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Des News En Séries, Le Blog
31 mars 2011

United States Of Tara [3x 01]

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...youwillnotwin... (Season Premiere) // 41o ooo tlsp.

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   Je fais partie des plus fervents défenseurs de United States Of Tara, encore qu'il me semble qu'elle n'est pas loin de faire l'unanimité, ma tâche est donc facilitée, mais je dois bien reconnaître que ce Season Premiere échoue dans sa mission : celle de donner envie de voir la saison 3 dans son intégralité. Plusieurs mois ont passé depuis la fin de la saison précédente et rien n'a vraiment changé. Tout est calme, trop calme. Tara continue de se "transformer", Buck enchaîne ainsi les excès de vitesse et se sert même d'une arme pour menacer les gens, mais les autres alters ne semblent pas avoir fait de bêtises. Du coup, notre héroïne s'ennuie et décide de reprendre ses études, contre le gré de Max, qui envisage cette idée comme une nouvelle source d'ennui. Et franchement, on espère qu'il ne se trompe pas. A quoi bon sinon ? La perspective n'est pas très excitante pour le moment. Heureusement, Eddie Izzard débarque en guest grâce à cette intrigue. On peut s'attendre à de bonnes tranches de rigolade à l'occasion... Telle mère, telle fille : Kate s'ennuie aussi. Toujours sans emploi, ses nouvelles recherches sont infructueuses. Ses shows internet passés la rattrapent. Que va-t-elle devenir ? Les scénaristes n'ont pas trouvé la réponse jusqu'ici. Je compte sur eux... Telle mère, tel fils ? Pas vraiment. Marshall, mon chouchou, avance, lui. Tout du moins, il essaye. Il file toujours le parfait amour avec Lionel. A un détail près : Lionel ne veut pas entendre parler... d'amour. Problématique. Je suis déjà plus enthousiasmé par cette première piste. Mais elle ne nous occupera pas toute la saison...

   Telle mère, telle soeur : c'est Charmaine qui vole finalement la vedette à sa soeur et  même au reste de la famille. Elle vit plutôt bien sa grossesse et sa nouvelle vie de célibataire. Mais on sent au fond qu'elle n'est pas totalement heureuse. Elle ne parvient pas à laisser plus de place à Neil, qui aimerait au moins accomplir son rôle de futur père. Il finit par s'imposer en douceur. Et c'est mignon. Ce couple est tellement improbable. Lorsque Charmaine sera prête à retirer son diadème, ses rêves de princesse s'envoleront peut-être enfin et elle pourra s'assumer en tant que femme. Elle est encore une femme-enfant. 

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// Bilan // La saison 3 de United States Of Tara ne démarre pas sous les meilleurs auspices. Les scénaristes ne semblent pas savoir quoi raconter et ne donnent pas vraiment d'indices sur ce qui nous attend. Au moins, la surprise sera totale ! Pourvu qu'elle soit bonne. 

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30 mars 2011

Coming Next [Saison 3]

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29 mars 2011

[Interview] Glee - Chris Colfer & Amber Riley

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En Décembre dernier, j'ai eu la chance de rencontrer Kurt et Mercedes de Glee pour la promotion de la série musicale, diffusée sur M6 et W9 à partir de ce soir. Ils étaient fatigués mais sympathiques et souriants. Un joli souvenir !

28 mars 2011

How I Met Your Mother [6x 19]

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Legendaddy // 8 o3o ooo tlsp.

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   J'ai beau apprécié l'effort considérable des scénaristes pour donner de la profondeur au personnage de Barney ces derniers temps, je ne suis pas convaincu par le résultat. Autant ils ont bien réussi leur coup avec Marshall, autant avec Barney, on reste dans la caricature facile, qui n'émeut pas beaucoup. Dans un premier temps, Jerome, le père de celui-ci, nous est présenté comme une copie conforme de son fils. Les blagues habituelles sur l'alcool et les femmes fusent donc logiquement. On est en terrain plus que connu, battu et rebattu. On sourit mais on s'ennuie quand même un peu. Puis l'on découvre, par un twist pas si étonnant, que Barney a menti : son père est à peu près tout l'inverse de lui. Le juste milieu, ça n'existe visiblement pas. Ce qui conduit à une intervention du Scooby Gang et à une réconciliation, bien qu'il n'y ait pas vraiment eu dispute, entre le fier Barney et son fils. La toute fin reste en demi-teinte, histoire d'y consacrer un deuxième épisode rapidement. On laisse quelques parts d'ombre pas très discrétement : Barney ne rencontre pas sa soeur, une dénommée Carly. De là à imaginer qu'elle pourrait être la "mother"... ou peut-être que Barney se rendra compte dans quelques épisodes qu'il a déjà couché avec sa soeur ? Nope. CBS. Too Much. Jolie performance de John Lithgow en tous cas, plus proche ici de son registre habituel que de sa performance incroyable dans Dexter en trinity killer.

   Les scénaristes nous ressortent soudainement la maison de Ted, portée disparue depuis la saison dernière il me semble. Je n'ai pas trouvé le lien avec l'histoire de Barney particulièrement judicieux mais on va dire que c'est mieux que pas de lien du tout ! Le reste de l'épisode consiste à pointer du doigt les travers de Lily, Marshall, Robin et Ted. Un truc qu'on a l'impression d'avoir déjà vu mille fois et l'on s'étonne un peu de ne découvrir qu'au bout de six saisons certains détails... On va dire que c'est le système de narration qui veut ça. Il est bien pratique parfois. En tous cas, l'exagération dont font l'objet Lily et Robin est à la limite du ridicule, là où Marshall s'en tire un peu mieux. 


// Bilan // J'attendais avec une certaine impatience la rencontre entre Barney et son vrai père depuis longtemps et je ne peux pas m'empêcher d'être déçu. Ce n'était pas à la hauteur de mes espèrances malgré les talents conjoints de Neil Patrick Harris et John Lithgow. Le reste de l'épisode étant anecdotique, il faut se contenter de peu.

26 mars 2011

Grey's Anatomy [7x 17]

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This Is How We Do It // 1o 281 ooo tlsp.

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    Cela faisait un mois que Grey's Anatomy avait disparu du petit-écran. Un mois durant lequel le Japon a tremblé et a été submergé, TF1 a ouvert son Carré Viiip, Marine Le Pen a été désignée présidente du Front National, Elizabeth Taylor (la vraie, pas la chienne de Charlotte dans Sex & The City) nous a quittés, Heather Locklear, Christina Applegate et Ginnifer Goodwin ont rejoint des pilotes en vue de la saison prochaine... Bref, il s'est passé des tas de choses mais pas vraiment au Seattle Grace, où la vie suit son cours tranquillement. Arizona et Mark ne s'entendent toujours pas. Ils se battent cette fois -ci autour de l'organisation de la baby shower de Callie (et oui, il faut qu'elle accouche avant la fin de la saison, le temps doit passer plus vite...) alors que sa grossesse se déroule plutôt bien. Elle passera l'épisode le sourire aux lèvres, en montrant sa dentition parfaite, jusqu'à l'accident de voiture en guise de cliffhanger. Il aurait pu être génial si et seulement si on ne l'avait pas vu venir à des kilomètres (eh oh Arizona, tu conduis, regarde devant toi, pas à droite !), si la scène avait été tournée en décors naturels et non avec un écran qui défile derrière et si on nous avait évité la coupure brusque avec le classique son de freins puis de ferraille. Ridicule et pas digne d'une des séries les plus regardées aux Etats-Unis qui est donc censée avoir des moyens (et qui n'a pas si souvent l'occasion de les débourser en dehors des salaires des nombreux acteurs). Une introduction ratée à l'épisode musical qui suivra la semaine prochaine, en espérant que Shonda Rhimes ne s'est pas ramassée. On l'attend au tournant...

   Les relations amoureuses des uns et des autres n'ont pas beaucoup évolué en un mois. April et le Dr. Stark dînent régulièrement ensemble mais la première souhaite qu'ils restent au stade de l'amitié tandis que le second en veut plus. Qui va gagner ? D'un point de vue soapesque, ce serait plus avantageux qu'il se passe quelque chose voyez-vous. Et puis je veux les voir s'embrasser. Ce sera un peu dégoûtant, ça peut être marrant ! Leur début d'histoire fait en tous cas déjà parler. La scène au cours de la Baby Shower l'illustrait parfaitement, Grey' Style. Alex et sa blonde se contentent de boire des bières sur le parking de l'hôpital où la raclure (j'ai envie de le surnommer ainsi) a garé sa caravane. Cette femme ne m'inspire pas et je hais qu'elle découvre petit à petit combien la raclure a souffert et combien cela fait de lui le grand homme qu'il est apparemment devenu. Rachael Taylor étant l'une des trois nouvelles Drôles de Dames de ABC, cette affaire est vouée à l'échec. Rien n'est donc fait pour que je puisse m'y intéresser. Bailey et son Eli suscitent davantage ma curiosité. On n'a tellement pas l'habitude de voir le petit gland tout noir s'agiter de la sorte, tout en regards de braise ! Je suis fan de cette Miranda là aussi. Eli a quelque chose. Pourvu que ça dure... Lexie et Jackson assurent le minimum syndical mais ils le font bien : shirtless et moites. Comme un air du Grey's Anatomy des débuts. C'est très agréable mais pas très profond pour l'instant. Tant que cela ne débouche pas sur une prise de conscience de Lexie, qui se rend compte qu'il n'y a que Mark qui compte...

   C'est finalement vers les patients qu'il faut se tourner pour une fois afin de se procurer quelques émotions fortes. Du rire d'abord, grâce au mari de Teddy, qui a bien du mal à cacher ses sentiments pour sa "femme" lorsqu'il est sous l'emprise de médicaments. Evidemment, les choses deviennent plus sérieuses et plus émouvantes chemin faisant mais Teddy n'a pas l'intention de se laisser aller. Pas tout de suite du moins. L'une des patientes de Meredith et Derek, atteinte d'Alzheimer et supportée magnifiquement par son fils, aurait pu me faire verser une petite larme. C'était simplement touchant. Mais le meilleur revient à n'en pas douter à Adele et Richard, qui doivent désormais se battre contre la maladie main dans la main. Loretta Devine était absolument bouleversante. Je me suis soudainement souvenu pourquoi je l'aimais tant : elle est capable de passer du rire aux larmes en l'espace de quelques secondes et elle est aussi douée dans les deux domaines. Mais une Adele en cachait une autre au cours de cet épisode ! Le programmateur musical de la série a eu la bonne idée d'utiliser deux morceaux de la chanteuse portant ce prénom, issus de son dernier album, encore meilleur que le premier : l'entraînant Rumour Has It et le magnifique Someone Like You.  

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// Bilan // Même si cet épisode est finalement assez routinier et parfois maladroit, il délivre, sans temps mort, des prestations convaincantes ainsi que quelques scènes amusantes et d'autres bouleversantes.


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25 mars 2011

Tueurs En Séries [Episode du 25 Mars 2011]

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Au programme cette semaine : rencontre avec les héros de "Signature", la nouvelle série de France 2 écrite par l'équipe de "Pigalle, La Nuit"; le lifting de "Law & Order: LA", la nouvelle "Wonder Woman" fait polémique, quand la Russie achéte une série américaine, le retour des "Desperate Housewives" sur Canal +...

24 mars 2011

The Event [1x 10]

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Everything Will Change //

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    Ayant un retard considérable sur The Event, je me dois de replacer cet épisode dans son contexte : il a été diffusé juste avant la longue pause dont a été victime la série. Une pause imposée à la production par la chaîne. Sa fin n’a donc pas été spécialement pensée pour tenir en haleine les téléspectateurs. Du moins, pas plus que d’habitude. Découvrir que le père de Leila est un extra-terrestre est une réelle surprise. Je ne l’avais en tous cas pas envisagé. Avec du recul, c’est assez logique. Sa présence dans l’avion s’explique plus clairement, ainsi que ce qu’on lui a demandé de faire (à moins qu’il ne mente depuis le début). Mais surtout, on comprend tout de suite mieux pourquoi nos chers visiteurs souhaitent mettre la main sur Leila et pourquoi ils gardent rageusement Samantha : elles sont a priori le fruit d’une union entre un extra-terrestre et une humaine. Des êtres hybrides donc. Elles ne sont pas uniques pour autant. L’homme qui ne veut pas parler à Leila et Sean malgré leur insistance est également le père d’une enfant hybride. Est-ce que ces enfants ont quelque chose de spécial ? Sans doute, sinon ils ne les étudieraient pas de la sorte. Leila a pourtant l’air tout à fait normale… A partir de maintenant, on peut officiellement dire que la cavale des jeunes amoureux et toutes les autres intrigues se rejoignent. Ca ne peut qu’être une bonne pour la cohérence des événements à venir.

 

   Dans sa mécanique, cet épisode était très classique. La série a définitivement perdu ce qui la rendait un peu différente de ce que l’on a déjà vu (mille fois). Je ne vais pas le répéter chaque semaine mais les aventures de Sean et Leila auraient très bien pu avoir lieu dans Prison Break, les aliens mis à part. On est exactement dans le même type de rythme et de rebondissements. Du coté des petits bonhommes pas verts, justement, on avance lentement mais sûrement. Ils ont réussi à transmettre un message via satellite aux leurs. Les effets-spéciaux étaient plutôt pas mauvais. Mais c’est sûr que voir ça quand on ressort d’une saison entière de V… c’est autre chose disons. La partie politique  m’a franchement ennuyé. Certainement parce que le président Martinez ne m’est toujours pas sympathique. Il me laisse plus indifférent qu’autre chose et il n’y a rien de pire. Ses conseillers énigmatiques sont bien plus intéressants que lui mais trop en retrait maintenant que leurs épisodes sont passés.

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// Bilan // Malgré quelques doutes il fut un temps, je ne compte pas abandonner The Event. Je me souviens qu’à cette même période, FlashForward m’ennuyait profondément la saison dernière (avant de remonter la pente). C’est plutôt bon signe…

23 mars 2011

Glee [2x 16]

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Original Song // 11 15o ooo tlsp.

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   La compétition des Regionals, qui faisait l’année dernière office de Season Finale, ne méritait-elle pas d’être traitée au cours d’un double épisode cette saison ? Les producteurs ont jugé que non. Ils ont eu tort à mon sens. L’idée d’associer cet événement à celui des toutes premières chansons originales de la série était excellente. C’est précisément cette audace de la part des élèves de McKinley qui les a fait remporter leur ticket pour les Nationals, lesquels se dérouleront à New York et certainement dans le dernier épisode de cette saison 2. Là où le bas blesse, c’est que le concours était sans enjeux. On savait pertinemment que cette deuxième tentative serait la bonne. Les scénaristes n’ont même pas essayé d’instaurer un semblant de suspense. Sue nous avait promis une terrible vengeance, et on la sait capable du pire : elle s’est simplement contentée de faire interpréter à Aural Intensity des chansons qui étaient censées plaire au jury. C’était ça son plan ? Elle n’a même pas essayé de les soudoyer ? C’est tout bonnement indigne du personnage ! Les Warblers auraient pu être des concurrents sérieux mais ils ne sont pas franchement cassés la tête et tout reposer sur les épaules de Blaine. Les scénaristes semblaient vouloir s’amuser de son omniprésence dans les prestations en début d’épisode, puis ils ont laissé tomber en cours de route. Il a quand même fait 75% du show (Raise Your Glass était juste sympathique). Le reste a été généreusement confié à Kurt à l’occasion d’un duo sans grand intérêt, qui ne m’a pas ému comme il aurait dû. La mort de Pavarotti était assez ridicule dans son traitement. Le second degré ne marche pas à tous les coups. En revanche, je suis heureux que les deux tourtereaux se soient embrassés. On a attendu assez longtemps ! Je suppose que la défaite des Warblers va avoir des conséquences sur Kurt, qui ne va pas rester dans l’école formidable pour rejoindre les losers, temporairement devenus winners. Et ce sera une première épreuve pour Blaine et Kurt, peut-être fatale. J’ose espérer que les scénaristes ne tueront pas cette histoire à fort potentiel dans l’œuf. On pourrait avoir un couple à peu près stable dans la série. Ca nous changerait !

 

   Le Glee Club a donc performé et remporté la victoire grâce à des chansons inédites, créées pour l’occasion. Et ils ont vraiment tout misé sur les titres parce que niveau mise en scène, pour eux comme pour les concurrents, c’était le néant ! Quand on pense que la plupart de leurs répétitions en salle de classe ou dans l’auditorium sont plus recherchées… Les tenues des filles étaient particulièrement laides. Ca ne les mettait pas en valeur, et surtout pas Lea Michele qui était une fois de plus la star de ces Regionals. Elle a commencé par une ballade de son cru, Get It Right, plutôt jolie mais passe-partout. Je ne sais pas qui en est le véritable compositeur mais il aurait pu frapper un peu plus fort. Cette chanson ne deviendra pas un hymne. En revanche, le morceau Loser Like Me, beaucoup plus rythmé, est excellent. Il entre bien comme il faut dans la tête. Super efficace. Seule déception : qu’il soit confié en majorité à Rachel et à Finn. Tous les autres font de la figuration et c’est bien dommage. Certains ont quand même eu droit à leurs compositions (ratées) un peu plus tôt dans l’épisode. Elles étaient ridicules mais amusantes. Celle d’Amber Riley, Hell To The No, était vraiment pas mal. On aurait dit un classique alors qu’il s’agissait bien d’une création originale. Elle aurait tout à fait eu sa place aux Regionals. Oui mais ce n’était pas signé Rachel alors… A part ça, Quinn reprend du poil de la bête après avoir été éteinte quasiment toute la saison. On en avait oublié qu’elle pouvait se comporter comme une petite peste puisqu’elle n’avait plus de personnalité définie. Voyons voir de quel bois elle se chauffe… Mais rien que de penser qu’elles se battent pour Finn rend l’entreprise d’avance bien inutile. Je termine par mon passage préféré de l’épisode : les délibérations du jury ! Elles étaient beaucoup trop courtes à mon goût, surtout que Katy Griffin et Loretta Devine réunies (une idée géniale) auraient pu faire de plus grandes merveilles encore. Mais c’était drôle et irrévérencieux.

 

 

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// Bilan // Les producteurs de la série ayant décidé que les Regionals ne constitueraient pas un événement cette année mais une simple étape nécessaire, cet épisode n’a, par conséquence, rien offert de palpitant de ce coté-là. Les chansons originales étant à peu près à la hauteur de nos attentes, pour du Glee j’entends, ce pari-là au moins a été réussi.

22 mars 2011

Fringe [3x 17]

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Stowaway // 3 8oo ooo tlsp.

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    La question se posait suite au cliffhanger de la semaine dernière : Fringe serait-t'elle en train de sauter le requin ? Aujourd'hui, je peux dire avec soulagement que non. Tout va pour le mieux dans le plus effrayant des mondes. William Bell a donc bel et bien pris le corps d'Olivia pendant toute la durée de l'épisode, à un décrochage de quelques secondes près, et Anna Torv s'est extirpée de cette situation avec brio ! Elle était convaincante à la fois dans les modulations de sa voix, dans ses gestes et dans sa posture. On ne le dira jamais assez : elle est une excellente actrice. Dommage que les séries fanstatiques soient systématiquement boudées dans les cérémonies de récompense. Fringe et Anna Torv y auraient parfaitement leur place. Au moins autant qu'une Mariska Hargitay en tous cas. Olivia ne m'a pas manqué dans cet épisode. Il faut dire que le duo Walter/William a fait le spectacle ! Leur complicité et leurs petites blagues faisaient plaisir à voir (autour de la vache notamment ou encore d'Astrid). Si on rajoute à cela le cocasse de la situation, on peut dire qu'il s'agissait d'un des épisodes les plus drôles de la série ! Peter faisait un peu peine à voir face aux pitreries de son père. Ca ne lui aurait pas fait de mal de se détendre un peu... L'agent Lee fait désormais également partie de notre Monde, et j'ai trouvé son introduction réussie. Lui aussi était amusant à sa manière, charmant et il apportera sans doute plus tard quelque chose à la mythologie de la série. Il s'est contenté d'aider à résoudre l'affaire du jour pour le moment.

   L'immortalité est un des thèmes récurrents des cas de cette saison. On se souvient du fantôme qui ne voulait pas partir, de l'homme qui voulait rescussiter la danseuse qu'il aimait tant, ou encore du scientifique et son insecte disparu. Il s'agissait cette fois d'une femme qui ne voulait pas mourir, enfin dans un premier temps. On a découvert ensuite qu'elle faisait en réalité tout pour mourir et rejoindre ses chers disparus. C'était émouvant. Le jeu de Paula Malcolmson sonnait très juste. Ce n'est pas si facile de rendre un personnage si attachant en si peu de temps. J'ai tout de même un doute sur sa mort au final. Etant donné que William et Walter sont en plus incapables d'expliquer pourquoi elle est morte cette fois-là et pas toutes les autres... Mais est-ce que cela a une véritable importance ? J'en doute. Cette enquête était en tous cas plaisante à suivre et amorçait un discours sur la religion et la science auquel on ne nous avait pas tellement habitué dans Fringe... X-Files, vous avez dit X-Files

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// Bilan // Une enquête touchante mêlée à des dynamiques inédites et temporaires. Un bon épisode de Fringe en somme, à la fois amusant et prenant.

21 mars 2011

The Event [1x 08 & 1x 09]

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For The Good Of Our Country // Your World To Take

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    Après Simon et Sterling, c'est au tour du vice-président Raymond Jarvis d'obtenir son épisode, émaillé de flashbacks plus ou moins intéressants. Je regrette toujours que la série ait perdu la (dés)tructure de ses premiers épisodes, qui rendait l'ensemble moins monotone. For The Good Of Our Country s'efforce à nous présenter à la fois comment Jarvis a obtenu son poste et quelle est la nature de sa relation avec le président Martinez, et comment il est devenu l'un des pions d'une conspiration encore très floue. Le véritable rôle du vieux Dempsey, interprété par l'excellent Hol Hollbrook, est cependant un peu plus clair : il n'est pas l'ennemi pervers que l'on imaginait. Il agit pour la bonne cause, si l'on peut dire. Celle de son pays, comme le titre de l'épisode l'indique. Et du monde peut-être aussi, mais on s'interdit de l'évoquer. Vous savez le problème dans tout ça, le truc qui risque vite de me faire décrocher ? C'est le syndrôme Prison Break (ou 24, comme vous préférez). Les retournements de situation interminables, les personnages qui ne sont pas ceux que l'on croit, et qui retourne leur veste à de multiples reprises selon le sens du vent. Ca me gonfle. Ca empêche de s'attacher aux personnages, à force de tous les soupçonner lorsqu'un climat de paranoïa s'installe. The Event n'a pas encore atteint le point de non-retour, et ne l'atteindra sans doute jamais vu que sa vie risque d'être courte. Mais je regrette son penchant pour ce type de rebondissements. 

   Sean et Leila retrouvent peu à peu leur place de héros après avoir été écartés quelques épisodes. Les scénaristes n'avaient visiblement pas grand chose à dire les concernant dans le premier épisode puisque l'on doit se contenter d'une blessure et de la recherche d'un médecin de toute urgence. La détermination et le courage de ces deux-là ne sont plus à prouver. Alors on s'ennuie un peu. Dans le deuxième épisode en revanche, le rythme s'accélère un peu puisqu'ils sont fin prêt pour partir à la recherche de la petite Samantha, toujours perdue quelque part avec des gamines qui ont des têtes de vieilles. Ils ne vont pas apprendre grand chose mais la course-poursuite dans les hautes-herbes était palpitante et particulièrement bien réalisée. C'est bien de savoir s'en contenter.

   Un peu comme dans V où il faut toujours se tourner vers les visiteurs pour passer les meilleurs moments, c'est avec les extra-terrestres que The Event fascine le plus. La lutte de pouvoir entre Sophia et son fils est évidemment infiniment plus passionnante et mieux écrite que les aventures d'Anna et ses sbires. Les portraits des deux protagonistes sont approfondis, autant que faire se peut. Ils ne sont pas unidimensionnels. Les interprétes sont excellents. Toutes les conditions sont réunies pour les rendre attachants. Je ne portais pas tellement d'intérêt à Thomas jusqu'ici mais je suis prêt à raviser mon jugement.

 

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// Bilan // The Event a réussi à confectionner en peu de temps de solides portraits d'hommes et de femmes. Le problème à l'heure actuelle est que les intrigues qui les accompagnent ne sont pas dignes d'intérêt, pas toujours à la hauteur. Je crois encore beaucoup en la série. Pas en son succès, qui n'arrivera plus, mais en sa qualité.  

20 mars 2011

Big Love [5x 04]

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The Oath //

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    En ce triste jour où Big Love va s'éteindre à jamais, je me devais de la faire figurer sur le blog malgré mon retard. Un retard qui m'arrange d'ailleurs, quelque part. Je retarde l'échéance à mon rythme... The Oath était un bel épisode, particulièrement émouvant, qui a revisité brillamment le passé des Henrickson, bien avant qu'on ne les rencontre. Toutes les fêlures d'aujourd'hui sont nées dans les souffrances d'hier. La scène la plus saisissante ? Celle où Barb avoue qu'elle n'était pas heureuse dans son mariage lorsqu'ils n'étaient que trois avec Bill et Nicky. L'arrivée de Margene lui a permis de retrouver le sourire en comblant sa solitude. Margene avait également besoin d'elle, et de la famille dans son ensemble, pour se reconstruire, pour faire face à la mort de son père, à la dureté de sa mère. Elle était perdue, ils l'ont sauvé. Et oui, elle avait 16 ans et c'est difficile à accepter, même pour Bill qui tente de faire bonne figure mais qui est clairement rongé par ce qu'il a fait. Don enfonce un peu plus le clou en lui disant qu'il savait au fond que quelque chose clochait avec Margene mais qu'il a fermé les yeux parce qu'il avait besoin d'elle. Et parce qu'il avait des envies... pressantes. Barb partage ce point de vue. Nicky aussi, plus encore que les autres. On connaît sa vision du sexe. Tout cela nous ramène aux premiers épisodes, où le sexe était un thème important. Bref, les bases de ce mariage sont on ne peut plus fragiles depuis le départ. Il n'est donc pas étonnant que tout s'effondre. Malgré tout, lorsque Barb, Margene, Nicky et le reste de la famille viennent défendre l'honneur de Bill au Sénat, on sent que tout n'est pas perdu. Ils tiennent toujours les uns aux autres et se soutiennent malgré les blessures. Tout cet amour, c'est bien celui du titre de la série.

   Entre autres scènes d'une grande tristesse, je pense naturellement à celle de Loïs, dehors, la tête contre un mur, qui dit se sentir sale. J'ai appris quelque chose grâce à cet épisode de Big Love : une MST mal soignée peut entraîner la démence ! C'est bien noté. Je ferais plus attention la prochaine fois que j'en chope une ! Plus sérieusement, ça m'a fendu le coeur de la voir dans cet état, au moins autant que Barb et Nicky qui ont assisté, impuissantes, au spectacle. Bill provoque rarement chez moi de l'empathie mais je dois dire que quand il est face à sa mère, il me fait de la peine. Il a constamment les yeux au bord des larmes. La voilà sa plus grande faiblesse... Frank ne devrait pas tarder à faire son retour étant donné qu'il est responsable de ce qui arrive à Loïs. En même temps, je voyais mal la série ne pas lui dire adieu. Il fait partie de l'Histoire. C'est pour cela que je n'ai pas été très étonné de revoir Rhonda. C'était un passage obligé. Pour le moment, elle s'est tenue relativement tranquille. Mais il faut se méfier de l'eau qui dort... Je ne lui laisse même pas un épisode pour foutre la merde ! Son mari, Verlan, devrait l'aider mais il ne m'inspire pas. Je regrette que Sarah ne soit pas dans les parages. L'intrigue de Rhonda a souvent été reliée à elle. Ben et Heather assurent l'intérim comme ils peuvent. Ils sont mignons ensemble mais ça s'arrête là. J'ai un peu de mal à y croire, sans doute parce que dans ma tête, Heather a toujours été amoureuse de Sarah. Du coté de Juniper Creek, Alby se sert d'Adaleen pour monter un nouveau plan machiavélique. Cette femme a toujours besoin d'un homme à ses cotés pour survivre. Il faut qu'elle marche dans ses pas. Elle n'est rien le cas échéant. Je lui prédis un sombre destin. Et puis sinon Cara Lynn va sortir avec son professeur incessamment sous peu. C'est sans doute l'intrigue la plus prévisible de l'histoire de la série.

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// Bilan // Rarement des personnages de fiction auront réussi à me fendre autant le coeur. J'ai sans doute trop d'amour pour eux.

19 mars 2011

V [2x 10]

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Mother's Day (Season Finale) // 5 51o ooo tlsp.

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   Malgré quelques scènes jouïssives sur lesquelles je reviendrai, je ne peux que déplorer, et peut-être pour la dernière fois, la médiocrité des scénarios de V. Ce final était sans doute l'un des épisodes les plus mal écrits de la série... et de l'histoire ! Il était truffé d'approximations et d'incohérences. La série nous y a habitués sur la longueur mais un tel concentré de bêtises en 42 minutes, c'est fascinant et déprimant à la fois. Les séries de SyFy ne sont pas toujours des chef d'oeuvres, pour comparer ce qui est comparable, mais, avec moins de moyens et plus d'idées, ils réussissent au moins à faire des divertissements regardables et qui ne versent pas systématiquement dans le ridicule. Evidemment, je me dois de rappeler en préambule que les scénaristes ont dû composer avec un handicap de taille : une réduction d'épisodes drastique. C'est pour cela que je ne m'attarderai pas sur la vitesse avec laquelle les événements s'enchaînent. On passe de l'annonce d'un plan ô combien foireux à son exécution immédiate. Habituellement, il faut au moins trois épisodes avant que l'idée ne fasse son chemin.

   Comment Erica a-t-elle sérieusement pu croire que Lisaallait réussir à tuer sa propre mère sans vergogne alors qu'elle est fragile et qu'Anna est la plus grande manipulatrice de l'histoire de l'humanité ? Et comment tous ses petits camarades ont pu la laisser faire sans broncher ? C'est invraisemblable. La scène de matricide raté était affligeante. On se serait tout simplement cru dans un épisode des Feux de l'amour avec ce plan-séquence typique des daytime soaps. On notera au passage que les scènes se déroulant en extérieur ont toutes été tournées au même moment : il pleut des cordes et les personnages sont habillés de la même façon. J'en profite aussi pour dire que, sans les plans larges sur le ciel de New York, la série pourrait avoir lieu n'importe où. Il n'y a rien qui la relie directement àBig Apple. C'est peut-être voulu cela dit, pour rendre l'ensemble plus universel. Oui, je profite de cette critique pour balancer tout ce que je n'ai pas pu caser dans mes reviewsprécédentes. Au risque d'en faire un roman... Pour en revenir aux stupidités de cet épisode, j'étais surpris de constater que Ryan pouvait se ballader comme bon lui semblait dans le vaisseau, à partir du moment où la Reine n'était pas là. Elle doit emmener tout son service de sécurité avec elle dans ses déplacements. Je ne vois pas d'autres explications. On ne reviendra pas sur Joshua qui a retrouvé toute sa mémoire d'un coup d'un seul, ni sur Diana qui réussit plutôt facilement à s'extirper de sa cave après y avoir passé tant d'années. Tout ce qui tourne autour de la fille de Ryan et de la félicité ne m'a pas du tout convaincu, en partie parce que la jeune actrice n'était pas juste du tout, ensuite parce que c'est quand même super facile. Mais le fait que l'enfant stellaire ait des pouvoirs nous renvoit directement à la première série. C'est peut-être elle qu'il faut blâmer pour le coup. Il fallait bien que cet enfant ait quelque chose de spécial de toute façon. Ce sera donc ça. Le cliffhanger qui en découle est un peu décevant, surtout avec cette vue sur les vaisseaux tout noirs et tout effrayants qui n'en finissent plus d'arriver...

  La découverte d'une organisation secrète, menée par les deux collègues d'Erica et l'ancien Mike Donovan de la première version joué par Marc Singer, est à la fois la meilleure chose qui pouvait arriver à la série et en même temps la plus belle manière de nous prouver que tout ce que l'on a vu jusqu'ici n'était que du flan. La Cinquième Colonne n'a jamais rien réussi. Les scénaristes partent de ce constat d'échec pour repartir sur des bases plus solides (a priori). J'ai quand même l'impression d'avoir suivi deux saisons pour rien, du coup. En plus, on se demande pourquoi Dupont et Dupont n'ont pas compris plus tôt qui était vraiment Erica. Ca nous aurait épargné bien des misères. Là où l'épisode devient intéressant, c'est quand il s'acharne sur les boulets de la série qui auraient du disparaître depuis longtemps. Je m'attendais à la mort de Ryan, c'était même devenu une obligation de le tuer à ce stade. Je ne pensais pas que ce serait sa fille qui l'exécuterait en lui tordant le coup. Quand on y pense, cette scène est assez dérangeante mais elle s'accorde bien avec la première série. La relation qu'a instauré Anna avec Amy peut être mise en parallèle avec les jeunesse Hitleriennes, si l'on part du principe que les méthodes d'Anna ne sont pas très éloignées de celles d'Hilter. Et son discours face à son peuple va bien dans ce sens. En cherchant bien, on peut donc trouver du fond à toute cette mascarade mais n'est-ce pas surinterpréter cette "oeuvre" ? La mort de Tyler est évidemment un soulagement pour tout le monde. On l'a tellement attendue... Elle est en plus bien gore et bien perverse. Pas mal pour du 21h sur ABC ! Cela dit, je n'adhère pas du tout à l'intrigue inventée autour de l'oeuf. C'est totalement incohérent. Il a fallu attendre un temps fou pour que Lisa puisse enfin s'accoupler avec Tyler et sa jumelle y arrive à peine née ! Bref, passons. Ca n'en était pas moins jouissif ! La mort de Diana m'a moins plu. Il fallait bien que l'une des Reines meurt et on voyait mal Anna disparaître, mais les scénaristes auraient pu s'arranger pour lui rendre la tâche plus difficile.Au final, Jane Badler n'aura jamais été exploitée comme il se devait.

   Grosse déception : Father Jack est toujours vivant, mais il a enfin été touché par la grâce. Malheureusement pas celle qu'il attendait. Hobbes ? Il a disparu après avoir sauté Erica. Je lui avais imaginé un rôle plus important. Chad ? Il a été démasqué par Anna ! Comment la Cinquième Colonne a pu croire qu'il suffisait de trafiquer des voix pour tromper l'ennemi ? Son emprisonnement pourrait amener de bonnes choses si la série devait revenir. On imagine aisément Anna le manipuler plus que jamais et faire de lui, enfin, son porte-parole universel. Marcus ? Déception là encore. Son aveu aurait logiquement dû être un sacrifice mais Anna a inexplicablement choisi de le garder en vie... Ah et je tenais à relever cette réplique géniale : "That's How You Kill Your Mother".

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// Bilan // Comme une série qui ne veut pas mourir, V n'amorce pas l'ombre d'une conclusion dans ce dernier chapitre de la saison 2. Sans doute parce que la vraie bataille, maintes fois reportée, ne commence que maintenant, les scénaristes lancent de nouvelles pistes plus ou moins prometteuses. Comme à la fin de la saison 1 en somme. Et on a vu le résultat... Je ne crois sincèrement pas en l'existence d'une saison 3, en tous cas sur ABC, mais je sais que si elle venait à voir le jour, je serais curieux de voir ce qu'elle pourrait donner. De façon médiocre et totalement incohérente, l'équipe a quand même réussi à se débarrasser des principaux défauts de la série (la Cinquième Colonne, Ryan, Tyler). Tout espoir d'amélioration est donc encore permis. Mais il en faudra du courage pour se replonger dans V...   

18 mars 2011

Tueurs En Séries [Episode du 18 Mars 2011]

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Au programme cette semaine : Sarah Shahi vient présenter Facing Kate (Fairly Legal en VO), le dessinateur du comics The Walking Dead vient parler de la série, les photos des tournages des pilotes les plus attendus (Charlie's Angels, 17th Precinct...), la date du départ de Steve Carrel de The Office, Terra Nova repoussée, The Kennedys sur France 3...

16 mars 2011

[Interview] Shaun Sipos - Melrose Place

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Cette interview ne m'a pas laissé un souvenir impérissable, mais que pouvais-je espérer d'un acteur venant faire la promotion d'une série annulée ? Shaun Sipos n'était pas particulièrement sympathique, pas particulièrement bavard non plus et certainement pas souriant, mais peu importe.

 

15 mars 2011

Fringe [3x 16]

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Os // 3 8oo ooo tlsp.

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   Ai-je aimé cet épisode ? Non. Etait-il mauvais ? Non. Il était simplement plus classique que jamais, avec une mécanique trop bien rodée et trop peu de surprises en cours de route. L’affaire de la semaine – des voleurs qui défient la loi de la gravité – m’a franchement ennuyé pour toutes ces raisons. L’investigation scientifique parallèle de Walter n’a fait qu’alourdir le propos, là où il l’allège habituellement. Ca manquait d’humour. Et puis j’en ai un peu marre que tout se rapporte toujours, le concernant, à la perte de Peter et les conséquences que cela a eu sur lui et surtout sur l’univers dans son ensemble. Je sais bien que c’est au centre même de l’histoire de la série aujourd’hui mais il y a peut-être des manières plus subtiles de l’évoquer. On peut aussi de temps en temps parler d’autre chose, non ? Une parenthèse ne ferait pas de mal à ce stade, alors que le final approche à grand pas. Une pause avant la dernière ligne droite… Heureusement, la toute première scène de l’épisode était super fun, en présence de Jorge Garcia s’il vous plait. Un clin d’œil qui fait plaisir.

 

    L’élément le plus intéressant de l’enquête réside dans les deux dynamiques Peter/Olivia et Walter/Nina. La première ne me perturbe plus. Je la trouve même super mignonne et on n’a jamais vu notre Olivia aussi rayonnante. Je crois qu’il faut en profiter, ça ne durera pas pour toutes les raisons que l’on imagine... La seconde est plus étonnante, car sous-jacente depuis le début de la série mais rarement exploitée. Le moment est peut-être venu. Il n’y a pas que du profond respect et de l’admiration entre eux. Il y a au moins une amitié très forte. Et de l’amour ? La nouvelle obsession de Walter, qui veut réveiller l’esprit de William Bell, me laisse quelque peu circonspect. Encore plus le cliffhanger lorsqu’Anna Torv se lance dans une imitation de Leonard Nimoy, assez réussie mais ridicule dans l’intention. Les scénaristes ne sont j’espère pas en train de sauter le requin…

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// Bilan // Je crois qu’on est tombé sur un « os ». Banal, ennuyeux parfois, cet épisode de Fringe aurait été correct en saison 1. En saison 3, il est plus difficile à digérer. La série a pris une trop grande ampleur pour se contenter de si peu.

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