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Des News En Séries, Le Blog
joel gretsch
12 novembre 2009

V [1x 02]

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There Is No Normal Anymore // 10 7oo ooo tlsp.

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   Après un épisode pilote mené à tambours battant où tout allait beaucoup trop vite, V se repose sur ses lauriers. Dire que je me suis ennuyé devant cet épisode n'est pas assez fort. Je me suis fais chier comme un rat mort ! Voilà, c'est dit. L'épisode reprend exactement là où le précédent s'était arrêté : sur les toits de New York avec une Erica et un Jack secoués par leur première rencontre avec les Aliens. Et ils le resteront pendant 42 minutes, apprenant petit à petit que l'un est agent du FBI et l'autre prêtre. Pour nous qui le savons déjà, ce n'est pas palpitant. Erica doit faire face à ses collègues qui ne comprennent évidemment pas la disparition de l'agent Dale Maddox. Elle ne peut pas dire la vérité puisque n'importe qui peut être un visiteur. Dale était à ses cotés depuis 7 ans et pourtant... La paranoïa qui s'installe peu à peu est à la fois la force et la faiblesse de ce remake. C'est une force car comme les personnages, nous nous méfions et de fait, on se sent plus impliqués dans l'histoire. Mais c'est une faiblesse car Erica et Jack ne peuvent rien faire pour le moment. Ils sont condamnés à cacher leurs faits et gestes pour ne pas éveiller l'attention. L'organisation de la résistance s'annonce donc un peu plus compliquée que prévue et comme c'est actuellement le seul arc narratif général, je sens qu'il va falloir attendre une éventuelle saison 2 pour que l'on voit la résistance en action. Erica va d'abord devoir se chercher des alliés. Le cliffhanger sur la "renaissance" de Dale n'est pas très surprenant. Dans le genre "on ne s'y attend pas du tout", la collègue d'Erica au FBI qui interroge Jack a l'air louche. J'espère qu'elle ne va pas se révéler être un alien aussi. Ce serait trop facile !

   Du coté des personnages secondaires, car Erica est clairement présentée ici comme l'héroïne, il ne se passe pas grand chose non plus. Chad Decker poursuit ses petites entrevues avec Anna et pose ses conditions. Quand on a vu la série originale, pour le coup, on sait parfaitement ce vers quoi on se dirige. Même quand on n'a pas vu la série originale d'ailleurs je pense, tant c'est amené avec zéro subtilité. Chad va rapidement devenir le porte-parole des visiteurs et Anna saura certainement le convaincre grâce à ses multiples atouts. Morena Baccarin est vraiment bien dans le rôle de la nouvelle Diana et le fait que ce ne soit pas un copier-coller, même physiquement, est appréciable. La courte scène avec les serpents en guise de torture était pas mal. C'est le seul moment où les V font vraiment flipper parce que globalement, ce que l'on veut bien nous montrer d'eux est trop sage, trop lisse. Concernant le fils d'Erica, le mot "boulet" semble être écrit sur son front. Il me donne envie de zapper dès qu'il apparaît. N'y avait-il pas un moyen de le rendre moins cliché ? J'ai hâte qu'il engrosse Lisa, qu'on se marre un peu ! Ah, ça n'est pas prévu ? Bon, tant pis. La jeune idiote de la première version qui justement se fait engrosser par un alien me manque. La petite vieille aussi, elle était marrante. Ah oui, à ce propos : pas une seule note d'humour dans cet épisode. Autre intrigue, celle de Ryan. Son cas est intéressant puisque c'est un alien infiltré mais traître. Malheureusement, il est pour le moment réduit à son histoire d'amour avec une Terrienne et sa rencontre avec un autre traître n'apporte rien.

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// Bilan // C'est l'ennui qui domine ce second épisode de V. On fait du surplace dans toutes les intrigues et les personnages ne sont toujours pas attachants, pas même l'héroïne. Ce n'est pourtant pas la faute d'Elizabeth Mitchell, qui fait de son mieux.   

      

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6 novembre 2009

V [Pilot]

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Pilot // 14 3oo ooo tlsp.

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   Les Visiteurs sont arrivés et ils veulent la paix. Mon oeil ! Attendu depuis quelques mois maintenant avec une certaine impatience, que ce soit par les fans de la série originale ou par les amateurs de séries ambitieuses, le nouveau V a atterri sur ABC avec un certain succès audimatique ce Mardi 3 Novembre 2009. Le résultat est-il à la hauteur des espérances ? Que reste-il de la version de 1983 ? Je me lance !

"V" comme... "Vite !"

   Vous êtes bien installés dans votre canapé ? Et la ceinture ? N'oubliez jamais la ceinture ! Si l'on devait résumer le pilote de V en un seul mot, ce serait forcément "vitesse". Tout va très vite, trop vite ? Ca se discute. Scott Peters, papa des 4400 et scénariste en chef de ce remake, a fait un choix qui me paraît tout à fait judicieux : partir du principe que tous ceux qui ont vu et aimé le premier V vont sérieusement s'ennuyer si on leur raconte la même histoire avec le même déroulement. Quant à ceux qui ne connaissent pas l'original, ils ne sont pas perdus : on leur offre tout de suite toutes les réponses à toutes leurs questions sur un plateau d'argent, mais visqueux. Ainsi, les visiteurs n'hésitent pas à donner rapidement les motivations de leur venue : s'ils sont venus sur Terre, c'est pour récupurer de l'eau car ils en manquent cruellement et elle est vitale pour eux aussi. Il faut attendre plusieurs épisodes avant de le savoir dans l'original. On ne fait pas non plus de mystère sur la véritable apparence des aliens : ils sont semblables à des reptiles. Ca, pour le coup, même quand on n'a pas vu l'original, on le sait. En revanche, on ignore encore si dans cette version aussi, ils se nourrissent de rats ! Et les informations capitales nous sont donc dévoilées les unes après les autres avec une rapidité qui donne presque le vertige mais qui semble la mieux adaptée à ce remake, qui ressemble davantage à un reboot d'ailleurs.

   La scène d'introduction d'environ 8 minutes, qui nous montre l'invasion des extra-terrestres à travers le monde via leurs 29 vaisseaux spatiaux postés dans 29 grandes villes, est efficace. Elle nous plonge directement dans l'action et nous présente brièvement les personnages principaux dans leur quotidien. C'était la meilleure chose à faire pour accrocher le public dès le départ. Une introduction plus classique aurait sans doute fait fuir les téléspectateurs impatients que nous sommes devenus depuis les années 80. En revanche, passer sous silence les trois semaines suivants le débarquement alien est la fausse bonne idée par excellence. L'idéal aurait évidemment été que le pilote dure deux heures. Cela aurait permis d'approndir l'impact de cette arrivée sur la population mondiale. La première réaction des New-Yorkais est surprenante : ils applaudissent. Ce court passage était ridicule, il faut bien le dire. Puis trois semaines après, hormis quelques petits groupes, le monde entier semble avoir accepté les visiteurs. On a clairement manqué un épisode. Toute la paranoïa de la première version a disparu et c'est une grande perte. A aucun moment on ne ressent donc de peur ou d'inquiétude. Cela sonne faux, forcément. Artificiel.

"V" comme "Vestiges"...

   Le risque du remake est toujours de dénaturer l'original en faisant enrager les fans de la première heure. Si j'en étais un, je crois que je ne serai pas offusqué par le résultat. Les vestiges du passé sont intacts, ou presque. D'abord, le thème du nazisme est abandonné. Il me semble que c'est d'une logique imparable. Les temps ont changé et la menace aujourd'hui, c'est le terrorisme. Ainsi, Erica, l'héroïne, est un agent du FBI en pleine enquête sur une cellule terroriste. Cela tombe bien, d'autant qu'elle va découvrir qu'il s'agit en fait des agissements des aliens. Les allusions au 11 Septembre sont évidemment présentes. Lorsqu'un avion manque de s'écraser contre un tour, on ne peut qu'y penser. Pour autant, certaines anciennes problématiques ont été conservées. Les jeunesses Hitlériennes sont toujours évoquées à travers l'enrôlement des plus jeunes auprès des visiteurs. L'occasion d'ailleurs de rencontrer le fils d'Erica, Tyler, qui s'annonce déjà comme la tête à claques du show. Il craque pour une visiteuse, il est vrai, extrêmement hot ! La religion est très présente, peut-être plus que dans l'original, notamment à travers le personnage du Père Jack Landry, qui est un des seuls à se poser des questions sur la confiance que doivent accorder les humains aux visiteurs. Enfin, le thème de la manipulation des médias, on ne peut plus actuelle, en France notamment, est revisité à travers le journaliste Chad Decker qui va devoir choisir entre sa carrière et ses convictions. La scène où la nouvelle Diana, prénommée Anna, insiste pour qu'il ne lui pose pas de questions dérangeantes semble d'ailleurs tristement réaliste... Vous l'aurez donc compris, le fond est toujours là. Ouf.

   Par contre, amoureux du kitsch de la première version, vous allez être déçus : les producteurs ont vu les choses en grand, les effets spéciaux d'aujourd'hui et les moyens accordés aidant, on ne retrouve donc plus tout à fait ce qui faisait le charme de la première version. Les tenues des aliens sont passées du rouge flamboyant au bleu glacé. C'est plus classe mais c'est moins chaleureux. Le vaisseau spatial est gigantesque, c'est toute une ville qu'il transporte. Cette immensité est impressionnante mais cela manque d'intimité et, là encore, de chaleur. Les effets spéciaux sont de qualité mais je ne vais pas faire celui qui s'y connaît. Le résultat n'a pas choqué mes yeux de novice, c'est tout ce qui m'importe. J'ai eu le sentiment que l'on se rapprochait visuellement des séries de science-fiction habituelles, j'ai surtout pensé à Battlestar Galactica à vrai dire. Malheureusement, la réalisation est paresseuse. Ils auraient pu faire plus d'effort.

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"V" comme "Verdict"...      

   Bien que son entrée en matière soit efficace et excitante, V peine à imposer ses personnages principaux. Aucun d'entre eux n'est particulièrement attachant et le processus d'identification risque d'être difficile puisque la diversité des âges, des origines et des caractères n'est pas vraiment de mise. Les acteurs sont bons, mais pas exceptionnels. Elizabeth Mitchell est convaincante, mais pas exceptionnelle. En revanche, la prestation de Morena Baccarin est particulièrement réussie ! Par ailleurs, la résistance se forme très rapidement et l'on voit mal vers quelles autres grandes pistes la série se dirige en dehors des petites intrigues de chacun. Les quelques surprises en fin d'épisode, dont je ne dévoilerai pas le contenu pour ceux qui me lisent sans avoir encore vu ce pilote, sont prometteuses. Finalement à mi-chemin entre la série d'origine et Fringe, V pourrait s'imposer comme la nouvelle grande série à ne rater sous aucun prétexte ! Il lui reste encore trois épisodes pour convaincre, puis elle disparaîtra quelques mois. 

   Pour en savoir plus sur la série d'origine, je vous propose de lire ou relire la chronique postée il y a quelques mois signée MSME. C'est par ICI.   

4 août 2009

[Série (Cul)culte] V : Les Visiteurs

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Exceptionnellement, je laisse la parole à MSME, fidèle lecteur du blog et bien plus que ça, pour vous parler d'un monument de la télévision : V ! Avec un remake sur le point de débarquer (le 3 Novembre 2oo9), il était temps de faire un point ce qu'a été cette série...


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   « V » : tous les trentenaires et plus se souviennent de cette série multirediffusée (sur France 2, M6 et autres chaines de la TNT). Le pitch était assez simple : des hommes s’organisent pour résister face à des envahisseurs extra-terrestres. Résumé ainsi, on pouvait presque croire que l’ensemble était assez creux. Que nenni ! Le traitement de ce monument de la SF 80’s valait particulièrement le détour puisqu’il jouait de métaphores avec la seconde guerre mondiale, le régime nazi, les jeunesses hitlériennes et toutes les formes de résistances passées, présentes et futures… Pour établir un nouveau cliché, « V » était « holocauste version petits hommes verts ». Car, oui, les envahisseurs étaient verts…. Pour être plus précis, on ajoutera qu’ils étaient vert lézard : en effet, derrière ces extra-terrestres visiblement plein de bonnes intentions envers les terriens se cachaient d’affreux reptiles qui souhaitaient simplement faire de notre planète leur nouveau garde-manger ! Et niveau effets spéciaux, c’est sur ce point que se jouait toute la crédibilité de la série : les extra-terrestres avaient des yeux de chats, une langue de vipère, une peau d’homme dissimulant une peau de lézard bien gluante, des gosiers assez flexibles pour laisser passer des rats, hamsters, souris et autres friandises. Bref, tout ceci relevait de l’inédit quand « V » débuta en 1983. Evidemment, de nombreuses histoires parallèles se mêlaient à la grande histoire de la série : deux frères, l’un voyou, l’autre médecin, devaient apprendre à s’entraider. Le héros résistant luttait contre sa propre mère collabo auprès des envahisseurs. Quelques extra-terrestres trahissaient leur propre camp. Sans oublier les habituelles courses au pouvoir, les trahisons, les meurtres, les enlèvements, les vengeances, les attentats, les complots et tous les ingrédients inhérents à ce genre de programme télévisé.

   Parler de « V » sans évoquer ses trois héros principaux serait un manquement évident. Nous avions donc, coté résistant, Mike Donovan (interprété par Marc Singer), bellâtre body-buildé sauvant le monde tel un Bruce Willis bondissant, et Julie Parrish (Faye Grant), femme forte mais vulnérable incarnant- un peu contre son gré – la chef de la résistance. Coté envahisseur, le public n’avait d’yeux que pour Diana (Jane Badler), équivalent lézard d’un J.R. Ewing à l’époque : une ordure en jupon, ou plutôt en tunique rouge, vêtement principal de ces chers extra-terrestres.

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L’air de rien, « V » a largement marqué les esprits et fortement inspiré d’autres produits de science-fiction, le meilleur exemple étant le film Independance Day qui commence exactement de la même manière que la série : des soucoupes volantes se placent au-dessus des plus grandes villes du monde. Mais alors, pourquoi avoir intitulé cet article « série (cul)culte » ? Tout simplement parce que, aujourd’hui, « V » a les défauts de son grand âge et de son aspect inédit : les effets spéciaux sont un peu dépassés, les dialogues sont parfois manichéens et minimalistes, et un personnage appelé « l’enfant stellaire » est venu ajouter une petite couche de guimauve bien sucrée à l’ensemble. Sans cela, tout aurait été parfait !

   Il n’y a pas que « V » qui était un véritable feuilleton ! Les multiples rebondissements dans les coulisses valaient aussi leur pesant d’or. Au départ, « V » (qui signifie Victory pour victoire et non Visitors pour visiteurs) était une mini-série de 2 fois 100 minutes écrite et réalisée par Kenneth Johnson. Lors du tournage de la seconde mini-série (3 fois 90 minutes), Johnson fut complètement écarté du projet. Devant le succès de ces 5 épisodes, le réseau NBC réclama une saison entière, sans pour autant offrir de moyens suffisants ! Alors que 26 épisodes devaient être tournés, 19 seulement furent réalisés et diffusés en raison du manque d’audience. La série ne connut donc pas de fin digne de ce nom… Et pendant ce temps, Kenneth Johnson réécrit l’histoire en la reprenant à la fin de la première mini-série et sans tenir compte de tout ce qui a suivi. D’infos en intox, on lui prête pour intention de réaliser une nouvelle saison ou encore un film, sans qu’on en voit le bout de la queue d’un lézard…. Malheureusement pour lui (et heureusement pour nous ?), il s’est fait griller la priorité par Scott Peters, le père des 4400, qui planche actuellement sur une version hightech de « V ». Cette nouvelle mouture devrait voir le jour dès novembre 2009 avec quelques visages familiers des amateurs de séries télé : Elizabeth Mitchell (fraichement débarquée de « Lost » et de son jeu de piste scénaristique) et Scott Wolf (le mini Tom Cruise de « La vie à cinq »). C’est sans crainte que je vous affirme que ce nouveau « V » est attendu comme le messie. Le premier épisode devrait d’ailleurs réaliser un carton d’audience, regroupant les fidèles de la première version, leurs enfants et les amateurs de science-fiction. Pour la suite, tout dépendra des scénaristes… En espérant que, cette fois-ci, nous ayons une fin !

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// Bonus // Une bande-annonce de la version 2009, qui, soit dit en passant, a jusqu'ici récolté de bonnes critiques dans la presse américaine pour son pilote !

31 mars 2009

The United States Of Tara [1x 11]

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Snow //

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   A l'approche du season finale, Tara doit plus que jamais se battre pour ne pas sombrer. Ses proches commencent à flancher, notamment Marshall qui a du mal à pardonner à sa mère son écart avec Jason, bien qu'elle ait été à ce moment-là T. et pas Tara. Max aussi a de plus en plus de mal à supporter la situation. Tara prend donc la décision de se faire interner dans une clinique spécialisée dans les troubles du comportement et de la personnalité pour avancer dans sa thérapie. Il semble clair que tant que le mystère autour de ce fameux Trip Johanssen ne sera pas élucidé, Tara ne pourra pas aller mieux. Je doute qu'une fois élucidé, tout s'arrangera pour autant mais c'est une première étape importante. On s'approche donc doucement de ce dénouement, du moins je l'espère. Pour la partie comique, Buck était encore très en forme !

   Si le cas Kate n'avance pas beaucoup, le cas Marshall continue de me passionner. Une fois de plus, trop peu de scènes lui sont consacrées mais ce que lui dit Kate était juste l'exacte vérité et il n'a pas su l'entendre. Jason ne mérite certainement pas son amour car c'est un bi-curious qui finira avec une femme et des enfants et qui se tapera un mec de temps en temps. Finalement, je crois que cette relation s'achève de façon logique et réaliste. J'aurai aimé que Marshall et Jason aillent plus loin mais ce n'est certainement pas la meilleur chose à faire. J'ai déjà hâte d'être à la saison 2 pour suivre l'évolution de Marshall ! En attendant, il se bourre de Xanax... Charmaine, toujours très amusante, organise un petit dîner avec son nouveau mec. L'occasion pour Neil de débarquer, de mater un épisode de LOST avec du pop-corn (si si, j'vous jure ! Que j'aime ce genre de pop références) et de toucher à Charmaine deux-trois mots très émouvants. Ce n'est pas grand chose mais ce qu'il lui dit est tellement vrai. Neil est gros, beauf et moche mais elle a des sentiments pour lui et ce n'est pas en couchant avec de beaux mecs que ça y changera quelque chose. Il faut juste qu'elle l'accepte. Et voilà comment Neil est devenu un personnage intéressant après onze épisodes !

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// Bilan // C'est fou ce que cette série peut être riche et touchante en l'espace -si court- de 26 minutes !

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