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Des News En Séries, Le Blog
6 novembre 2010

Glee [2x 05]

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The Rocky Horror Glee Show // 11 76o ooo tlsp.

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   Ne comptez pas sur moi pour vous dire combien cet épisode de Glee hommage au Rocky Horror Picture Show était formidable. Pour tout dire, je me suis senti un peu exclu, n'ayant jamais vu le fameux film. Je devrais sans doute avoir honte de cette preuve flagrante d'inculture mais mon problème ici, c'est que l'épisode s'adressait vraiment à ceux qui avaient vu le film et laissait les autres sur le bas coté. Je suis donc passé à coté de tous les clins d'oeil (je suppose qu'il y en a eu) et j'ai découvert les chansons au fur et à mesure. Aucune ne m'a transporté mais j'ai trouvé les prestations d'Amber Riley sur Sweet Transvestite et de Jayma Mays et Matthew Morrison sur Touch-a Touch-a Touch-Me très réussies. C'était sensuel sans être vulgaire (en même temps on est sur la FOX). Les autres passages ne m'ont pas plus marqué que cela, si ce n'est le final sur Time Wrap, maîtrisé. Fidèle à l'original, ça je n'en sais rien. A vous de me le dire... Et puis c'était bien de mettre un peu d'autres chanteurs en avant plutôt que l'éternelle Lea Michelle, très discrète pour mon plus grand bonheur. Pour une fois, j'ai trouvé que Cory Monteith s'était plutôt pas mal débrouillé et son "intrigue" ou disons son "état d'âme" de la semaine était "original". Pour une fois que c'est un garçon qui a honte de son corps... lequel n'est pas dégueulasse d'ailleurs même si on a vu mieux dans cet épisode puisque tous les mecs ou presque ont enlevé le haut. Il était chou le petit nouveau dans son mini-short doré. Dommage qu'il n'ait pas chanté dans cet accoutrement. Pas de Puck shirtless puisque pas de Puck tout court, c'est regrettable. Il me semblait bien convenir au thème de l'épisode. Sinon, John Stamos m'agace un peu je dois dire. Je crois que ça vient du fait qu'il me fait penser à Jean-Luc Lahaye. C'est pas seulement physique, ça vient aussi de l'attitude. John Stamos est bien meilleur au final, je vous rassure je ne suis pas devenu complètement fou mais il y a comme une ressemblance qui me dérange.

   Parmi les choses qui ne m'ont vraiment pas plu dans cet épisode, je serais bien tenté de citer à mon regret l'amie Sue Sylvester, pas super en forme dans ses interventions pourtant habituellement hilarantes dans ses "That's How Sue Sees It". Puis alors nous ressortir une fois de plus sa soeur handicapée comme prétexte à sa lutte contre le Glee Club, seriously ? De la même manière, les scénaristes ne se sont pas foulés pour expliquer l'épisode spécial. Je sais qu'il faut que ça aille vite mais quand même... La seule véritable intrigue de l'épisode était donc consacrée à Will, toujours amoureux d'Emma, qui essaye de la reconquérir alors qu'elle est plus heureuse et libérée que jamais avec son dentiste. J'avais un peu l'impression de revenir au début de la saison 1, l'évolution d'Emma en moins. Je me suis surpris à ne pas être agacé mais de là à dire que je suis emballé par cette histoire qui tourne en rond...      

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// Bilan // J'aurais sans doute davantage apprécié cet épisode si le Rocky Horror Picture Show avait fait partie de mes films cultes. Je reconnais donc que mon jugement a bien peu de valeur au final. Mais au niveau des maladresses, je pense être dans le vrai. Glee est un divertissement sacrément limité. 

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6 novembre 2010

How I Met Your Mother [6x 07]

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Canning Rading // 8 88o ooo tlsp.

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   Le passage qui m'a le plus amusé dans cet épisode a duré environ 10 secondes et impliquait la co-host de Robin complètement tarte qui me fait mourir de rire avec ses mimiques et sa gestuelle. C'est vous dire comme le reste m'a plu ! Déjà, même s'il ne s'agissait pas d'un épisode spécial Halloween à proprement parlé, ils auraient pu faire un petit effort sur les costumes de nos chers personnages. C'était pas inspiré du tout, pas vraiment ridicule donc pas vraiment drôle. De toute façon c'était complètement anecdotique, comme tout le reste finalement. Je ne sais pas ce qui est passé par la tête des scénaristes mais ils misent beaucoup trop sur Marshall depuis le début de la saison. Et c'est vraiment le mauvais cheval. C'est le moins drôle de la bande, si on part du principe que Ted est éliminé d'office de la course. Il nous a donc fait du Marshall sans intérêt, plutôt classique, à base d'hallucinations stupides et de mauvais dialogues. A la grande limite, le collègue Randy ressorti des tiroirs pour l'occasion m'a fait esquisser quelques sourires par moment mais juste par politesse. Les interventions de Barney auraient pu sauver le truc, mais non. Même pas. Robin ? Sous-utilisée encore. C'est simple maintenant : soit l'épisode lui est consacré, soit elle fait de la figuration.

   Et puis il y a toute la partie consacrée à Ted et sa nouvelle prétendante. On nous sort la carte de la relation haineuse qui se transforme en grand amour. Je vais un peu vite en besogne mais pas besoin d'être devin pour imaginer ce qui nous attend. Je ne suis pas en train de dire que ce sera la mother, ce n'est pas possible techniquement en plus, mais comme elle est là pour un bon moment, on peut sans doute parler de  Stella-bis. Je ne les trouve pas mignons, je ne vois pas d'alchimie pour l'instant entre Josh Radnor et Jennifer Morrison, je ne trouve pas cette dernière particulièrement convaincante dans la comédie... La liste des griefs est longue, et je pense que son passage dans la série le sera tout autant.

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// Bilan // Les tentatives d'introduire du sang neuf à travers de nouveaux personnages secondaires échouent lamentablement jusqu'ici... How I Met serait donc vraiment foutue ?

5 novembre 2010

Tueurs En Séries [Episode du 5 Novembre 2010]

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Au programme cette semaine : Rencontre avec les Marines de "The Pacific" à l'occasion de la sortie en DVD de la mini-série ! - Zach Braff visite Courteney dans "Cougar Town" - Le retour de "Supernatural" en France - Pourquoi on aime David Hasselhoff - La nouvelle Wonder Woman pourrait être... - La nouvelle star des jeunes s'appelle Hannah Mantegna...

4 novembre 2010

The Walking Dead [Pilot]

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Days Gone Bye (Series Premiere) // 5 3oo ooo tlsp.

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What About ?

Après une apocalypse ayant transformé la quasi-totalité de la population en zombies, un groupe de d'hommes et de femmes mené par l'officier Rick Grimes tente de survivre...

Who's Who ?

Créée par Frank Darabont et Robert Kirkman. Avec Andrew Lincoln (L'Arnacoeur, Afterlife, Love Actually) dans le rôle de Rick Grimes, Sarah Wayne Callies (Prison Break) dans le rôle de Lori Grimes, Jon Bernthal (The Class) dans le rôle de Shane, Laurie Holden dans le rôle d'Andrea, Emma Bell dans le rôle d'Amy, Robert Singleton dans le rôle de T-Dog, Jeffrey DeMunn dans le rôle de Dale...

So What ?

"Sleeping Dead". L'expression n'est pas de moi mais elle convient parfaitement à mon ressenti quant à ce pilote très attendu qui m'a l'effet d'un somnifère. D'un point de vue purement esthétique, il est superbe. On pense forcément à 28 jours plus tard et Je suis une légende. Je n'aime pas dire qu'on se croirait au cinéma, mais c'est pourtant ça. AMC a fait chauffer le chéquier et ça se voit. Les zombies ne sont pas ridicules. Je dirais même qu'ils ont rarement autant fait flipper visuellement. Un exploit que ça ne paraisse pas kitsch ! En revanche, dans le pilote en tous cas, ils ne font pas grand chose d'autre qu'effectuer une chorégraphie parfaite et dévorer un cheval. Je m'attendais à sursauter à tout moment et ça n'est pas arrivé une seule fois. C'est un peu dommage, ça fait partie du truc. L'ambition d'AMC est claire : renouveler le genre en insufflant son style, qui est synonyme de profondeur et de lenteur. Ca pourrait même parfois s'apparenter à de la prétention, mais je n'irai pas jusque là. J'aime trop Breaking Bad et l'ambiance de Rubicon pour ça. Toujours est-il qu'il ne se passe pas grand chose dans ce premier épisode, qui consiste en grande partie à suivre le héros, Rick Grimes, dans sa découverte du nouveau monde post-apocalyptique après avoir passé plusieurs jours dans le coma. C'est une introduction envoutante, fascinante parfois, mais pas si oppressante et pas si angoissante que je l'aurais souhaité. Peut-être est-ce dû à l'absence de musique, pas si efficace que ça. Certains passages sont soporifiques et c'est là que la série atteint ses limites. En même temps, un pilote d'1h10, c'est beaucoup trop. 

Mais, et c'est important : il y a du fond. Et ce n'est pas si souvent dans les récits de zombie. On ressent la détresse de Rick, ainsi que celle du père et du fils qui l'accueillent, terrifiés et hantés par le souvenir d'une femme et d'une mère devenue morte-vivante. Il y avait dans ces scènes beaucoup d'émotion. Les scénaristes ont clairement des choses à dire mais ils risquent de prendre leur temps. Au sujet des personnages secondaires, ils sont apparus trop peu pour émettre un jugement. Mais l'entrée en matière ne m'a pas paru très efficace. Je dois dire que j'ai quand même été surpris par la relation entre Lori et Shane. Je ne pensais pas que The Walking Dead verserait dans ce genre d'histoire. Je suis plutôt preneur. Une dernière chose : je ne suis vraiment pas fan de la scène d'ouverture, pas subtile pour deux sous, pas très AMC pour le coup. Le message est tellement évident : nous on est sur le câble et on n'hésitera pas à faire gicler la cervelle des petites filles ! Mouais... Le fait que ce soit un flashforward n'a a priori aucun intérêt en plus.      

The Walking Dead, c'est forcément bien parce que c'est unique en son genre à la télévision, parce que c'est impressionnant visuellement et parce que ça repousse certaines limites. Mais ce qui serait encore mieux, c'est qu'elle fasse tout ça sans prétention et avec un peu plus de rythme. Je serais au rendez-vous pour les épisodes suivants quoiqu'il arrive mais il en faudra plus pour me convaincre. Et ne parlez pas déjà de chef d'oeuvre par pitié !   

2 novembre 2010

Grey's Anatomy [7x 06]

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These Arms Are Mine // 1o 79o ooo tlsp.

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Le temps de cette critique de Grey's Anatomy, je laisse la plume à un certain UglyFrenchBoy, fidèle lecteur du blog et expert en télé-réalité. Je le remercie chaleureusement pour sa participation, en espérant qu'elle vous plaise autant qu'à moi.


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    Depuis plusieurs années, la télé-réalité emprunte les codes de la fiction, dans sa réalisation, mais également de plus en plus dans l’écriture. Le genre, rebaptisé aux États-Unis « docu-soap » ou « docu-drama », connaît ses heures de gloire sur des chaînes comme MTV, Bravo ou encore E !. Le sens inverse continue, pour sa part, de se développer, entre les mockumentaries (qui s’inspirent uniquement du documentaire sur la forme), les séries construites façon docu-réalité (The Comeback, My Generation) ou encore les épisodes spéciaux d’une production dite « classique ». Pour ce dernier cas, l’exemple d’Urgences vient évidemment en tête avec « Direct aux urgences » (Ambush en VO). Alors, quand Grey’s Anatomy devient Seattle Medical : Road to recovery, difficile de ne pas penser à sa grande soeur… du moins lors de ses premières secondes. Le sentiment est en effet rapidement balayé à mesure que la création de Shonda Rhimes empiète (légèrement) du côté de Boston Med, diffusée cet été sur ABC, tout en gardant son essence. C’est en quoi cet épisode est, à mon sens, une réussite.

    Les conséquences de la fusillade, de loin l’événement le plus marquant dans la vie du personnel du Seattle Grace Mercy West Hospital, continuent d’être traitées avec plus ou moins de réalisme. Déjà six épisodes ont été diffusés pour cette nouvelle salve et le sujet est toujours au cœur de la majorité des intrigues. L’accident, lui, a très probablement médiatisé l’hôpital dans tout le pays. Déjà dans le « season premiere », on se souvient de la voisine de Bailey dans l’avion y faisant référence « Did you know any of those doctors from that shooting ? ». En guise de faux générique cette semaine, la voix-off le confirme : « Several months ago, a gunman roamed these halls, leaving 11 people dead and even more injured. Today, we visit the survivors… ». Ainsi, désireux de donner une nouvelle image à son établissement, le Chief fait appel à une équipe de télévision pour présenter les lieux comme sécurisés. En parallèle, l’émission fictive s’intéresse aux conséquences de la fusillade auprès des chefs de service, titulaires et autres résidents.

   L’idée est bonne, le défi intéressant à relever, mais, surtout parfaitement réussi. Seattle Medical est parfaitement crédible en tant que docu-réalité. Si My Generation misait sur un usage intempestif des effets « immersion », dont les passages de petite et grande focale à outrance, on retrouve ici les mêmes tics de réalisation, mais largement mieux maîtrisés. Quant à Grey’s Anatomy, la série n’est pas absente pour autant. Le dosage drama / comédie est respecté. Et pour ça, on peut remercier à la fois le Chief, qui semble confondre l’émission avec un film d’entreprise, mais surtout Lexie. Depuis le début de cette septième saison, elle apporte une vraie dimension comique (là ou April échoue lamentablement) en l’absence de Cristina dans ce registre, voire l’absence tout court de Mark, personnage particulièrement « au repos » ces dernières semaines. Celui-ci est malgré tout l’auteur d’une des répliques les plus drôles : « He's kinda like my better half. Not the better-looking half, mind you ». La raison principale pour laquelle j’estime cet épisode à trois étoiles c’est qu’il a tout, sur le papier, d’un « stand alone » sans l’être à l’écran. Malgré sa forme, le fond est en effet bel et bien présent : on continue d’explorer le « deuil » de Cristina. Autant dans le précédent épisode, le processus me semblait beaucoup trop long, autant là, Seattle Medical permet un certain renouvellement. Autre point positif, la relation Callie / Arizona n’est pas délaissée et l’on assiste même à un probable départ temporaire du duo (le temps de la grossesse de Jessica Capshaw). Le cas Jackson est également abordé et l’on découvre pour la première fois la façon dont il parvient à gérer le stress post-traumatique. Son enfermement est prétexte à un rapprochement assez subtil avec Teddy, mais on peut également y voir une critique sur l’excès des systèmes de sécurité dans les lieux publics et la psychose qu’ils peuvent engendrer.

    Le point faible qui peut être relevé pour cet épisode est le portrait trop caricatural, mais aussi trompeur, des personnages, particulièrement avec Bailey qui enlace les patients, pleure et fait preuve d’empathie (mention d’ailleurs à Mandy Moore, qui n’a jamais été aussi touchante depuis Walk to remember). Un défaut qui s’avère être en même temps une qualité, les protagonistes de télé-réalité étant souvent « unidimensionnels ». Souci de réalisme ou lacune scénaristique ? Le simple fait de s’interroger mérite que l’on donne à ce « These armes of mine » un certain intérêt et surtout du crédit.

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// Bilan // Fortement déçu par la saison 6 de Grey’s Anatomy, j’avais trouvé avec Mercy une sorte de médicament générique (désolé). Cette dernière avait fait, elle aussi, venir une équipe de télévision pour filmer les coulisses de son hôpital, ou du moins le Dr Briggs (interprété par James van der Beek) faisait l’objet d’un docu-réalité. L’idée n’était pas forcément intéressante et, finalement, ne servait pas vraiment le récit. Quant à Nip/Tuck, son brûlot contre le genre se contentait de cracher dans la soupe pour mieux la faire manger. Avec de tels exemples, autant avoir des appréhensions à l’annonce d’un épisode « docu-réalité » de Grey’s Anatomy. Celui-ci est un succès à tous les niveaux, sur le fond comme sur la forme, tout en rendant plus ou moins hommage à la télé-réalité. Le meilleur épisode de la saison à ce stade.

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1 novembre 2010

Brothers & Sisters [5x 05]

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Call Mom // 8 21o ooo tlsp.

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  Mon amour pour les Walker ne doit pas m'empêcher d'être objectif. C'est pourquoi j'ai décidé, objectivement, de pointer du doigt tout ce qui n'allait pas dans cet épisode. Mais ne vous inquiétez pas, j'ai quand même passé un excellent moment en leur compagnie... Sally Field a un talent monstre et c'est ce qui a permis à son personnage de toujours s'en sortir même quand ses intrigues n'étaient pas particulièrement inspirées. Je pense surtout à ses multiples débuts d'histoires de coeur qui n'ont jamais rien donné sur le long terme. Le pire étant, si je me souviens bien, le prof de littérature en saison 2. Ca faisait quelques temps qu'elle n'avait pas eu d'intrigue bien à elle, rien qu'à elle, et cette histoire d'émission de radio ne m'a pas convaincu. Son duo avec Debra Monk était amusant mais le déroulement était trop prévisible et terminer sur un discours dont seule Nora a le secret n'était pas une bonne idée. J'ai l'impression que désormais, tous les épisodes se terminent comme ça. Ca devient répétitif et facile. Du coup, l'émotion attendue en prend un coup aussi. Je me demande maintenant comment son émission de radio va être intégrée à la série. Il serait sans doute préférable de ne pas trop insister là-dessus, à moins qu'elle ne se trouve un potentiel amant dans les couloirs de la station !

   Je me rappelle très bien des débuts du couple Sarah/Luc en saison 4. C'était fun, romantique sans être niais, frais... Puis il y a eu cette histoire de passeports imbuvable et en ce début de saison 5, ils ne m'inspirent plus grand chose. J'en suis venu à espérer que Luc trompe vraiment Sarah avec une serveuse. Juste pour qu'il fasse au moins une fois quelque chose de mal ! Il est vraiment trop gentil, vraiment trop lisse. Ca devient gênant. Manque de pot, on est parti dans une toute autre direction puisqu'on a eu droit à la demande en mariage ! Le passage obligé chez les Brothers & Sisters dès qu'on se sent heureux avec la personne que l'on aime. Oui bon, il parait que ça se passe souvent comme ça dans la vie aussi. Le personnage de Sarah souffre grandement de tout ça, ça ne lui ressemble tellement pas de faire de la couture et la cuisine. Puis Gilles Marini a atteint ses limites. Disons que son charme ne fait plus effet, il ne reste donc plus qu'un piètre acteur avec des abdos qu'il montre dès qu'il peut. En matière de muscles, on est pas mal servi aussi par Jack, le petit nouveau à qui l'on pourrait bien s'attacher. A la base, je ne pensais pas qu'il était un candidat sérieux pour ravir le coeur de Kitty mais je commence à voir les choses différemment... J'aime bien ce duo, et j'adore cette Kitty rayonnante. Je la veux encore un peu comme ça, avant que la foudre ne s'abatte une fois de plus sur elle.

   Les affaires sérieuses reprennent du coté de Kevin et Scotty. Et là, les scénaristes ont réussi à nous prendre tous par surprise ! Scotty aurait trompé Kevin il y a quelques mois. Je me suis toujours dit que si l'un des deux devait tromper l'autre, ce serait Kevin. Raté ! Cela dit, on ne sait pour le moment rien des circonstances de cette erreur donc je me garderai bien de juger. C'est en tous cas une intrigue à fort potentiel émotionnel. Rien qu'en quelques secondes, j'ai senti les larmes monter. De toute façon, je suis persuadé qu'on ne nous cassera pas ce couple. Pas après Kitty et Robert, et Justin et Rebecca. Juste un gros couac qui les rendra plus forts et qui les aménera enfin vers l'adoption. Pas grand chose à dire sur Justin qui erre avec sa douleur entre Ojaï et Pasadena. Qu'on le laisse respirer un peu par pitié.

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// Bilan // Il y a certainement beaucoup de reproches à faire à cet épisode mais, au final, je crois que je l'ai quand même beaucoup apprécié.

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1 novembre 2010

The Big C [1x 10]

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Divine Intervention // 705 ooo tlsp.

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   Une intervention divine. Il fallait bien ça pour que Cathy tente de réparer les erreurs qu'elle a commises depuis le pilote. Enfin erreurs... Je ne considère pas ses actions de cette façon mais c'est ainsi qu'elles nous sont présentées. L'intervention divine n'est finalement pas celle que l'on croit. La baffe de Marlene est à mon sens le déclencheur, pas une soudaine envie de s'en remettre à Dieu. La rédemption la plus intéressante est certainement celle qu'elle entame avec Andrea. On en découvre beaucoup sur la jeune fille, qui s'est inventée une vie désastreuse alors qu'elle est la petite dernière d'une famille soudée. On est bien loin de Precious donc. Pourquoi a-t-elle menti de la sorte ? Et pourquoi veut-elle faire croire à Cathy qu'elle la déteste alors qu'elle ne parle que d'elle à ses parents ? Sans doute pour attirer l'attention autrement que par son surpoids, et pour excuser un échec scolaire qui n'est dû qu'à sa fainéantise. J'aime beaucoup la Andrea qui se cache derrière une grosse carapace. J'espère la revoir plus souvent, tant qu'elle ne perd pas son humour légendaire. J'ai quand même le sentiment qu'une boucle est bouclée pour le personnage, un peu pour les autres aussi. Ca ressemblait presque à un Season Finale quand on y pense...

   La réconciliation entre Cathy et son ex-future-meilleure-amie s'est faite en douceur, sans temps particulièrement fort. La présence de Cynthia Nixon a suffi à me ravir, mais je reconnais que c'est un peu léger. En revanche, le duo Sean/Rebecca fonctionne très bien ! On en viendrait presque à espérer que leur flirt se prolonge. C'est finalement du coté de Paul que l'épisode ne fonctionne pas du tout. Son histoire avec la catin supporter de rugby n'est pas intéressante tant elle est prévisible, en plus d'être gratuitement vulgaire, un peu à la Californication. C'est digne de Charlie vous voyez. Après un détour par l'église, avec gospel, sourires et larmes, Cathy réalise l'impensable : elle avoue à Paul qu'elle est atteinte d'un cancer. Il faudra attendre le prochain épisode pour connaître sa réaction mais c'est extrêmement surprenant ! Je pensais vraiment que ce serait une des dernières personnes à qui elle l'avouerait avec son fils. Les répercussions seront intéressantes mais je me demande si les scénaristes ne sont pas en train de se tirer une balle dans le pied...   

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// Bilan // Malgré quelques scènes excellentes (le monologue à l'église, le dialogue Cathy/Marlene) et malgré le cliffhanger, j'ai trouvé cet épisode un peu décevant et curieux dans le fond et dans la forme. Cathy est en train de perdre sa liberté chérie alors qu'elle venait à peine de la gagner. Pourquoi partir dans cette direction si tôt ?

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