on ne parle quasiment jamais du handicap à la télévision dans les séries. Oh oui, dans C'est quoi l'amour ?, dans Ca se discute ou dans Confessions Intimes, on n'hésite pas à aborder le sujet pour faire pleurer dans les chaumières. Il vaut mieux ça que de ne pas en parler du tout en même temps. Mais dans les séries, c'est une autre histoire. Le but étant plus ou moins toujours de faire rêver, forcément, ça ne cadre pas. Glee a bien fait. Autre intrigue, autre handicap : celui d'une jeune fille trisomique (on va dire ça comme ça) qui aimerait devenir cheerleader. La réaction de Sue n'est pas celle attendue, est quelque part, on s'y attendait ! Elle a beau ressembler à un monstre parfois, un peu d'humanité subsiste en elle. Si sa soeur n'avait pas été atteinte de la même maladie, aurait-elle eu la même réaction ? Sans doute pas. Pour le coup, il faut avouer que c'était un peu facile mais sa visite à l'hôpital était tellement bouleversante que je pardonne les scénaristes.

   A coté de ces intrigues sérieuses mais néanmoins légères (c'est tout le paradoxe de Glee), il y avait des histoires purement légères et purement amusantes autour des "couples" de la série. Finn et Puck voulaient prouver à Quinn qu'ils étaient les meilleurs pères et ils sont finis par se battre, forcément. Finn passe de plus en plus pour le blaireau de service, qui a d'ailleurs besoin de Rachel pour trouver un job, tandis que Puck m'est toujours aussi sympathique. Le rebelle au grand coeur. Le coup classique. Je suis tombé dans le piège. Quinn aussi. On est purement dans le guilty-pleasure. Assumons !

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// Bilan // Enfin un épisode presque exclusivement consacré aux élèves et non aux professeurs. Et c'est là qu'est le vrai potentiel de la série. Ils sont tous attachants, ils ont tous le petit quelque chose qui fait la différence, certains diraient qu'ils ont tous le "X Factor" !


// Bonus // De toutes les performances de cet épisode, mon coeur balance entre le solo d'Artie sur Dancing With Myself et la chanson de groupe sur Proud Mary (Rollin' On The River). Alors autant mettre les deux !   

         

25 octobre 2009

Glee [1x 08]

dnes_season4_glee_pillsbury

Mash-Up // 7 15o ooo tlsp.

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   Glee a beau être une série très attachante, ses intrigues ont beaucoup de mal à démarrer. Je me trompe peut-être, mais j'ai l'impression que les scénaristes ont un plan très précis autour des fameux concours inter-lycées et qu'en attendant d'y arriver (à partir de la mi-saison ?), ils meublent. C'est ce qui expliquerait pourquoi, une fois de plus, plusieurs membres du glee club sont tentés de le quitter en faveur de l'équipe de football. C'était bien mené mais c'est vraiment trop répétitif. De même, je trouve un peu dommage que 80% des intrigues tournent autour des adultes de la série. C'est peut-être un peu moins flagrant que dans les précédents épisodes mais ça reste marqué. La plupart des personnages secondaires restent dans l'ombre en dehors des scènes chantées. La flamme soudaine de Noah pour Rachel a tout de même permis de renouveller les histoires et je dois dire que j'aime de plus en plus Noah, le stéréotype du gros dur au coeur tendre, là où Finn est l'idiot du village... au coeur tendre aussi. La future fille-mère Quinn complète le quatuor amoureux et je suis assez content qu'elle ne soit plus cheerleader, ça va sans doute permettre au personnage d'en dévoiler davantage sur qui elle est vraiment (et elle est bien plus jolie sans sa queue de cheval qui lui tirait tout le visage). Le running-gag autour de la boisson jetée au visage des losers était un peu lourd mais c'était une jolie métaphore potache de cette guerre sans pitié populaires vs cas sociaux. Le point fort étant bien-sûr le sacrifice innatendu de Kurt !

   Les intrigues amoureuses sont également très présentes du coté des adultes et Sue nous a montré une nouvelle facette de sa personnalité : elle aussi peut-être une femme (enfin...) amoureuse ! C'était très amusant de la voir dans cet état et Jane Lynch nous a montré pour l'occasion qu'elle aussi savait danser. Elle n'a pas autant d'assurance que Matthew Morrison mais c'est d'autant plus sympathique. En parlant du héros justement, je passe d'un sentiment à un autre. Un coup, il m'énerve, un coup il me plaît. Cette fois, il m'a agacé sur ses scènes chantées et dansées, il en faisait un peu trop et ce n'est vraiment pas le roi du playback, mais je l'ai en revanche adoré lorsqu'il était avec Emma. Ca a beau dégouliner de guimauve, je fond à chaque fois ! Ces deux-là sont vraiment trop mignons ensemble. La scène où Jayma Mays chante du My Fair Lady était très mignonne. J'ignorai que l'actrice chantait si bien d'ailleurs ! Ce serait peut-être pas mal d'utiliser davantage son bel organe à l'avenir. Le pauvre Ken est toujours très touchant, d'autant qu'il est conscient de sa misère amoureuse et sexuelle, là où les autres personnages sont toujours très déconnectés de la réalité. Du coté des chansons de l'épisode, j'ai adoré ré-entendre Thong Song, que j'avais totalement oublié mais que j'écoutais en boucle à l'époque. Les autres titres étaient pas mal, mais on a connu mieux. Mention spéciale quand même pour le solo de Noah sur une chanson que je ne connaissais pas du tout j'avoue : Sweet Caroline. Ce style un peu folk voire country n'avait pas encore été exploré dans la série.

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// Bilan // Un épisode un peu trop routinier et paresseux mais qui reste très symapthique.


// Bonus // Mark Salling chante Sweet Caroline ! Hot and sweet.

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25 septembre 2009

Glee [1x o4]

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Preggers // 6 6oo ooo tlsp.

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   "All The Singles Ladies (...) Put your hands up !" : voilà le leitmotiv de cet épisode ! Je soupçonne Ryan Murphy d'être secrétement fan de Beyoncé parce que pour nous gaver à ce point de son tube Single Ladies en 40 minutes, il faut vraiment aimer ça ! Ca tombe bien pour moi : j'adore ça ! La première scène de l'épisode dans laquelle Kurt nous refait le clip de la chanson accompagné de danseuses est très surprenante au départ, voire déstabilisante, et puis c'est le rire qui l'emporte car le ridicule est totalement assumé et le sera d'ailleurs tout le long de l'épisode. Pour aller jusqu'au bout du délire, ils auraient quand même pu faire mettre un body à Kurt ! Sûrement ravis de leur trouvaille, les scénaristes ont décidé de faire dans la surrenchère et c'est ensuite devant l'équipe de foot du lycée que Kurt se lance dans la choré endiablée. Là encore, c'est ridicule, on a même un peu honte pour lui mais on se marre comme des baleines parce que c'est franchement hilarant et tellement improbable. Le summum est atteint lorsque ce sont les joueurs de foot qui s'y mettent en plein milieu d'un match ! J'ai ri, mais j'ai ri ! Un grand bravo donc. Ce qui était fort appréciable aussi, c'est qu'au-delà de ce gros délire, il y avait un peu de fond. L'intrigue de Kurt et de son père était très touchante et assez réaliste. Malgré ses grands airs de diva et ses poses exagérément féminines, Kurt est très attachant.

   Tandis que Terri continue de mentir sur sa non-grossesse à Will, Quinn, la pom-pom girl et petite-amie de Finn, apprend qu'elle est enceinte. Je ne m'attendais pas à ça. Il se trouve que le père n'est pas Finn mais Puck, qui baise apparemment beaucoup de tous les cotés. Cette intrigue un peu osée devrait prendre une tournure soapesque puisque Terri a l'intention de récupérer le bébé de Quinn et le faire passer pour le sien. C'est n'importe quoi mais pourquoi pas ? Je suis quand même un peu déçu par la prestation de Jessalyn Gilsig jusqu'ici. Elle n'en fait pas assez, je préfère quand elle est hystérique et ultra-vulgaire dans Nip/Tuck. Les interventions de Sue à la télévision étaient très amusantes, par contre les caprices de Rachel m'ont gavé. Je l'amais bien jusqu'ici mais il va falloir qu'elle se calme. Et puis ce serait bien que le glee club soit enfin stable au bout de 4 épisodes et qu'il en ressorte quelque chose. J'imagine que les scénaristes gardent cela pour plus tard dans la saison, histoire de ne pas griller leurs cartouches trop vite.

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// Bilan // Un épisode qui part dans le grand n'importe quoi assumé et qui devient rapidement jouissif ! Toutes les intrigues ne se valent pas mais l'ensemble est toujours très agréable à suivre.


// Bonus // Le clip de Single Ladies façon Kurt !

21 septembre 2009

Glee [1x o3]

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Acafellas // 6 69o ooo tlsp.

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   3ème épisode de Glee et le charme opère toujours sur moi. Contrairement aux deux épisodes précédents, on gagne même en fond avec quelques intrigues un peu plus "profondes". Bien évidemment, faut pas exagérer, c'est pas Six Feet Under. Par exemple, l'intrigue consacrée à Mercedes (que j'adore) et Kurt est touchante. Les garçons ne s'intéressent pas à elle et il n'y a que son pote pédé qui la comprenne. Sauf qu'elle n'a pas compris que son pote était pédé. Bien que cela soit évident. Il lui brise le coeur alors elle lui brise son parebrise. Et c'est l'occasion d'une scène chantée excellente sur le titre Bust Your Windows. J'aime vraiment beaucoup l'actrice/la chanteuse, Amber Riley. Elle se lâche complètement, elle donne tout. Waouh ! Il me semble qu'elle avait participé à American Idol d'ailleurs. Kurt est assez amusant aussi bien qu'il en fasse des tonnes. Celui que l'on connaissait encore mal et qui s'est montré bien plus intéressant qu'au premier abord, c'est Puck. Son petit trip sur les cougars était osé et très drôle. On reconnaît bien là la patte Ryan Murphy et on aimerait d'ailleurs qu'elle soit un peu plus présente que simplement au détour d'une scène ou d'un dialogue. Il n'a pas non plus la même liberté que sur FX, c'était à prévoir.

   Je suis agréablement surpris par le personnage de Will, beaucoup moins lisse que prévu. Déjà, Matthew Morrisson est un excellent chanteur et danseur, ce que le pilote ne montrait pas du tout, et puis Will a beau ressembler au gendre parfait, il est capricieux, comme bon nombre de personnages de la série, très susceptible et sans doute trop fier. Cette épaisseur est bienvenue. Son père est interprété par Victor Garber, que j'adore, et je suis un peu déçu qu'il n'ait pas chanté. Je m'y attendais et rien n'est arrivé. Son personnage reviendra sans doute à l'occasion et l'acteur pourra ainsi montrer toute l'étendue de son talent. Un duo père/fils est à prévoir. Can't Wait ! Josh Groban, autre guest de l'épisode, n'a pas chanté non plus mais, pour le coup, ça ne m'a pas dérangé, bien au contraire. On l'a assez entendu dans Ally McBeal. A la place, on lui a offert deux scènes marrantes, assez innatendues. Il n'est pas mauvais acteur le bougre ! L'idée du chorégraphe super méchant n'était pas mauvaise, cela a même permis un peu de politiquement incorrect. Ses remarques sur certains des membres du Glee Club, notamment sur le nez de Rachel, étaient hilarantes ! Par contre, la guéguerre de la prof de sport ne prend pas. C'est même assez ridicule. Il faudrait aller plus loin pour amener le délire jusqu'au bout.

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// Bilan // Des trois premiers épisodes, celui-ci n'était clairement pas le meilleur mais la fraîcheur est toujours présente ainsi qu'une certaine décomplexion qui fait plaisir à voir. J'adhére toujours.


// Bonus // Bust Your Windows par Amber Riley !

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