Tueurs En Séries [Soderbergh et Baumbach nous parlent de HBO...]
Au sommaire : - "Futurama", c'est (encore) fini - Le plein de renouvellements - Le spin-off de "Vampire Diaries" commandé - Un ancien de "The Wire" rejoint "The Walking Dead" - Des adaptations en séries pour "Scream" et "L.A. Confidential" - On répond à vos questions : "Dexter", "Kenny Powers" - La bande-annonce de la nouvelle dramédie de HBO, "Family Tree" - Confrontations d'expériences avec HBO en compagnie de Steven Soderbergh et Noah Baumbach - "Arrested Development" revient, un extrait du court-métrage de Michael Cera.
Tueurs En Séries [Adieu "30 Rock"]
Au sommaire : - Les promos du Superbowl avec les "2 Broke Girls" et Amy Poehler - "NCIS" renouvelée" - Le film "Entourage" commandé - Une "Dead Like Me" dans "Hannibal", trois acteurs castés dans "Dracula" - "The Walking Dead" façon "Punky Brewster" - On répond à vos questions : "Skins" - La bande-annonce de la saison 2 de "Black Mirror" - On fait nos adieux à "30 Rock"
Tueurs En Séries [Sally Field, Jonathan Lambert...]
Au sommaire : - "Ben and Kate" annulée mais "Girls" renouvelée - On a rencontré Sally Field et elle nous parle de Brothers & Sisters - Un teaser de "The Walking Dead" - Jonathan Lambert en manchots et en studio ! - Et une parodie des "Soprano" façon "The Carrie Diaries" !
Tueurs En Séries [Entrez dans la "Maison Close"]
Au sommaire : - Un nouveau capitaine pour "The Walking Dead" - "Dexter" en avance - Le câble rafle les Golden Globes - "Bones" renouvelée, pas de saison 2 pour "Life's Too Short", "Lip Service" annulée - On répond à vos questions : "Once Upon A Time", "The Big C" - La bande-annonce de "Hemlock Grove" - Rencontre avec l'équipe de "Maison Close" - Un beatbox par les Stark de "Game Of Thrones" !
The Walking Dead [3x 01 > 3x 08]
Seed // Sick // Walk With Me // Killer Within // Say The Word // Hounded // When The Dead Come Knocking // Made To Suffer
10 870 000 tlsp. // 9 550 000 tlsp. // 10 510 000 tlsp. // 9 270 000 tlsp. // 10 370 000 tlsp. // 9 210 000 tlsp. // 10 430 000 tlsp. // 10 480 000 tlsp.
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L'époque où The Walking Dead était surrestimée et où son succès, insolent, était immérité, est révolue. Depuis le départ de Frank Darabont au milieu de la saison 2, ce n'est plus tout à fait la même série et ses audiences se sont envolées. Rarement un gros départ sur un show de cet envergure n'aura été si positif. Glen Mazzara, son remplaçant, a su trouver le ton juste et le rythme parfait pour raconter cette histoire de survivants et de zombies, où l'homme est un loup pour l'homme. La mauvaise nouvelle, c'est qu'il ne fera plus partie de l'équipe dès la saison 4, car AMC est un loup pour les showrunners. Les dialogues sont encore trop peu soignés à mon goût, mais ils sont en même temps moins nombreux. Une manière efficace de régler le problème. Et les séquences de massacre m'ennuient encore parfois car elles se ressemblent toutes, ce qui n'empêche pas la réalisation d'être inspirée, voire virtuose, et ultra-référencée. Mais si je n'y trouve pas mon compte, c'est parce que les zombies ne m'intéressent pas le moins du monde. Je ne suis pas venu pour ça. Les amateurs de "walkers" en ont pour leur argent, et c'est la moindre des choses puisque c'était la promesse de départ, et à peu près tout ce qu'elle réussissait au début d'ailleurs. Et c'est tout ce que je reprocherai à cette première partie de saison 3, passionnante et on ne peut plus divertissante ! Plus profonde aussi, à mesure que la douleur et le désespoir s'accentuent...
Ce qui a réussi en premier lieu à ces huit épisodes, c'est le changement de décor. La ferme où l'on étouffait, malgré les grands espaces qui l'entouraient, a été troquée contre une prison sale et abandonnée, qu'il a d'abord fallu désinfester avant de se l'approprier. Le symbole est fort : nos héros sont prisonniers du Monde, où qu'ils aillent, mais c'est dans cet endroit clos, entouré de barbelés, qu'ils sont les plus libres. A cet endroit, qui devient peu à peu familier et curieusement rassurant, s'ajoute quelques virées sur les routes et dans les villages alentours, toujours très (at)tendues, qui permettent à plusieurs protagonistes de se frôler, sans jamais se découvrir ou se retrouver. Puis on nous invite à explorer un deuxième univers parallèle, qui paraitrait presque paradisiaque à côté, celui du petit village colonial de Woodbury où l'ordre règne grâce à l'autorité suprême, l'intrigant Gouverneur, qui n'aura de cesse de fasciner. Le troisième épisode, qui lui est entièrement dévolu, est absolument parfait. La saison trouve ainsi son équilibre entre ces deux décors opposés, et ces deux groupes amenés, à terme, à violemment s'affronter. La pression monte d'épisode en épisode, au fur et à mesure que les enjeux se font plus précis, et Made To Suffer, le mid-season finale, est le point d'orgue qui annonce une suite encore plus terrifiante et impitoyable maintenant que la guerre froide entre les deux camps a laissé place à une bataille sans merci.
De nouvelles pertes viennent endeuillées nos survivants, après celle de Shane, inévitable, et celle de Dale, regrettable. Mais l'on constate que le concept de la série est plus fort que les personnages -ce qui n'est pas très étonnant vu le temps qu'ils ont mis à devenir attachants- puisque personne ne manque vraiment une fois qu'ils disparaissent. Dans le cas de T.Dog, ce n'est pas du tout une surprise. On se demandait déjà comment il avait pu arriver jusque là ! Il a été inexistant pendant les deux premières saisons, et les auteurs n'ont même pas jugé bon de lui offrir une belle sortie. Il meurt, et personne ne semble s'en soucier. Il faut dire qu'il a mal choisi son moment... La presque perte de Hershel était troublante, car on ne s'attendait pas à tant vouloir qu'il reste en vie. La disparition momentanée de Carole m'a agréablement inquiété. Depuis qu'elle n'est plus une veuve éplorée ou une mère dépressive, elle a gagné toute ma sympathie. Et puis on lui doit indirectement le plus gros fou rire -enfin le seul- de ce début de saison : lorsqu'on lui dit qu'elle ressemble à une lesbienne, parce qu'elle a les cheveux courts ! Ah ah. Bien évidemment, la seule mort qui nous a véritablement importé, c'est celle de Lori. Elle était aussi inattendue que choquante ! Tout à coup, la série nous a enfin offert de vrais grands moments d'émotion. Beaucoup de téléspectateurs détestaient Lori -sentiment que je n'ai jamais vraiment partagé- mais tous ont été touchés par sa mort, preuve qu'elle n'était pas si dispensable. On ne regrettera pas le jeu approximatif de Sarah Wayne Callies en revanche. Ce décès est en tout cas la meilleure chose qui pouvait arriver à Rick et Carl d'un point de vue scénaristique. Ils ont beaucoup évolué depuis le début de la série, mais cet événement traumatique les changera à jamais. Et, pour l'heure, cela est synonyme de folie pour Rick, qui bascule à pieds joints dedans grâce à un Andrew Lincoln étonnamment bon; et de maturité pour Carl, qui n'a plus d'autre choix que de grandir en vitesse accélérée. Ses agissements dans le 8ème épisode sont d'ailleurs impressionnants et permettent d'introduire très efficacement un nouveau groupe de personnages emmené par un certain Tyreese, bien connu des lecteurs du comic-book, qui fait forte impression dès son arrivée.
Outre ce dernier, que l'on apprendra à connaître dans la deuxième partie de la saison, le casting s'est élargi et bonnifié grâce à Michonne. Cette put*** de bad ass de Michonne ! Pour le coup, ses scènes de massacre à elle je les ai adorées. Les tronches qu'elle tire à longueur de temps sont merveilleuses. C'est quand elle est seule d'ailleurs qu'elle est la plus convaincante. Dès qu'Andrea est dans les parages, ça se gâte un peu. Pourtant, j'adore Andrea depuis le début et je continue de la soutenir malgré ses choix hasardeux mais néanmoins compréhensibles, mais elle aussi je la préfère seule, ou avec le Gouverneur, mais pas associée à Michonne. Je ne sais pas ce qui s'est passé les concernant, leur duo semblait prometteur, mais ça n'a pas fonctionné. Partie remise ? Et le Gouverneur, donc. Avant de le découvrir, j'avais lu un peu partout qu'il s'agissait d'un personnage plus détestable que détestable, absolument atroce, donc j'ai forcément été déçu de découvrir un homme charmeur, clairement malsain, certes, mais pas en surface. Je m'attendais à tout moment à ce qu'une séquence affreuse dévoile son vrai visage, mais les auteurs ont préféré une approche disons... progressive. Ca commence par des aquariums remplis de têtes vivantes, puis par son goût prononcé pour les combats humains Vs. zombies, afin d'amuser son peuple en délire et assouvrir ses plus bas instincts; il a même failli violer Maggie et j'ai presque été déçu qu'il ne passe pas à l'acte; mais ce n'est que lorsque que l'on découvre son secret que tout fait sens, et ce n'est que lorsque Michonne massacre sa petite fille, passée de l'autre côté du monde, que l'on comprend que c'est à partir de maintenant qu'il va devenir plus détestable que détestable, et absolument atroce. Et c'est diablement excitant ! J'ai trouvé ça très malin et très fin de la part des auteurs de nous le faire découvrir de cette manière. Et j'ai été sincèrement ému par sa dernière scène avec sa fille. Elle était bouleversante. Je la garderai toujours en tête, je pense, quoiqu'il fasse par la suite. Pas que cela doive l'excuser de quoi que ce soit, bien entendu... David Morrissey est un excellent acteur, et il a ici toute la largesse qu'il lui faut pour s'exprimer. On regrettera quand même son peu de ressemblance avec le véritable Gouverneur des Comics, mais maintenant qu'il a perdu un oeil, la transformation peut commencer.
Cette saison a aussi marqué le retour de Merle sur le devant de la scène, en bras droit du Gouverneur. Pour le coup, tout est à gerber chez lui, et c'est un personnage que l'on prend un pied fou à détester. Pour autant, je trouve presque dommage d'avoir achevé cette première partie sur son affrontement avec son frère. Certes, c'est quelque chose que l'on attendait depuis un moment et on était loin d'imaginer que ça se passerait de la sorte, devant la clameur de la foule et face à une Andrea horrifiée, mais je ne trouve pas cela assez fort. On n'avait de toute façon pas besoin d'un cliffhanger énorme pour revenir, mais ce n'est pas le climax que j'espérais. Qu va gagner ? Daryl ou Merle ? Dans The Walking Dead, tout est possible alors je préfère éviter de faire un pronostic. Mais il est certain que sur le long terme, Daryl sera plus intéressant que Merle. D'autant qu'une histoire semble se tramer entre Carole et lui. Ce serait dommage de ne pas l'exploiter. Il reste si peu d'amour dans cette série... Maggie et Glenn sont toujours trop mignons, mais un couple plus âgé serait le bienvenue aussi. Et oui, je ne suis pas venu pour les zombies, mais je suis venu pour la psychologie de personnages plongés dans un univers post-apocalyptique. L'amour est un sentiment qui a plus que jamais sa place dans la série.
// Bilan // En l'espace de deux demi-saisons, The Walking Dead s'est muée en une très grande série et ses audiences correspondent désormais à sa qualité. Je suis le premier à être surpris par le plaisir que j'ai pris à suivre ces huit premiers épisodes, qui sont toujours passés à une vitesse hallucinante. La suite s'annonce tout aussi excellente !
Tueurs En Séries [Sur le tournage de "Community", la nouvelle Websérie de Neil Patrick Harris...]
Annulations à tour de bras - "Necessary Roughness" et "No Limit" renouvelées - Un film avec les "Misfits" d'origine ? - Des adaptations du dernier roman de J.K. Rowling et du "Dôme" de Stephen King - La bande-annonce de la saison 2 de "Girls" - On répond à vos questions : "Game of Thrones", "Platane", les anciens des "Frères Scott" - Un calendrier très... sexy de "Walking Dead" - On était sur le tournage de "Community" - La nouvelle websérie de Neil Patrick Harris...
Tueurs En Séries [Adieu J.R., Lana Parilla parle de "Once Upon A Time"...]
Au sommaire : - C'est la fin de "Merlin" - La saison 3 de "Sherlock" pourrait être repoussée - "Downton Abbey" perd l'un de ses membres - Chevy Chase quitte "Community" - "Bates Motel" se dévoile avec des premières photos - "Real Humans" bientôt sur Arte - On répond à vos questions : "The Walking Dead", "Baby Daddy" - La bande-annonce de "Chosen" avec Milo Ventimiglia - Zoom sur "Once Upon A Time" avec la méchante Reine Lana Parilla - Notre dernière rencontre avec Mr Larry Hagman, qui nous parle du nouveau Dallas aux cotés de Linda Gray, alias Sue Ellen...
Revolution [1x 05 & 1x 06]
Soul Train // Sex And Drugs
8 610 000 tlsp. // 7 900 000 tlsp.
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Soul Train. Après un épisode fort en action et en émotion, Revolution poursuit sur sa lancée et ne ralentit pas le rythme grâce une aventure très début du siècle dont le catalyseur n'est autre qu'un vieux train remis sur pied par la Milice, censé permettre au Capitaine Neville d'amener Danny à Monroe au plus vite, tout en prenant une grosse longueur d'avance sur notre petit groupe. On est à la limite du western et c'est excitant. Les affrontements entre Neville, Charlie et Miles sont très prenants, et le dernier acte, à bord de la locomotive qui fonce à vive allure à travers le pays, est une petite réussite visuelle, qui donne un souffle épique à une série qui en manque parfois malgré ses efforts. On pourrait quand même regretter le rôle très limité de l'invité du jour, Jeff Fahey (Lost), dont j'espérais qu'il soit plus qu'un accessoire scénaristique. Son dernier geste à l'encontre de Nora reste très surprenant et lui donne un peu plus d'envergure. On pourrait également faire la fine bouche sur la conclusion : Danny n'a pas été sauvé et la course-poursuite est stoppée net puisque, même à cheval, nos amis ne pourront pas rattraper ce train, mais ça veut aussi dire que l'intrigue Danny/Neville est sur le point de s'achever et ça, c'est une bonne nouvelle. On en a assez de cet affrontement psychologique quelque peu prévisible vu la faiblesse de l'un comparée à la force de caractère de l'autre. Cet échec est par la même occasion une nouvelle claque pour Charlie, que les auteurs adorent malmener décidément... dans le but évident de la rendre plus forte bien entendu, à la limite de la machine de guerre.
Mais là où cet épisode excelle, c'est lorsqu'il se penche sur le passé de Neville alors qu'il n'était qu'un "petit homme", écrasé par son patron, "trahi" par ses voisins, peu de temps avant le blackout qui a littéralement changé sa vie ! Il nous manque encore une pièce du puzzle, celle où il entre dans la Milice. Giancarlo Esposito est évidemment parfait dans ce rôle. Comme dans Breaking Bad, il endosse le costume de celui qui semble calme vu de l'extérieur mais qui bout en réalité de l'intérieur et qui peut exploser à tout moment. On fait également la rencontre de sa femme, incarnée par mon amoureuse, Kim Raver. Je suis évidemment ravi de la retrouver ici. Une série avec et Kim Raver et Elizabeth Michell, c'est quand même le pied ! Je rêve du jour où elles partageront une scène mais j'imagine que ce n'est pas prévu au programme pour le moment. La révélation sur la véritable identité de Nate, qui s'appelle en fait Jason et qui est le fils de Neville, se sentait fortement venir en milieu d'épisode, mais avant cela, je n'y avais jamais pensé. Cela reste donc un rebondissement inattendu et bienvenu. Le personnage trouve enfin une place au sein de la série. Reste à faire fructifier ce potentiel... En plus de tout ça, cet épisode introduit une intrigue au long cours très excitante où l'on découvre que pour que l'électricité revienne, douze pendentifs doivent être réunis. L'hommage appuyé à Harry Potter est d'ailleurs amusant...
Sex And Drugs. Ne vous fourvoyez pas, contrairement à ce qu'annonce le titre de cet épisode, Miles ne se met pas à sniffer de la coke dans la forêt pendant qu'Aaron se bouffe des champignons hallucinogènes et que Charlie se prostitue afin de subvenir à leurs nouveaux besoins. Non. L'épisode est plus sage que cela, mais il s'en dégage malgré tout une grande noirceur, qui n'a de cesse de me surprendre dans Revolution. Si l'on prend du recul quelques instants, on se rend compte qu'en terme de violence, elle va assez loin pour une série de network, même si elle a l'excuse du 22h. On voit peu de sang, certes, mais quand même... C'est très dur parfois. Je ne veux pas aller trop loin dans la comparaison mais il y un peu de The Walking Dead dans Revolution parfois. Plus que de Lost même !
De la drogue, il y en a donc eu à travers le personnage de Drexel, un vieux pote de Miles, médecin, devenu un roi de la drogue et de la prostitution dans son quartier. Je déteste ce genre de protagoniste en général, mais Todd Stashwick était très convaincant dans ce rôle, quitte à en faire trop, et il a largement été sauvé par son humour avec des tas de répliques bien senties. Celui qui pouvait passer pour un petit rigolo au début de l'épisode s'est transformé petit à petit en un être vraiment dangereux et inquiétant. Tout le passage de Charlie chez le voisin était très intense et on pourra dire ce que l'on veut de Tracy Spiridakos, mais moi je la trouve plutôt bonne ! Ce qui ne m'a pas plu du tout, c'est la facilité avec laquelle ils s'en sont sortis ! Une fois Drexel mort, aucun de ses sbires n'a cherché à le venger, rien. Ils sont restés immobiles. Ce n'était pas très crédible. On peut éventuellement supposer qu'eux-mêmes étaient en quelque sorte ses esclaves et que son assassinat était aussi une libération pour eux, mais cela reste vraiment de la supposition et je crois que les auteurs n'ont juste pas eu envie de se casser la tête ! Du coté des flashbacks, même s'il me paraissait à moi aussi important de se pencher sur le cas d'Aaron, un protagoniste qui manquait de profondeur, je me suis plus ennuyé qu'autre chose. Il n'a fait que ralentir le rythme. Son histoire ne m'a pas paru ni intéressante ni très originale. Pas tellement poignante non plus. Et pour tout dire, je n'ai même pas trouvé la conclusion crédible. Surprenante, oui, parce qu'on s'attendait tous à ce que sa femme finisse par périr d'une manière ou d'une autre, mais je ne peux pas croire une seule seconde que quelqu'un dans sa situation puisse abandonner l'amour de sa vie "pour son bien". En plus, on s'attend pertinemment à ce qu'elle réapparaisse maintenant... Résultat : j'apprécie toujours Aaron, parce qu'il faut un personnage comme lui dans la bande, mais je ne suis pas plus attaché à lui qu'avant.
// Bilan // Comme dans d'autres séries avant elles, qui ont reposé sur un système de flashbacks à chaque épisode, Revolution devient très dépendante de ses héros et de leur passé. Il y a des pièges dans lesquels il ne faudra pas tomber à l'avenir, au risque de vite créer de l'ennui là où il n'y aurait pas dû en avoir. Pour le moment, ça passe bien mais nous n'en sommes qu'à un tiers seulement de la première saison...
Tueurs En Séries [David Simon, Mockingbird Lane...]
Au sommaire : "Suits" renouvelée, "Shameless UK" s'arrête... - Neve Campbell rejoint "Grey's Anatomy" - "The Walking Dead" revient en grande forme - Les dates de retour de "Girls" et "Enlightened" - Les dernières images de la série SF "Defiance" - "The Following" fait sa promo - La BA de l'évènement français de l'année "Les Revenants" - On répond à vos questions : "Justified", "Gossip Girl", "Arrow" - On a rencontré David Simon, le créateur de "The Wire" et "Treme" - La bande-annonce de "Mockingbird Lane" !
Tueurs En Séries [Adieux à "Damages" et "Weeds"]
Au sommaire : Notre hommage à la discrète mais néanmoins excellente "Damages" qui vient de s'achever après 5 saisons, avec Glenn Close en guest, s'il vous plait - L'hommage des objets de "Weeds" à la comédie qui vient de se terminer après 8 ans - Petit tour du coté du Festival de la Fiction de La Rochelle avec Hervé Hadmar au micro qui évoque ses projets - Une nouvelle bande-annonce de "The Walking Dead" saison 3 - La bande de "Cougar Town" annonce son retour en chanson...